Quatre Nigériennes arrêtées, cinq autres dénoncées, trois gendarmes blessés et une structure dévastée.
C'est le bilan d'une révolte qui a éclaté l'autre après-midi dans la communauté pour femmes, à l'Institut "Immaculée Conception" de la Place Cavour, dans la ville de Naro. La bagarre a été déclenchée par les migrants car ils n'étaient pas satisfaits de l'aménagement du bâtiment et du traitement qui leur était réservé.
Les gendarmes de la Compagnie de Licata ont menotté quatre jeunes femmes entre 18 et 19 ans qui doivent répondre de rixe, lésions corporelles, dommages aggravés à la propriété et résistance aux forces de l'ordre. Cinq cependant, des mineures qui pour les mêmes accusations ont été dénoncées au Parquet du Tribunal pour Mineurs de Palerme, se trouvent en liberté.
Contrairement à ce qui s'est déjà passé à Agrigente ou dans d'autres municipalités de la province, cette fois-ci, il n'y a pas eu de protestation en raison du dysfonctionnement du wi-fi, du manque d'eau chaude ou de nourriture non appréciée. Il s'agirait de problèmes d'habitabilité dans la structure. Et durant des jours, elles ont répété qu'elles n'étaient pas satisfaites de l'accueil et du lieu. Sans oublier les antipathies de toutes sortes entre les hôtes eux-mêmes. Des difficultés qui se sont concrétisées lors la manifestation massive l'autre après-midi. Elles se mises d'accord et le moment venu, elles ont déclenché une véritable révolte.
Elles ont présenté la "note" à la structure. Elles ont fait face aux employés, les empêchant d'effectuer leur travail. A ce moment, la situation s'est dégradée. Elles ont mis à exécution un véritable raid. Meubles et bibelots endommagés Une employée du centre, effrayée par la situation, s'est précipitée pour appeler le standard d'urgence, priant les forces de l'ordre d'intervenir rapidement.
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Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
Nos remerciements à Victoria Valentini
Je peux vous garantir qu’en sicile les migrants ne sont pas traité de la même manière et ceux qui leurs viennent en aide sont encore plus mal traité que chez nous.
Vu de mes yeux.
Il doit y avoir autant de musulmans dans les rues que de tibétains à Lausanne, c’est ici en Suisse qu’on doit s’inquiéter ou que l’on va dans ce pays on croise des musulmans.
En sicile les animaux on plus de valeur que ces gens là et je sais de quoi je parle.
Mateo Sollner à 22h17. comme je partage votre avis !!!
toutefois eviter d’utiliser l’expression ALLO, lancée par une huitre..
Le plus incroyable étant les employés qui travaillent pour ces migrantes, interrompus dans leur travail alors qu’ils étaient là pour les servir, pour nettoyer, pour gérer l’installation.
Même en les soutenant, ils arrivent encore à agresser, comme si tout ceci était normal, comme si nous étions leurs esclaves. Aucun respect, rien!
Pendant ce temps, les Italiens vont mal, tentent laborieusement de joindre les deux bouts. On est vraiment devenu fou en Europe!
quelque chose m’échappe, ils auraient parcouru des milliers de kilomètres, souffert dans des conditions atroces, bravant le froid au péril de leur vie (lit-on dans la presse) et ces pauvres princesses ne peuvent pas se contenter d’un LOGIS et de nourriture OFFERTE????????????????? NON MAIS ALLO QUOI????????????????????????????? Ils savent qu’en foutant le bordel, ils obtiennent davantage en Europe. Vive les DH et la démocratie UE.
http://www.fdesouche.com/939579-violences-sexuelles-vih-precarite-la-fragilite-des-migrantes-en-france
Mais pourquoi gaspiller encore plus de ressources de l’état sur ces déchets humains qui n’ont, et n’auront jamais rien à faire ici en Europe?
Qui c’est qui prend ce genre de decision?
Il faut les remettre tout de suite sur des barques pour les renvoyer chez elle, après leurs avoir repris les nouveaux portables, habits, argent et autres cadeaux qu’elles avaient reçues en arrivant!
Ce n’est pas les policiers qui devraient intervenir dans ces cas-là, mais les responsables et les membres des ONG qui favorisent les migrations. Et qu’ils paient les ^dégâts et la remise en état des locaux.
Retour au bled de ces sauvages !
Remigration d’office pour toute cette racaille violente.
et personne ne sait les mettre à bord d un avion , la elles iront vivre chez elles dans leur « HUTTE » LA ELLES SERONT RAVIES DE LEUR Hébergement
Que les autorités judiciaires les donnes a Cosa nostra qui va leur trouver un jolie travail en « Maison » ou bien apprendre a « Nager ».
Ça me dépasse … mais pourquoi on ne leur donne pas un parachute pour larguage au dessus du Nigéria ?