Une centaine d’illégaux africains squattent un immeuble à Lausanne, et revendiquent plus…

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Une centaine d’Africains survit en communauté à Lausanne

24Heures, 3 – 4 mars 2018,  Chloé Banerjee-Din

LAUSANNE «Ce collectif m’a donné un pilier, un encouragement. Cela m’a permis de trouver plus d’opportunités ici que nulle part ailleurs».

Dans un immeuble squatté à la Blécherette, un collectif de migrants vit l’exil européen entre solidarité, précarité et espoir. Reportage.

http://connecte.ch/?p=45158

Au beau milieu d’un quartier résidentiel de Lausanne, […] Située à quelques encablures de la Blécherette, […]

Depuis plusieurs mois déjà, une petite communauté s’y est installée. Ils sont une centaine, tous venus d’Afrique de Ouest pour vivre leur rêve européen. A Lausanne, ils se sont trouvé à la fois un toit et un réseau de solidarité. […]

Jeudi soir, ses membres ont manifesté à Lausanne en réaction à la mort d’un des leurs lors d’une intervention de la police municipale (voir encadré « La police accusée de violence »). Mais ce n’est pas tout. En novembre dernier, le collectif a diffusé sur Facebook un rapport de plus de 200 pages revendiquant une amélioration de la situation des migrants africains en Suisse, à la fois menacés de renvoi, sans accès au travail, cibles de racisme et victimes de violences policières répétées. Le document a été envoyé à diverses autorités, dont la Municipalité de Lausanne, le Conseil d’Etat et même le Conseil Fédéral. [..] réponse […] Simonetta Sommaruga […] salue l’engagement du collectif en faveur des personnes migrantes et les efforts qu’il déploie pour améliorer leur sort.

[…]

Une plainte a été déposée par le propriétaire de l’immeuble.

[…] « Même pour avoir du travail au noir, il faut trouver des gens qui vous fassent confiance, et c’est très difficile pour nous. » Le sentiment d’être victime de racisme ordinaire et institutionnel pèse sur la plupart des esprits. « La marginalisation des Noirs va trop loin ! » s’emporte un autre jeune homme devant ses compagnons de chambre. Tous acquiescent. […]

 

Quatre portraits proposés par l’article de 24 heures  :

1) « J’ai été renvoyé de Suisse trois fois. […] » Franck*, 34 ans, revient tout juste d’Espagne, où il a été expulsé après un énième séjour en détention, faute de papiers en règle. Cela fait 15 ans qu’il a quitté la Gambie, […]

« Si quelqu’un ne parvient pas à survivre ici, je ne sais pas où il peut survivre », dit-il de la Suisse. Arrivé en 2012, il a logé en hébergement d’urgence avant de rejoindre le collectif dès sa création, en 2015. « Il n’y a rien de semblable en Espagne. Ici nous recevons un toit et à manger. […] »

2) Victime de pressions policières, Nanding*, 25 ans, a fui la Gambie en 2014. […]

3) A 48 ans, « The Chairman », ou «  président » est une des figures du collectif depuis ses débuts. Originaire du Nigeria, il a pris la route de l’exil en 2000 déjà, […], laissant derrière lui sa femme et ses deux enfants.  […]

[…] Et quand les autres n’ont pas de travail, c’est difficile pour nous d’en trouver à cause de notre couleur de peau. […] « Si l’on nous donne le droit de travailler et de nous loger, la Suisse sera aussi gagnante ».

4) Fuloo*, 25 ans, a fui le Mali en 2012 […]

Comme beaucoup d’autres membres de Jean Dutoit, l’Italie lui a donné des papiers, mais aucune opportunité pour survivre. En Suisse, son ordinaire s’est amélioré. […] Il reste pourtant sans droit de séjour. […]

* Prénoms d’emprunt

Source : 24 heures (abonnés)

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Cenator : C’est bien connu que p.ex. en Gambie, alors que 90% de la population est musulmane, les enfants reçoivent un prénom chrétien, occidental… Tout l’article est à l’image de ce détail, orienté, cherchant à enfumer le lecteur.

Que devient un pays où les droits des propriétaires peuvent être ainsi bafoués ? Car le propriétaire a bien porté plainte et veut récupérer son immeuble.

Pas un mot sur le fait que ces clandestins violent la loi avec la tolérance des autorités... ni sur l'appel d'air que ce laxisme démentiel engendre.

Pas un mot de la terreur que doit susciter, dans un quartier, un immeuble squatté par une centaine de mâles africains désœuvrés.

Pas un mot sur les frais qu’ils causent à la collectivité, pour les nourrir (les 7500 repas distribués chaque année par la soupe populaire), pour les soigner (ils bénéficient gratuitement des soins médicaux (sida, maladies vénériennes, tuberculose, drépanocytose, etc.), et par les dégâts qu’ils causent dans la population en proposant leur poison dans les rues de Lausanne. Car il ne faut pas se leurrer, ceux qui ne vendent pas de la drogue dans cette association d’illégaux, sont dans l’intendance des vendeurs, l’organisation des réseaux de la drogue à Lausanne.

Lorsqu’une ville prélève de l’argent de ses contribuables pour en faire bénéficier (comme indiqué ci-dessus) tout vendeur de drogue qui débarque, et sacrifie la sécurité de ses citoyens au nom d’une idéologie d’ouverture-mondialiste-tiers mondiste-traditions humanitaires obligent-invasionniste-marxiste, la fin nous semble bien proche.

Les résultats sont là, le nombre des assistés en tout genre explose, les contribuables fiscalement intéressants partent, les commerces ferment les uns après les autres, la saleté s’installe dans les rues malgré le travail de la voirie, les dettes augmentent (quant à eux, les taux d’intérêts remontent), la criminalité explose.

La fin du vivre-ensemble est pour bientôt, les Blancs, et surtout les Suisses de souche, laissent la place, petit à petit, à une population afro-musulmane, population très largement subventionnée et assistée.
Et lorsque les caisses seront vides, tous ces mâles de couleur, revendicateurs et frustrés se montreront bien moins pacifiques, c’est certain. Déjà maintenant, ils n’hésitent pas à agresser les policiers, ou  à manifester, à revendiquer, alors qu’ils sont en situation irrégulière, s’adonnent à un trafic mortifère strictement illégal : quelle sera leur attitude lorsqu’ils ne pourront plus être « bichonnés » comme actuellement ?
Lorsqu’il n’y en aura pas cent, mais des milliers qui seront venus « squatter »?

13 commentaires

  1. Posté par Liaudat le

    Je suis d’accord avec ces commentaires. Y en a marre d’entendre les gens s’apitoyer sur ces gens qui n’ont rien à faire chez nous. Ils se plaignent d’être mal reçus, bien qu’ils restent chez eux! Soit-disant qu’ils sont menacés dans leur pays, mon cul! Ils osent revendiquer plus, mais ils se foutent de notre gueule! C’est scandaleux qu’on les laisse squater un immeuble. La plupart sont des trafiquants de drogue, des déchets de la société. Il n’y pas de boulot pour les Suisses (je viens d’avoir 53 ans et je ne trouve pas de travail), mais pour ces sales […], les services sociaux se démèment. Politicards, foutez-les dehors, coup de pied au cul!
    Philippe

  2. Posté par toyet le

    Si vous n’êtes pas content vous n’avez qu’à quitter notre pays, il y a assez de place ailleurs….Et pendant ce temps les médias attaquent le PLR pour lui expliquer qu’il ne doit pas s’allier avec l’UDC contre accords cadres.

  3. Posté par Oscar le

    Cette fois c’est trop: je demande la démolition de l’Eglise de Saint-Laurent et des squatts où logent les clandestins!

  4. Posté par Vengeur le

    Qui a tort ?? eux ou nous ?? quand on voit le résultat des votations, quand ont subit sans rien dire, ou si peu, quand on voit cette brave populace qui vote et se conduit comme un tas d’idiot, eh bien pourquoi se géneraient-ils ??, le paradis est pour eux, car il ne leurs reste qu’un petit effort à faire, c’est de prendre ce qui est devant eux et se l’approprier. Ils ne risquent rien…protégés comme ils le sont par les politicards véreux, les flicards véreux et les lâches…qu’ils en profitent un maximun….pour ma part j’applaudis.

  5. Posté par conrad.hausmann le

    Il faut les loger à l’Hötel Beau-Rivage est envoyer la facture globale au PS. au PDC, les deux principaux piliers de la défense de l’envahissement parasitaire!

  6. Posté par JeanDa le

    « Simonetta Sommaruga […] salue l’engagement du collectif en faveur des personnes migrantes et les efforts qu’il déploie pour améliorer leur sort. »
    Bravo ! Cette femme n’a peur de rien. Une vraie socialaude / socialope (sans ‘oci’) !
    ELLE TRAHIT COMME ELLE RESPIRE ! Il semble que ce n’est même pas un état second chez elle, je crois que c’est sa raison de vivre !

  7. Posté par bigjames le

    Ils arrivent même à considérer le fait d’abandonner sa femme et ses enfants comme un acte héroïque.
    Ces gauchistes sont proprement dé geu lasse !
    Ces Africains doivent être expulsés manu militari immédiatement.
    Ils sont ici illégalement, et sont donc tous hors la loi.
    Sans compter le trafic auquel ils se livrent quotidiennement.
    On en a marre de ces profiteurs. Basta. Rauss!

  8. Posté par Gérald le

    Je trouve totalement inadmissible que la sommaruga qui est censée être la cheftaine de la justice et police soutienne une bande de squatters occupant illégalement un immeuble. En suivant cette logique bientôt les africains feront partir les Suisses pour occuper leur logement avec la bénédiction de notre sal.pe nationale.

  9. Posté par Simplissime le

    Et si nous légalisons la vente de drogues, afin que le produit de ces ventes aillent aux kiosques tenus par des résidants légaux, puis via l’impôt à l’AVS … plutôt qu’à des mafias albano-nigérianes ??

  10. Posté par Dominique le

    Des camps de détention devraient être crées, où on les enfermerait avant de procéder à leur expulsion définitive vers l’Afrique! Les veules gauchistes de la municipalité et du parti socialiste adoptent une politique volontaire du laisser aller, pour finalement prendre en otage les citoyens en invoquant des régularisations au bout de quelques années. Si j’étais le propriétaire du bâtiment occupé, j’aurais envie d’y foutre le feu.

  11. Posté par sophie edouard le

    On devrait réunir toute cette gauche du pays avec tous les migrants illégaux, dealer, etc qu’il défende… dans un nouveau canton et les laisser ensemble se démerder. Ils les veulent, ils assument. Cela serait amusant de voir combien de temps tiendrait leur vivre ensemble et l’économie de ce nouveau canton….

  12. Posté par Socrate@LasVegas le

    Tous ces branleurs/dealers passent leur temps à se plaindre de leur situation, ils n’arrivent donc pas à comprendre que leur place est ailleurs? Pas grave, les citoyens le leur feront comprendre…ils sont de moins en moins compatissants avec la racaille venue sucer le social et vivre en parfaite illégalité dans notre société basée sur l’éducation, son respect et le travail!

  13. Posté par Anton le

    e n’est pas la peine d’aller aussi loin que la Blécherette pour constater depuis des années et des années le remplacement de la population suisse: regardez l’exemple de l’avenue de France au départ de Chaudron pour voir l’envahissement des commerces asiatiques qui approvisionnent la cuisine des Africains (comme à Château-Rouge à Paris, ce sont toujours des Asiates qui tiennent les commerces de produits à l’usage des Africains noirs, c’est dire le peu de capacité de ces derniers…) Les propriétaires suisses (du moins à l’origine car aujourd’hui ?) sont coupables entièrement de tout ce qui arrive: l’appât du gain (capitaux très souvent issu de la drogue tel cet achat il y a déjà plus de vingt années d’un café acheté par un Moyen-Oriental en plein centre de Fribourg !) est plus fort que le civisme national. Suisse réveille-toi !

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