Langage politique sans langue de bois : Thomas Matter, Conseiller national UDC, Zurich (vidéo)

NDLR. Thomas Matter illustre les trajectoires de certains jeunes politiciens socialistes (volontiers segundos) : d’abord longtemps étudiants, puis actifs dans des associations subventionnées et enfin au Parlement avec des propositions politiques d’extrême gauche. Se servir en prétendant servir? Et les médias pour les mettre en scène.

Molina Fabiano_avec MédiasFumucielle Tamara

In den Sümpfen von Bern - Episode 16

Cédric Wermuth, Fabian Molina, Tamara Funiciello – Langzeit- bis Ewigstudenten, arbeiten dann bei irgendeinem Hilfswerk und werden anschliessend Berufspolitiker. Sie nennen sich «sozial». Sozial heisst: «Der Gemeinschaft dienend.» Ich frage sie: Wer dient eigentlich der Gemeinschaft? Jene, die in der freien Wirtschaft hart arbeiten und unsere Steuern bezahlen? Jene, die geben, statt zu nehmen? Jene, die Arbeitsplätze schaffen, statt von Staatsstellen zu profitieren. Oder jene, die das halbe Leben auf der Schulbank hocken und nachher bei den Hilfswerken oder Gewerkschaften genau wieder von den andern leben?

Gepostet von Thomas Matter am Dienstag, 27. Februar 2018

 

7 commentaires

  1. Posté par Amarillys Taylor le

    Il est rafraîchissant d’entendre un politicien s’écarter du politiquement correct et dénoncer ces parasites, éternels étudiants aux frais du contribuable et qui comble des combles siègent aux chambres élus par un peuple déboussolé qui ne les connaît pas pour ce qu’ils sont. Réfléchissons pour qui nous votons !

  2. Posté par rikiki le

    Tout à fait raison M. Matter, il y a aussi ceux de pure souche comme celui qui est à la présidence du groupe socialiste suisse qui travailla avec force dans un syndicat soi-disant pour défendre l’ouvrier… mort de rire !

  3. Posté par Dominique Schwander le

    Pourquoi ces fils et filles à papa feraient-il l’effort de gagner leur vie avec un vrai travail ou de créer une entreprise et des postes de travail? Nos autorités complices les laissent profiter . Ils me rappelle ces enfants de la FARC colombienne qui vivent dans le luxe en France et soit-disant étudient à Genève, pour se préparer à arriver en politique de gauche!

  4. Posté par bigjames le

    Vraiment dommage de ne pas avoir une traduction.
    Est il possible d’y remédier ?
    Quelqu’un maîtrise t il le suisse allemand parmi les nombreux lecteurs du site ?
    Merci.

  5. Posté par Aude le

    La grosse dame dont j’ai oublié le nom ( c’est dire mon peu d’intérêt pour elle), donc socialiste, lit son journal à l’envers assidûment. Elle doit avoir des facultés hors norme.
    Le parcours de ces jeunes socialistes décrit sous cette angle est surprenant d’aides de l’Etat par des bourses continuelles et la longueur de leurs études. A la charge des contribuables.
    De là ils passent soit directement au Pouvoir ou à des postes dans des syndicats ou différentes asssociations de gauche sinon etatiques Radios et TV.
    Pour une partie, la vie réelle en tant qu’employés ou chefs entreprises, ils n’en connaissent rien.
    Ni le labeur des ouvriers ni la condition d’autres travailleurs du tertiaire.
    Ils sont une théorie ambulante.
    Cette gauche là après avoir abandonné le terrain des travailleurs est complètement dévouée aux migrants qui comme eux vivent de l’Etat, soit politiquement ou économiquement.
    Et ces cas de figures vous les trouvez en France avec les énarques qui eux aussi ne connaissent rien aux vécus du peuple. Des éternels employés d’Etat, fonctionnaires ou politiciens.
    Ne vous posez-vous donc plus la question:
    Pourquoi y a t-il un tel fossé entre les peuples et leurs gouvernements? La réponse réside là.

  6. Posté par Jean Naimar le

    Un tout GRAND OUI à No Billag camarades RTSocialiste et Pressocialiste !!!

  7. Posté par SM le

    Dommage que cet excellent exposé n’ait pas été traduit en français, afin d’obtenir un audimat optimal…!

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