Paris est en mains socialistes, symbole du multiculturalisme et de l'immigration clandestine.
La différence de la situation entre 1950/1960 et aujourd'hui explique bien des choses sans avoir besoin d'autres commentaires.
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Preuve à l’appui, les employés de la Ville de Paris dénoncent la prolifération des rats dans la capitale. La mairie assure avoir pris la mesure de la situation.
La vidéo est impressionnante. C’est une masse de rats qui pullulent dans une benne à ordures de Paris. Les gros nuisibles gris s’amoncellent pour avoir leur part du butin du jour et sautent parfois sur les hautes parois de la poubelle.
La scène a été filmée le 9 décembre dernier sur les berges de Seine, entre le musée d’Orsay et le Pont Royal (Paris, VIIe) par David*, un des employés de la Ville de Paris, en charge de la propreté dans la capitale. Ce matin-là, les éboueurs doivent vider les bennes enfermées dans des cages cadenassées. Horreur en ouvrant l’une d’entre elles. Mais c’est loin d’être la première fois, assure David au Parisien : «Depuis un an, on constate une prolifération des rats dans tous les arrondissements qui bordent la Seine».
De quoi détériorer les conditions de travail des agents de la Ville. «Le matin, on y va à reculons», peste David qui déplore la situation «tant pour les Parisiens que pour les touristes, qui viennent visiter la plus belle ville du monde».
«Un rat lui a sauté à la gorge»
Si les employés de la mairie sont vaccinés avant d’entrer en fonction, ils redoutent «les attaques» de ces nuisibles et les maladies qui en découleraient. «Un collègue m’a raconté qu’un rat lui avait sauté à la gorge et un autre au bras», relate David qui reconnaît : «A ma connaissance, il n’y a pas eu de morsures pour le moment, mais on ne veut pas attendre qu’il y ait un drame.»
Alors les éboueurs appellent la Ville «à prendre les mesures pour éradiquer le problème» et les restaurateurs des berges de Seine à mieux se comporter. «Les restaurants ont une quinzaine de bennes à leurs dispositions, certains laissent tout de même des sacs poubelles à l’extérieur».
La mairie, de son côté, explique avoir connaissance du phénomène de ces rats «que l’on voit plus en plus dans l’espace public» et dont «les agents de la Propreté et des Espaces Verts sont les premiers témoins». «Toutes les directions concernées ont pris le problème à bras-le-corps», réagit Mao Peninou, adjoint au maire, en charge de la Propreté, qui rappelle qu’en septembre dernier, la mairie a débloqué 1,5 million d’euros pour lutter contre ces nuisances. «Nettoyage renforcé, remplacement de l’ensemble des corbeilles publiques ouvertes en accord avec le plan Vigipirate par des poubelles fermées», opérations de dératisation dans les jardins et surtout «lutte contre les incivilités», résume Mao Peninou. Objectif ? Eviter de transformer la capitale en garde-manger géant pour rongeurs urbains.
*Le prénom a été changé
Rappels:
Bon d’accord il y a des rats ,mais on le sait , ceux qui m’inquiète sont ceux qui arrivent par bateau et qui débarque par milliers , tous pullulants et déambulant dans nos ville , ils nous sautent aussi dessus et nous apporte des maladies , et là on fait quoi ?
@elsaesser : Il faudrait que le « Rattenfänger von Hamelin » ( Joueur de Flûte de Hamelin ) joue sous les fenêtres de l^Hôel de Ville de la Ville de Paris … les rats sont partout !
Mao devrait faire comme en Chine, un parisien devrait tuer un rat chaque jour… c’est aussi cela le maoisme…
Sans parler de la présidence et ses ministres !
« Mao Peninou »; Mao chargé de la propreté de Paris ? Rions trois fois : ouah un, ouah bis, ouah ter ! Il y a toujours des rats dans les égouts de toutes les villes de la planète : la ville et sa promiscuité, la sur-consommation aussi, donc ses sous-produits putrides, favorisent la prolifération de ces sales bêtes. Mais dans une ville propre, les raticoles restent sous terre. Or il semblerait qu’à Paris, des quartiers soient plus sales que les écuries d’Augias, suite à la prolifération d’une autre sorte de faune. Des reportages nous montrent des tas d’immondices à ciel ouvert. Ah ! On vous dira que c’est la faute des restaurateurs qui ne mettent pas leurs sacs dans les bennes. Et si les bennes étaient hyper-chargées ? Et si les tas d’immondices ne venaient pas des restaurateurs mais de certains restaurés aux frais des contribuables majoritairement Blancs ? « Allez, circulez, y a rien à voir ! » Paris est la Cité Radieuse du Socialisme de Mme Hidalgo, voyons ! Décidément, ces salopards de rats sont fââââchistes !
Mais voyons, ces pauvres rats- eux aussi ces sont des migrants sans rien, qui fuient peut être leurs pays? Est-ce qu’il ne faut pas les « accueillir » dignement, eux?
Seul un nouveau « Rattenfänger von Hamelin » ( Joueur de Flûte de Hamelin ) pourra débarrasser Paris-bel-Abbesses de ses millions de rats qui sont encore plus nombreux dans le reste de l’hexagone…
La mairie de « Paris la Crasseuse » à débloqué 1,5 millions d’euros pour nettoyer et tant qu’elle ne reglera pas le problème à la source c’est chaque année qu’elle devra débloquer 1,5 millions, cqfd.
Mais les ambitions de la mairesse gauchiste sont à l’opposé du bien être des parigos bobos.
Au dela de ça les rats restent moins dangereux que la galle et la tuberculose, quelle ville décadente.
Et encore, on ne parle que des rats à 4 pattes…Ville devenue une poubelle. Quel gâchis.
La pullulation des rats est proportionnelle à celle des nouveaux arrivants. Il suffit de prendre le métro et de se promener dans le nord et le nord-est de Paris, on est tout de suite fixé: la saleté et les ordures dominent, l’idéal pour les rats. D’ailleurs même les quartiers centraux sont sales. Tout le monde s’en plaint, d’autant que c’est une image déplorable pour le tourisme, mais Hidalgo s’intéresse plus à empêcher les automobilistes de circuler et à accueillir toujours plus de migrants, plutôt que d’avoir une capitale propre. Moi qui ai connu Paris dans les années 70/80, où il faisait bon se promener dans des rues propres, je suis écœurée. J’ai bien sûr déjà vu un rat et des souris entre les rails du métro, ce qui prouve que ces charmantes bestioles ne sont guère émotives (!), j’en ai aussi vu dans plusieurs parcs… On retourne au moyen-âge, à tous les niveaux.
Cela fait depuis mai 68 que les rats règnent sur Paris!