Macron avait pourtant promis l’instauration d’un nouveau service militaire obligatoire. Mais sans doute était-ce une fake news.
Le candidat à la présidentielle avait promis durant sa campagne qu’un service militaire obligatoire et universel d’un mois serait mis en place lors de son quinquennat. Il paraît que c’était très important. Finalement et c’est un revirement conséquent bien loin de l’idée originale, il prendrait la forme d’un « parcours citoyen » d’une semaine par an au collège et au lycée, selon la piste étudiée par les députés en charge d’établir un rapport publié à la fin du mois.
Bien moins compliqué et moins coûteux pour l’Etat, « d’autant plus qu’il existe déjà en partie dans les programmes de l’éducation nationale », nous explique-t- on. Autant dire qu’il va être réduit à rien. Déjà qu’il n’était plus grand-chose.
La Journée nationale d’appel rebaptisée en 2011 « Journée défense et citoyenneté », était déjà la portion congrue. Mais au moins permettait-elle pour des garçons et des filles de 18 ans, de passer une journée entière dans une enceinte militaire, d’entendre parler de l’armée française, de ses missions et de ses métiers.
Elle va être remplacée par le dernier des bourre-mous « civique et citoyen » : un stage d’une semaine dans une association caritative pour améliorer le « vivre ensemble ». Merci Macron dont on commence à percevoir les contours de ce quinquennat qui prend chaque jour un peu plus ses marques idéologiques !
Ce « parcours citoyen » d’une semaine comporterait deux phases. Une phase scolaire pour les élèves de 10 à 16 ans, encadrée par des enseignants et volontaires du service civique consacrée à la défense et à la sécurité, mais aussi aux gestes qui sauvent, aux droits et devoirs, ou à la mémoire… Et une « semaine d’immersion pour favoriser la mixité sociale et les valeurs fraternelles » (sic) organisée en classe de seconde. « Auprès des personnes âgées, des sans-abris », précise France Info. Et pas des migrants ?
Même les syndicats d’enseignants de gauche y perdent leur latin. « Les formations premiers secours s’organisent déjà beaucoup dans les écoles depuis les attentats de 2015 », relève Jean-Rémi Girard, du SNALC. « Mais les enseignants ont autre chose à faire. Tout cela sent la fausse bonne idée qu’on a eue entre la poire et le fromage et qui n’a strictement aucun rapport avec la promesse de départ. »
« Une semaine sur la défense, pourquoi pas ? », renchérit Frédérique Rolet du SNES. « Mais s’il s’agit de mettre des panneaux dans les couloirs du lycée comme on le fait pour la semaine sur le harcèlement, ce n’est pas très original, ni franchement nouveau. On préférerait juste ne pas multiplier ces semaines thématiques qui sont déjà très nombreuses. »
Des semaines entières à longueur d’années, contre le racisme, contre la discrimination, contre le sexisme, pour le Vivre ensemble et les 5 fruits et légumes par jour, pendant lesquelles des cours sont supprimés. Le service militaire servait aussi à ça, tiens, à déceler le taux d’illettrés et d’analphabètes à l’âge de 18 ans. Et alors là, mieux vaut sûrement casser le thermomètre en effet.
Photo : Une exaltante immersion au service de l’antiracisme, de la mixité culturelle et des 5 fruits et légumes par jour…
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Extrait de: Source et auteur
C’est sûr que ça va en faire des guerriers aguerris “le vivre ensemble”. Le problème avec l’instruction militaire c’est le nombre de petits muzzs qu’il faudrait réformer pour diverses causes telles que : radicalisme, chichon, incapacité intellectuelle et j’en passe. Effectivement c’est plus facile d’apprendre aux petits français de souches à vivre avec son nouvel envahisseur. PS : Y aura-t-il des cours d’arabe et d’étude du coran au menu allal ?
Une semaine “d’apprentissage” de “vivre ensemble” à l’école…
Les élevés qui vont à l’école, dont l’education consiste de contribuer à la société, et qui vont passer leur vie à travailler et payer des impôts, eux auront droit à des leçons d’apprentissage de “vivre ensemble”… les “djeunes”, eux, qui des toutes façons ne vont pas à l’école, qui traînent dans la rue à dealer, agresser, voler, détruire et commettre d’autres délits, et qui sont arrosés de l’argent du contribuable, n’en ont pas besoin de toutes façons.
Mais bon, si les parents acceptent cela, ils auront ce qu’ils méritent.
Surtout ça va encore être payé par mes impôts!
Embrigadement , formatage , domestication , bourrage de crânes , manipulation , mise au pas , viol des âmes , déculturation . . . n’hésitez pas , ajoutez les qualificatifs !