REPORTAGE – Quatre-vingts policiers se mêlent chaque jour aux voyageurs et parcourent les lignes du métro parisien dans le but d’appréhender ces hommes qui profitent de la forte affluence pour agresser sexuellement des passagères.
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Sur le quai, on peut déjà détecter les agresseurs potentiels : « Ils se positionnent en retrait, dos au mur, pour mieux repérer leur victime , décrypte Maxime, l’un des policiers. Ils peuvent laisser passer deux ou trois rames, pour soudain rentrer, ressortir, monter dans le wagon suivant… puis faire demi-tour et prendre le métro en sens inverse. Ces hommes vont rester debout, là où il y a le plus de monde, le regard dirigé vers le bas. On passe la journée à observer les gens, leur regard, les mains, le tour de la ceinture, à surveiller les comportements incohérents. Dès qu’on en trouve un bizarre, on va le filocher (le suivre, NDLR) . Avant, ces prédateurs ne se doutaient pas que des policiers pouvaient être sur eux ; aujourd’hui, ils savent. » Leurs profils ? « Tous âges – 12 à 86 ans -, tous milieux socioprofessionnels, toutes nationalités. » Costumes cravates comme joggings, mais « souvent les poches décousues, pour se caresser » . Ils sont concentrés sur le nord du réseau RATP, les lignes 2, 4 et 13. « Elles traversent les secteurs les plus criminogènes de Paris et sont empruntées par pas mal de touristes , commente Fabien, coéquipier de Maxime. Même s’il y a eu des Européens et aussi un Chinois, depuis plus de dix ans que je fais ce métier, les auteurs que j’ai interpellés sont pour une très très grosse majorité d’origine maghrébine. » Quant aux victimes, ce sont des ados comme des retraitées. Et des hommes aussi, de plus en plus.
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Les arabo-musulmans pratiquent la même chose dans les transports en commun au Maghreb et en Egypte. Les femmes musulmanes de ces pays, bien que voilées, subissent également leurs assauts. Ils poussent même l’hypocrisie à mettre un citron dans leur poche pour que, si la victime se plaint, ils puissent dire qu’elle s’était fait des idées et qu’il s’agissait du citron. Ce truc est bien connu dans ces pays. L’idéologie islamiste qui exalte l’homme comme supérieur, tout en refoulant toutes ses pulsions produit ce sinistre résultat. Voir le livre magistral de Wafa Sultan: « L’islam, fabrique de déséquilibrés? ». Après lecture, on peut supprimer le point d’interrogation.
Evidemment ce n’est pas le Maghreb qui favorise ce comportement mais bien l’Islam et sa gynophobie légendaire !
Il faudrait quand-même que leurs imams ou les représentants de cette communauté arrêtent de parler de stigmatisation, de blasphême et autres choses qui les « blessent » et se concentrent sur la création d’un programme destiné à « les éduquer » au respect du CORPS DE l’AUTRE.
ET A SE QUESTIONNER SUR LEUR BESOIN DE SE TRIPATOUILLER SUR LE CORPS DE L’AUTRE à n’importe quel moment et en n’importe quel lieu dans la journée.
Je me souviens d’un pays musulman où j’ai vécu et où cette obsession sexuelle était quotidienne chez les MESSIEURS et ce n’est pas la « religion » ou « la chaleur » qui peuvent uniquement produire cela. Car les femmes musulmanes n’ont jamais eu ses besoins frénétiques. Et on ne va pas encore me faire croire « que c’est un problème hormonal ».
oui mais c est toujours des femmes blanches harcelées mais jamais des noirs ou arabes ? pourquoi …l attrait des f blanches plus jolies …alors que les arabes haïssent les blancs , ils aiment les f blanches ?
Après ça, les moulous jouent les victimes du système en parlant de délit de faciès ou sale gueule, à chaque fois que l’un de d’eux est contrôlé par la police. S’ils ne sont évidemment pas tous coupables, la proportion parle en revanche d’elle-même.