11 commentaires

  1. Posté par Antoine le

    @Diane : Bien dit et bien vu ! Sans discipline, l’enseignement devient un calvaire.
    La tranquillité et la sérénité sont nécessaires pour qu’un enseignement digne de ce nom puisse est transmis.
    Ne pas oublier que les élèves d’aujourd’hui seront les apprentis de demain.
    Il suffit de discuter avec les maîtres d’apprentissage et les enseignants à l’Uni pour se rendre compte des lacunes magistrales de l’enseignement contemporain … Le niveau baisse depuis au moins 30-35 ans … c’est une catastrophe !

  2. Posté par bobpholos le

    La mauvaise foi dans toute sa splendeur,en lisant l’article du temps on s’aperçoit que nos fonctionnaires profs et politiques gauchos qui sont entièrement responsable du chaos ambiant vont mettre la faute sur le manque de moyen,le système non adapté,l’apprentissage trop dure….
    ah ah ah bande de saligots vous voulez les cultures du monde entier et bien faut assumer et ce n’est que le début,regardez du côté de la france ils sont en avance….la guerre civile ou la partition va être la récolte de ce qu ‘on semé les « élites » et autres crèmes de la société.

  3. Posté par Diane le

    J’ai enseigné au cycle d’orientation à Genève.
    Il y a déjà longtemps maintenant, les « pédagogues » de gauche ont supprimé les notes de comportement, car pour eux c’était « stigmatisant ».
    A la place il fallait noter des « remarques » dans un « carnet de l’élève ».
    Des élèves avaient des carnets d’élèves plein de « remarques ». Et quoi ?

    Des « remarques » ne sont jamais équivalentes à une note. Note que les parents qui ne parlent pas français pouvaient comprendre facilement, alors qu’ils avaient besoin que leurs enfants leur traduisent le « remarques » (bonne chance ! ).

    La discipline s’est effondrée. Mais ceux qui décidaient en « sciences de l’éducation », et qui n’avaient jamais enseigné au cycle d’orientation, n’ont pas remis leur « pédagogie » en question.
    Effectivement, comme le dit Tommy, pour certains élèves, il était plus facile de traiter les profs ou les maîtres d’apprentissage de « racistes » que de simplement d’arriver à l’heure au cours.

    Les 68ards ont détruit l’enseignement, car malheureusement, qui veut faire l’ange fait la bête.

    Et tous les élèves en sont les victimes, y compris de nombreux élèves « issus de l’immigration » qui ont vu leur chance de s’insérer dans un société relativement égalitaire, pulvérisées par la bêtise de quelques uns qui ont su se hisser au niveau des décideurs, alors qu’ils n’avaient aucune expérience de l’enseignement et une sérieuse incapacité à évaluer les conséquences de leur décisions.

    Quand aux pauvres élèves non « issus de l’immigration », leur sort n’était pas enviable non plus.
    Les « pédagogues » des sciences de l’éducation ont réussi à faire le malheur de leurs élèves et pourtant ils se congratulent encore de leur « ouverture ».

    Aie Aie Aie, jeune profs vous allez devoir faire preuve de fermeté puissance 10 pour tenir ces adolescnets. Rappelez -vous que vous le faites pour leur bien et qu’il est nécessaire d’interdire, contrairement à vos prédécesseurs qui ont voulu croire qu’il était interdit d’interdire.

  4. Posté par Christian Hofer le

    « C’est le résultat d’un certain corporatisme enseignant, du fait que les écoles sont des lieux fermés, d’un politiquement correct qui prétend que l’éducation publique va bien grâce à des magistrats (généralement socialistes) compétents.

    Mais tout ne va pas bien. Sur ce point, nos recherches sur le terrain dressent un constat implacable. A Genève, des enfants de 12 ans ne savent pas lire ou conjuguer le verbe «être», l’ambiance en classe est tellement mauvaise que des enseignants refusent de donner leurs cours, le maintien d’un semblant d’ordre est devenu le principal objectif de certains profs qui subissent insultes, refus de travailler et chahut permanent de la part de leurs élèves.

    Les enseignants ne sont pas préparés à affronter le lourd passif de certains élèves en détresse psychologique, marqués par des problèmes familiaux, la précarité ou des parcours migratoires parfois chaotiques. Et pendant ce temps, la classe politique (souvent suivie par les médias) préfère se concentrer sur des sujets comme l’enseignement du latin, du suisse-allemand ou de l’histoire nationale. »

    Que c’est joliment dit pour signifier que le gauchisme et l’immigration détruisent le futur d’un pays construit par des générations d’Helvètes…

    Mais c’est ce que veulent Sommaruga et ses sbires: encore davantage de multiculti étant la seule réponse à donner à ces « racistes de Suisses », Brunschwig-Graf ayant pour fonction de faire taire toute velléité de dissidence.

  5. Posté par Antoine le

    L’enseignement est trop important pour que cela reste en main de politicards de gôche !
    Nous avons maintenant assez de recul pour se rendre compte que les enseignants n’ont plus aucun moyen à disposition pour obtenir l’attention des élèves et surtout le bâton à été cassé et mis au rebus. Il ne reste  »que » la carotte ou le jeu de l’enseignant qui s’épuise vite pour des clopinettes .. L’enseignant est de plus sous le poids de l’Administration qui exige beaucoup pour un résultat NÉGATIF !
    Il faudrait interroger les responsables des apprentis des usines et fabriques !!
    La CHUTE depuis 30 ans est vertigineuse et est due aux irresponsables politiques de gôche qui ont sévis depuis trop longtemps dans le canton de Vaud !

  6. Posté par UnOurs le

    « … enseigner aux 12-15 ans est devenu un calvaire. »

    Je traduis  » enseigner aux n… et aux b… est devenu un calvaire.
    Et je rajoute que cela concerne malheureusement aussi les enfants de Blancs pauvres qui n’ont pas pu être « exfiltrés » et qui tournent bien vite au « white n…. », que ce soit dans le comportement (postures, intonations etc…), l’apparence physique et les schémas mentaux.

  7. Posté par Claire le

    @Tommy: tout à fait d’accord, on a les mêmes en France et, probablement, dans tous les pays d’Europe occidentale.

  8. Posté par RealrecognizeReal le

    @Tommy
    Suite à votre explication de la situation (et je m’en doutais bien), il est hors de question que mes futures enfants (suisses) grandissent dans ce pays si un grand coup de ménage n’est pas fait avant.

  9. Posté par Tommy le

    Je parle en connaissance de cause, vu que j’ai occupé un poste d’ enseignant en terre vaudoise, à 100%, et ceci dès 1976.

    Ces  » élèves « , totalement désorganisés, ne rêvent que d’une chose:
    Pour les filles, chanteuses de hip-hop, ou actrices de cinéma.
    Pour les garçons, footballeurs à millions ou stars du rap.

    Vu que tous proviennent de familles au social, les Suisses étant quasiment inexistants, ces  » enrichisseurs potentiels  » se refusant à s’ engager dans des professions adaptées à leurs carences scolaires abyssales, comme femme de ménage ou manutentionnaire, ils préfèrent se parer du statut de  » victime du racisme  » .

    Et aucune remise en question n’est à attendre de ces protégés de la bonne conscience occidentale.
    Ne maîtrisant ni l’ écrit, ni l’oral, ni le calcul, ils s’ identifient toutefois à leurs cousins des Balkans, d’ Afrique, d’ Amérique latine ou du Moyen- Orient pour tenter de nous imposer le fait que, chez eux,  » tout est mieux »….

  10. Posté par Bussy le

    L’enseignement est dirigé par les élites, est-ce étonnant si c’est un système élitiste ?

  11. Posté par JeanDa le

    Mais oui, mais c’est très bien !
    CONTINUEZ A ÉLIRE DES SOCIALISTES !!!
    Mais après, arrêtez de vous plaindre qu’ils font n’importe quoi, voire tout faux !

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