La RTS veut nous refaire le coup des « Faiseurs de Suisses »!

Cenator : la SSR veut, encore et encore, tenter de rejouer le succès mondial des ‘Faiseurs de Suisses’, film qui avait ouvert l’autoroute au règne de l’idéologie gauchiste et à l’invasion de la Suisse. (RTS : …« Succès phénoménal, ce film de 1978 est resté en tête du box-office pendant quasi vingt ans avec plus d'un million de spectateurs. »)

Ce film a été diffusé partout dans le monde, traduit en x langues. La propagande anticapitaliste sous-tendant film a alimenté abondamment la désinformation des dictatures communistes.  Ce film a été mis au programme, imposé cela va sans dire, des classes d’écoles des pays de l’Est. Ainsi, des milliers et des milliers d’écoliers, en Allemagne de l’Est, en Tchécoslovaquie, en Hongrie, etc. ont vu ce film.
Film parfait, selon les dirigeants totalitaires, pour maintenir assujettis leurs sujets en leur présentant un supposé enfer xénophobe en Suisse.

Le simple fait que ce film ait été utilisé par les propagandistes des régimes totalitaires de l’Est devrait susciter une réflexion, une méfiance et une saine retenue à son égard.

L’image de la Suisse a terriblement souffert à cause de ce film, les clichés qu’il véhiculait se sont collés à jamais au peuple suisse, qui est, en réalité, généreux (les Suisses donnent beaucoup pour aider les étrangers, ils sont en tête des pays classés selon leur générosité par tête d’habitant), paisible et accueillant.

Les pays comme la France, avec leurs soixante-huitards perpétuels, se sont  gargarisés durant des décennies avec des « Suisses xénophobes », « Suisses fermé sur eux-mêmes » alors qu’ils ont un taux d’étrangers bien inférieur à celui de la Suisse.

Et voilà, on n’abandonne pas si vite une formule qui marche ! Ce nouveau film, produit avec l’argent des contribuables, prône le multiculturalisme, ridiculise et caricature les patriotes en cherchant à rendre sympathique une musulmane foulardée, qui serait, bien sûr, un élément valorisant pour la Suisse, une vraie Suissesse en devenir.

En fait, combien de femmes parmi les réfugiés musulmans s’assument au niveau financier ?

**********

La comédie Boomerang de Nicole Borgeat, miroir d’une Suisse multiculturelle

Genève, le 31 janvier 2018 – Se retrouver dans le corps d’un autre ? C’est le point de départ étonnant de la nouvelle fiction romande réalisée par Nicole Borgeat et coécrite avec Jacqueline Surchat. Coproduite par la RTS avec Alva Film (Genève) et Need Productions (Bruxelles), Boomerang est une comédie joyeuse sur l’identité et l’intégration. Ou lorsque deux personnages que tout oppose sont forcés de vivre la vie de l’autre et de se confronter à leurs préjugés. Un téléfilm de 90 minutes, en compétition pour le Prix du public des Journées de Soleure, à découvrir mercredi 7 février à 20h10 sur RTS Un.

Tourné l’été dernier dans le canton de Fribourg, Boomerang dresse le portrait d’une Suisse multiculturelle où les citoyens se côtoient sans vraiment se connaître. Pour questionner ce vivre ensemble, les scénaristes Nicole Borgeat et Jacqueline Surchat ont imaginé un body swap, un changement de corps, dont les doubles rôles sont brillamment tenus par les comédiens Marlène Saldana et Guillaume Kerbusch. 

Alors qu’il vient d’être choisi par son parti pour une élection cruciale, un jeune politicien ambitieux aux idées xénophobes se réveille dans la peau de sa femme de ménage, une demandeuse d’asile kurde, musulmane et voilée, qui elle, se réveille dans sa peau à lui. Comment dépasser leurs préjugés respectifs pour ne pas tout perdre ?

Deux êtres coincés, malgré eux, dans la peau de l’autre, troquant pêle-mêle famille, culture, langue, sexe, genre et domicile, sans savoir combien de temps durera cette expérience étrange. C’est avec humour et sensibilité que la réalisatrice Nicole Borgeat met en scène ce duo antinomique. Théo et Berivan, deux personnages à la fois ancrés dans leurs certitudes et pleins de contradictions, dont l’inversion des corps va bouleverser profondément leur regard sur l’autre.

Des procédures d’asile au fonctionnement d’un parti politique, Boomerang aborde avec légèreté et singularité des thématiques qui ont plutôt pour habitude de déchaîner les passions. Une fiction touchante pour s’immerger dans des vies originales, l’occasion d’égratigner avec le sourire certaines incohérences individuelles ou culturelles de notre pays.

http://www.rts.ch/entreprise/espace-pro/communiques-de-presse/9295657-la-comedie-boomerang-de-nicole-borgeat-miroir-d-une-suisse-multiculturelle.html

7 commentaires

  1. Posté par Maurice le

    C’était pire que des faiseurs de Suisses, ça l’est encore d’ailleurs, puisque ce sont des fabricants de binationaux…

  2. Posté par jack Palance le

    « Les faiseurs de Suisse » date de 40 ans !……les temps ont bien changé depuis et je pense que ce genre de daube d’étron propagandiste risque de se ramasser le boomerang en pleine poire !…mis à part un visionnage forcé dans les écoles et par quelques (trop nombreux) abrutis lobotomisés, voilà encore l’exemple d’un paquet de pognon foutu en l’air !….avec le mien….le votre !…On a vu les « grands films » de l’immigré Fernando Melgar ce que cela à donné !….de la merde mensongère clairement orientée…son propre père lui à dit : « j’aurais préféré que tu m’annonce être homosexuel que d’avoir le passeport suisse »…..finalement, il est peut être les deux à la fois !?…

  3. Posté par Yolande C.H. le

    Dans cette propagande du multiculturalisme, on met en scène exclusivement des individus, en escamotant totalement la construction politique, économique et sociale érigée sur le territoire.

    D’un côté, vous avez une résidence bien construite par un groupe solidaire où tout est bien organisé, de l’autre une bicoque où règne soit le totalitarisme soit la gabegie.

    On préférera donc émigrer et s’installer dans un confort assuré, et utiliser les ressources de ce groupe, pour les filmer et les critiquer, grâce au degré de grande liberté qu’il a instauré, parce que cela s’avère impossible dans les régimes répressifs ou totalement chaotiques. On insulte donc ceux qui assurent la stabilité d’un système émérite.

    Défendre la mentalité (culture suisse), c’est maintenir le bon fonctionnement de la «résidence», ce qui exige d’en acquérir les capacités, à savoir défendre tout ce qui la constitue. De ce fait, vérifier quelques notions linguistiques, géographiques, historiques et culinaires chez les candidats à la citoyenneté, c’est du pipeau.

  4. Posté par Tommy le

    On n’a jamais vu une musulmane réfugiée faire des ménages.
    Enfumage!!!
    La générosité du social remplit amplement leurs poches.

  5. Posté par Hotch le

    Encore une merdouille gauchiasse coproduite par la RTS avec l’argent du racket.
    Est-il nécessaire de le répéter : NO BILLAG !!!

  6. Posté par Dominique Schwander le

    Les gauchos internationalistes et mondialistes adorent faire du tort à leur patrie, pour la détruire et créer leur dictature à la bolchévique.
    Il n’en reste pas moins qu’à voir les horreurs que font certains immigrants naturalisés suisses, les exigences pour devenir suisse et leur sélection devraient être beaucoup plus sévère.

  7. Posté par Bussy le

    Donc, si on en croit certains, le foulard musulman et tout ce qu’il véhicule est un apport positif à la Suisse… ?
    L’abattage halal aussi peut-être ?
    L’imam qui décide à la place des électeurs et parlements aussi ?
    Les heures de piscine réservées aux femmes, aussi bien sûr !
    Les cafés où il n’y a que des hommes, et oui !
    Il y a de gros problèmes qui s’accumulent… pollution… surpopulation… il faudrait aller de l’avant….. et malheureusement les détenteurs de la vérité et autres bien-pensants ne pensent qu’à nous faire retourner au moyen-âge…. ne seraient-ils pas un peu cons ?
    On est mal parti !

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.