Merci à Gilles Vuilliomenet
Pablo Servigne et le concept de «collapsologie»
Pour le chercheur multidisciplinaire Pablo Servigne, l’utopie a aujourd’hui changé de camp, tant il devient impossible d’occulter l’inévitable, soit la fin programmée du mode de vie typique de notre monde industrialisé. D’où l’urgence de penser la suite.
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Miranda, vous avez raison sur le fond: la solidarité est fondamentale. Mais il ne faut pas non plus verser dans l’angélisme. Ce que vous produirez dans vos potagers, vous et vos voisins, fera immanquablement envie à d’autres, qui n’auront cesse de vouloir vous le voler, par la ruse, la force ou la violence.
Je suis désolé de vous inciter à plus de réalisme, mais je suis certain d’une chose: s’il faudra des travailleurs et des jardiniers pour cultiver, il faudra aussi des guerriers pour protéger les récoltes. J’espère qu’il ne sera pas nécessaire de transformer tous les quartiers solidaires et autonomes en camps retranchés, mais il faudra d’une façon ou d’une autre vous prémunir contre les hordes de pillards.
Certains n’ont ni morale, ni envie de travailler, et on les voit déjà à l’œuvre. Pour l’heure ces parasites s’en prennent aux richesses visibles, dans les grandes surfaces et dans les villas mal protégées. Où iront-ils lorsque les magasins seront fermés et qu’ils auront faim?
S’il faut du terrain, des outils et des graines, il faudra hélas aussi des barbelés, des armes et des munitions.
L’un ne va pas sans l’autre, la capacité d’un petit groupe à faire face à un effondrement dépend de ces diverses compétences. On peut croire en l’homme, mais ne pas s’illusionner sur sa nature. Les crises génèrent des situations extrêmes. La meilleure des mères sera prête à tuer un inconnu si cela lui permet de récupérer du pain pour son enfant.
Désolé.
Jeferson, janvier 2018
IL PEUT NE PAS Y AVOIR DE GUERRES si nous pratiquons la solidarité, le partage, l’encouragement.
Je vis dans un quartier ou il y 30 maisons individuelles entourées par quatre bâtiments de quinze étages.
Nous sommes donc assez nombreux pour créer une zone de SOLIDARITE, pour nous organiser en cotisant pour un système d’aide financière, pour créer des potagers dans les « jardins fleuris que nous possédons », pour faire des achats groupés qui permettront d’avoir des prix plus bas etc.. EN SOMME UNE COOPERATIVE DE QUARTIER.
Y AURA PAS LE CHOIX.
Avant que les drames n’arrivent, il serait temps d’imaginer cette sorte de solidarité. Même si elle ne doit pas débuter aujourd’hui, il faut apprendre à s’orienter vers ce système le plus tôt possible. PLANIFIER LA SURVIE.
Ca permettra aussi « aux différentes communautés » qui risquent de se faire la guerre ( à cause de l’invasion migratoire – oeuvre de nos « grand esprits des hauteurs ») DE SE CENTRER SUR CE PROGRAMME URGENT DE SURVIE.
AINSI NOUS NE SUBIRONS PAS CE COLLAPSUS décrit par ce Monsieur, si nous acceptons d’exprimer TOUTES LES RESSOURCES QUE NOUS POSSEDONS EN NOUS.
Mais le texte de ce chercheur est très précieux à garder, à photocopier pour le jour où nous devrons CONSCIENTISER le quartier dans lequel nous vivons, pour l’orienter vers la solidarité. A mon humble avis, c’est pour bientôt.
Il y aura peut-être des guerres…. en effet,et ça partira par des guerres civiles en Europe que certains font tout pour promouvoir…. et effectivement nous allons de plus en plus vite dans le mur ce qui ne nous empêche pas d’accélérer davantage… et faut reconnaître que des gens comme Trump, malgré son bon côté de remette à leur place nos zélites pourries, accélère à fonds ….
Il faut donc se préparer à traverser une zone de turbulences, et malheureusement, avec les élites et politiciens que nous avons, ça va être douloureux !
Un des puissants de cette planète avait dit que pour lui, 300 ou 400 millions d’habitants semblaient idéal pour notre planète… c’est peut-être dans cette direction qu’ils nous font aller…. avec l’aide des idiots du système et autres islamos-collabos…
« Tôt ou tard, d’une manière ou d’une autre, l’humanité sera confrontée au problème global de sa survie » Dixit récit love story « les corps indécents ».
C’est marrant: quand des gens de droite disent que le système est en train de se casser la gue…, ce sont des extrémistes, des « survivalistes », et ça coûte une réélection à Freysinger. Quand ce sont des gens de gauche, des bien-pensants, avec la « caution morale » de l’écologie en plus, l’effondrement devient un thème d’actualité légitime. Cherchez l’erreur…