Notre Parlement vient de légiférer sur la mise à mort des homards. Non, le ridicule ne tue pas, en tout cas pas au Palais Fédéral.
Alors que l’invasion migratoire qui se déverse sur notre pays met en danger son existence même, alors que le Parlement ne veut pas mettre en application les résultats des votations populaires (« 9 février », « expulsion des criminels étrangers », « prison à vie des délinquants irrécupérables »), voilà que nos édiles se préoccupent de la souffrance des homards.
Adèle Thorrens, conseillère nationale, est montée aux barricades*, cette loi était indispensable pour ce sujet brulant d’actualité.
Rappelons-nous que « Selon l’étude de l’UNIGE, les élus ont un salaire médian brut de 14'400 francs par mois pour 42 heures par semaine à 100%. »** […]
Par ailleurs, […] Ils reçoivent, par exemple, une contribution annuelle aux «dépenses de personnel et de matériel» de 33'000 francs. Ils peuvent garder cette somme pour eux-mêmes, ce qui constitue un revenu indirect. Et le plus beau, c’est que cette somme n’est pas imposable. » […]
Avec un revenu pareil, on comprend pourquoi le homard – mets de luxe – fait partie de leurs préoccupations.
Ceci dit, nous sommes totalement opposés à la cruauté envers les êtres vivants. Les escargots ébouillantés ont un sort encore pire : préalablement, ils sont dégorgés vivants avec du sel. Ce genre de cruautés devrait également disparaître, quelques reportages dans les médias suffiraient pour changer les mentalistes culinaires.
Mais de là à légiférer et créer des instances de contrôle pour surveiller si le trépas des homards est réglementaire, il y a vraiment un pas à ne pas franchir.
D’une manière générale, les écologistes s’emparent de sujets de plus en plus décalés, car être écolo ne constitue pas une opinion politique mais une vision de la société. Ce sont des partis « bidons » avec des politiciens bidons qui se sont emparés de toutes les causes à la mode pour rester dans l’actualité et recueillir les voix des gens simplistes.
Le marxisme se prête à merveille à toutes sortes de recyclages idéologiques, car les théories marxistes (aux variances infinies) reposent sur du « n’importe quoi », déconnecté de toute rigueur permettant une compréhension univoque de ce fatras. Regardez les « altermondialistes », les Antifas, la « Jeunesse Socialiste », ils sont tout à fait interchangeables et leur point commun, c’est le n’importe quoi, marié à une crétinerie crasse (dont ils ne sont bien sûr pas conscients).
Sur des bases marxistes, on pourrait créer un parti/mouvement de la « santé » ou du « respect des morts », ou de « l’amitié des peuples », …, les possibilités sont infinies.
Cohn-Bendit est une figure emblématique de ce genre d’opportunisme. Lorsque le marxisme et la cause de mai 68 ont commencé à passer de mode, il s’est rué sur la cause du « réchauffement climatique » et il a pu continuer sa carrière et profiter des projecteurs du Parlement Européen et devenir un européiste fanatique. Ses remplaçants, comme Guy Verhofstadt, qui se trouvent sur la liste « Soros », ne diffèrent en rien de la tradition du « prêt à tout pour garder ses avantages ». Les ‘causes’ pour continuer le « combat » ne sont que des prétextes.
*http://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/va-t-on-trop-loin-avec-la-protection-des-animaux?id=9216843 – 10.1.18, Forum. Débat entre Jean-Marie Surer, vétérinaire, ancien député PLR vaudois, et Adèle Thorens, conseillère nationale (Verts/VD).
**https://www.tdg.ch/suisse/Les-parlementaires-federaux-gagnent-bien-leur-vie/story/23047510
La réponse tient en deux mots : Boucherie HALAL !
C’est certes louable de faire de nouveaux textes législatifs pour s’occuper du bien être des décapodes marcheurs vivants….mais ne serait-il pas possible de s’occuper de l’application des textes EXISTANTS, et qui eux sont très probablement allègrement bafoués.
Alors, ça va être déci de fendant tout seul, ou avec un quignon de pain 🙂 🙂 Pauvres Suisses!
Sujet d’actualité de première importance. Cela ne pouvait arriver qu’au Parlement peuplé de fonctionnaires surpayés, désœuvrés vaquant à des tâches indistinctes dans les ateliers protégés des bâtiments fédéraux.
Me voilà bien embêté ! J’ai l’habitude de me faire un oeuf coque pour le petit-déjeuner, vais-je devoir mettre à mort le petit poussin en devenir par électrocution, ou un autre moyen radical avant de plonger mon oeuf dans l’eau bouillante ? Au secours, Adèle, je ne voudrais quand même pas faire souffrir un pauvre animal…
Les parlementaires feraient mieux de s’occuper des islamistes tortionnaires des chrétiens d’Orient et des occidentaux en général, plutôt que de ceux des homards, même si les animaux méritent qu’on les fasse souffrir le moins possible avant de les consommer.
Une bonne occasion pour engager une trentaine de fonctionnaires pour contrôler si le transport et la mise à mort respectent la loi.
Excellent résumé du marxisme.
Au lieu de s’occuper des homards, nos ploucs de politiciens feraient mieux de s’occuper des Omar.