Jean-Luc Mélenchon s’en prend vivement à la Suisse

Jean-Luc Mélenchon a parlé de la Suisse en termes peu élogieux durant 10 minutes lundi à la tribune de l'Assemblée nationale, évoquant sa fiscalité "inadmissible", sa "moralité suspecte" et une "zone de non droit".

S'exprimant lors d'un débat concernant l'accord relatif à l'aéroport de Bâle-Mulhouse, le député de la France insoumise (FI) a longuement détaillé les pratiques fiscales helvétiques particulièrement défavorables à la France à ses yeux, certes devant une audience très clairsemée.

Selon Jean-Luc Mélenchon, "personne n'est dupe de ce qu'est la Suisse dans l'univers de l'évasion fiscale, de la fraude et des trafics". "Le 4e paradis fiscal au monde", a-t-il ajouté.

"Qualité de l'air particulière"

Le député FI a en outre évoqué "la qualité de l'air particulière" de la Suisse "puisque la moitié des milliardaires français y sont installés" pour éviter de payer des impôts.

"La relation fiscale avec la Suisse doit changer, puissent les dirigeants suisses entendre la voix des Français tant qu'elle est énoncée avec bonhomie, tranquillité et patience", a encore tonné le politicien.

"Nous avons le devoir de demander des comptes aux Suisses", a-il conclu, interpellant le gouvernement français.

"Centre international du blanchiment"

Jean-Luc Mélenchon a encore qualifié la Suisse de "centre international du blanchiment" avec ses 245 entrepôts douaniers et 20 ports francs qui sont des "zones de non droit".Le député a notamment insisté sur le port franc de Genève, qui est à ses yeux une "sorte d'équivalent de la caverne d'Ali Baba". Il assure que des milliers d'oeuvres d'art volées en Irak et en Syrie y dorment sans que personne ne s'en préoccupe.

 

Source RTS

43 commentaires

  1. Posté par Bonardo le

    Et Cher Monsieur Mélanchon petit retour en arrière :vous rappelez vous quand la Suisse avec sa générosité n`a pas hésité à prendre vos compatriotes malades du Covid chez nous en Suisse ??Avez vous dit quelque chose par exemple :MERCI A LA SUISSE ? Je ne crois pas ,alors mon conseil Cher Monsieur merci de vous taire ok.

  2. Posté par Bonardo le

    Ce Monsieur est malade très malade par pitié un peu de compassion ,il faut lui venir en aide et rapidement ,mais ce Monsieur oublie que nous pourrions également faire part de critiques virulentes sur son pays et les frontaliers ,mais nous n`allons pas nous abaisser à ce triste sire .
    Nous avons des établissements spécialisés pour traiter des malades comme lui au cas ou !!!!

  3. Posté par louis mélennec le

    UNE OEUVRE CIVILISATRICE DU PAYS DE M. MELENCHON : L’ASSASSINAT DES LANGUES.
    (Louis Mélennec)
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    , cci : Jean-Jacques, cci : Jean-Claude, cci : jean-luc.melenchon, cci : erwan, cci : Vincent, cci : permanence-jean-lassalle, cci : alexis.corbiere, cci : ghildasdurandtouz, cci : Claude, cci : Bretaigne

    La mort annoncée de la langue nationale des Bretons.

    Un crime parfait, un linguicide, dont le coupable est connu, mais qui ruse encore. La disparition de la langue : dans combien d’années ?

    Les statistiques dont on dispose sur la perte annuelle des locuteurs Bretons sont imparfaites. Mais suffisantes pour voir parfaitement clair dans le jeu machiavélique que joue le pays d’à côté, avec une hypocrisie parfaite, procédé dont il a toujours usé avec les Bretons.

    En 1863, on estimait le nombre de locuteurs bretons à 1,6 million d’habitants. Le nombre de locuteurs unilingues était à l’époque supérieur au nombre des bilingues.

    Le drame se manifeste un siècle après la révolution dite, par ironie, « des droits de l’homme », à la suite de l’enseignement obligatoire instauré par Jules Ferry, en 1881 et en1882.

    Dans sa proposition de 1933, Yann Sohier, sympathisant communiste – mais Breton – affirme que le breton est parlé par un million de personnes. Ce chiffre ne paraît pas exagéré. Il réclame un enseignement bilingue. Sans succès, bien entendu.

    En 1940, survit encore un nombre élevé de personnes âgées, la langue se maintient à des taux élevés jusqu’en 1945-1950.

    Entre les deux guerres, intervient un autre mécanisme. Les parents – les mères spécialement, celles qui ont été martyrisées par leurs instituteurs pour avoir commis le crime de parler leur langue maternelle dans la cour de leur école, réalisent que leurs enfants seront avantagés dans leur avenir professionnel, s’ils parlent le français ; ils auront sans doute du mal à trouver du travail s’ils ne parlent pas le langage de l’occupant. Les élèves les plus doués n’aspirent guère, à cette époque, qu’à des postes modestes, mais qui leur assurent un travail sûr, même peu rémunéré : devenir instituteur, agent des postes, sont considérés comme des promotions sociales. En 1955, l’un de mes camarades de lycée, habitant au Guilvinec, très brillant élève, est reçu au concours de l’Ecole Normale de Quimper. Fonctions fort modestes que celles d’instituteur. Mais pas à l’époque : dans ce pays pauvre et déshérité, c’était une promotion. J’étais présent lorsque sa mère, une femme modeste, a appris la nouvelle : de joie, elle a pleuré, l’avenir de son fils était sauvé !

    Des auteurs mal informés – ou surtout de mauvaise foi – veulent faire accroire que c’est là la cause de la désaffection pour la langue bretonne. Broudic, dans un film Youtube et dans ses écrits, laisse entendre que ce sont les familles qui ont poussé à l’abandon du breton. C’EST FAUX. C’est la politique de persécution de l’État français qui a conduit les parents à mettre leurs enfants à l’abri des horreurs qu’ils ont subies du temps qu’ils fréquentaient l’école de la prétendue république. Le rôle de la famille n’est pas la cause première, mais la cause seconde, le résultat des persécutions subies par les mamans : elles croient protéger leurs poussins, c’est le rôle naturel d’une mère, une conséquence physiologique d’être mère. L’abandon de la langue est la conséquence de la politique de la France, non de la libre décision des familles. Je suis né en pays bretonnant, j’ai donc vécu sur le terrain cette abomination.

    Il y a actuellement 180 000 locuteurs bretonnants. La perte, chaque année, est de 5000 locuteurs. Il n’y a plus un seul locuteur unilingue. Et il est impossible de vivre sa vie en parlant exclusivement la langue bretonne, contrairement au pays de Galles – qui compte 500 000 locuteurs – : la Bretagne toute entière parle français. On estime qu’il est nécessaire qu’une « petite » langue dépasse 200 000 locuteurs pour avoir une petite chance de survie. A condition, encore, qu’il y ait pour cela une très ferme volonté politique. Or, la seule volonté identifiée en Bretagne, est que nos députeux et nos sénateux touchent à la fin de chaque mois. Seul le renvoi de l’administration française dans ses buts, peut nous donner de l’espoir, d’ailleurs très maigre. Goulven Pennoad ·pensait que la langue bretonne sera morte avant quelques dizaines d’années; si les Bretons sont incapables de restaurer un Etat à part entière, ils doivent dès maintenant faire le deuil de leur langue bimillénaire. Je partage totalement cette opinion, et rends responsable de cette mort annoncée nos « députés » et nos « sénateurs ». Je publierai plus tard des extraits de mon abondante correspondance avec cet éminent linguiste, rejeté par tous à cause de ses idées non conformes à celles du système, et de son aptitude à ne pas dissimuler ses idées. Un très grand linguiste, rejeté par les collabos.

    La France a commis un crime parfait : la plupart des Bretons ignorent ce dont ils ont été victimes, car ils sont d’une naïveté exceptionnelle : ils ne peuvent même pas imaginer que la politique linguistique de la France ne vise qu’à faire disparaître la langue bretonne. Les écoles Diwan, les plaques minéralogiques en breton, les examens scolaires que l’on autorise à passer en langue bretonne, les prétendus diplômes de breton, sont du vent : la France joue la montre, et sait très bien que dans peu d’années la langue aura disparu.

    Il est d’une évidence absolue que les enfants auraient pu tout aussi bien apprendre deux langues simultanément, voire trois. C’est pour cette raison que Sohier, Roparz Hémon, Youenn Drézen et leurs disciples, hyperconscients du jeu mortifère et meurtrier de la « république », se sont battus : ils voulaient sauver non pas seulement la langue, mais aussi la Bretagne, et la dignité de ses habitants.. En 1950, les parents parvenus à la cinquantaine sont parfaitement bilingues. Les Bretons coulent, parce qu’on les entraine vers le fond. On ne les sauvera pas malgré eux. Mais un crime de cette ampleur ne restera pas impuni.

    Mon sentiment est que l’identité bretonne, bien plus puissante que l’identité française, détruite par les insuffisants intellectuels qui gouvernent le malheureux pays d’à côté, va survivre. Mais notre langue, en charpie, est déjà quasi-morte.

    Le texte ci-après a été publié dans plusieurs pays, en particulier la Kabylie, dans deux sites. En Bretagne, non : les médias sont presque tous collaborationnistes et financés, c’est à dire vendus.

    Prière de diffuser : la vérité progresse, grâce à vos ordinateurs.

    « Chaque année, je rendais visite à ma vieille mère, en pays Bigouden. Sa langue maternelle était le breton, qu’elle parlait avec jubilation, car c’était la langue de la joie et de l’humour.

    Tous les ans, j’entendais cette langue vénérable. Car les voisines de ma mère étaient bretonnes. Puis, elles sont mortes, les unes après les autres. Une certaine année, m’étant rendu en vacances dans mon village natal, j’ai été saisi d’angoisse. Je me suis demandé pourquoi. J’ai bientôt compris la raison : la langue, assassinée par le pays colonial, n’était plus parlée par personne.

    Sous l’effet de la persécution mentale, ma mère m’avait élevé en français : on lui avait fait honte de sa langue, elle n’osait même plus la parler devant ses enfants ! Mes grands parents étaient exclusivement bretonnants, je n’ai jamais pu communiquer avec eux. Savez vous ce qu’est un enfant qui ne peut parler ni à sa grand-mère, ni à son grand-père, ni aux plus anciens de sa famille ?

    C’est comme une tombe dans laquelle on l’enferme, à peine né. Ce fut un choc terrible : tout était changé; c’est comme si les oiseaux avaient disparu des arbres, et ne chantaient plus. Quoique l’on fasse, Ils ne chanteront plus ces mélodies si suaves, qui ont bercé et enchanté mon enfance, même si on ne les comprenait pas bien.

    On ne peut imaginer ce que fut cette prise de conscience pour moi. Tout un pan de notre civilisation était à jamais englouti dans les abysses. En écrivant cela, si les hommes étaient autorisés à pleurer, de grosses larmes, des vraies, couleraient sur mes joues. Honte au pays criminel ! Quel bilan pour le pays des Droits de l’homme !!! Je ne pardonnerai jamais ce crime à la France. Mais il y en eut bien d’autres.

    Je dis : LA FRANCE, pas les Français, car ils subissent, eux aussi, les mêmes débiles mentaux que nous : voyez ce qu’ils sont en train de faire à leur malheureux pays : une destruction abominable.
    (S’il en était besoin, je rappelle que depuis 20 ans, je suis interdit de m’exprimer dans TOUS les médias français, sans aucune exception; nous sommes plusieurs milliers de personnes dans cette situation).

    BIBLIOGRAPHIE SOMMAIRE.

    Abalain Hervé, Histoire de la langue bretonne, Editions Gisserot, 2012.

    Bauer JP., l’enfant et les langues, Enfance 1979, Persée.

    Colloque de Brest, 1491, La Bretagne, terre d’Europe, Brest octobre 1491.

    Colloque de Versailles, 13-16 mars 1996, Bonn, 1996; pour la Bretagne, Michael Jones a été chargé de la communication, sur Jean IV et son biographe, page 189)

    Catholicon (le), dictionnaire trilingue breton – français – latin, imprimé à Tréguier en 1499, rédigé par Jehan Lagadeuc.

    Kress J.J., Incidences subjectives des changements de langue régionale. In psychologie médicale,, Paris 1984.

    Le Menn

    Bretaigne-Bretagne, site excellemment informé.

    Abalain Hervé, L’histoire de la langue bretonne (Jean-Paul Gisserot, Luçon, 1995)

    Abbé Grégoire, Rapport sur la nécessité et les moyens d’anéantir le patois, et d’universaliser l’usage de la langue française :

    Canut Cécile, A bas la francophonie, Paris 2010, Armand Colin.

    Durand Charles Xavier , La Nouvelle Guerre contre l’intelligence, tome 2 : La Manipulation mentale par la destruction des langues

    Claude Hagège, Le français, histoire d’un combat, le livre de poche, Paris, 1996, pages 82, 86.

    Claude Hagège, L’enfant aux deux langues, Paris 1996, Odile Jacob.

    Le Gonidec de Kerdaniel Jean-François, Dictionnaire breton-français,

    Le Goffic

    Le Quintrec Charles le, Introduction au Barzaz Breiz, Paris 1981, François Maspero.

    Mélennec Louis, Nombreuses publications sur les langues, sur la toile.

    Mélennec Louis, Nation française, nation bretonne, l’effroyable imposture de 1789, article publié sur la toile.

    Mélennec Louis, Qu’est-ce qu’une Nation ? Théorie des nations. Article publié sur la toile :
    Mélennec Louis, La chute définitive d’un concept faux de fausseté absolue : la république française n’est ni Une ni Indivisible . (Louis Mélennec).
    Morvan-Lebesque, Comment peut-on être breton ? Paris 1970, Le Seuil.

    Pennoad Goulven, Correspondance abondante de ce linguiste éminent avec Louis Mélennec, non publiée.

    Perrot Marie-Clémence, L’Etat linguiste, in Mots, Paris n°52, septembre 1977.

    Renan Ernest, Qu’est-ce qu’une nation ?

    Temple Henri, Théorie générale de la nation, Paris , éditions l’Hamattan.

    Walter Henriette, Le français dans tous ses états ( Robert Laffont, Le livre de poche, Paris 1988),

  4. Posté par louis mélennec le

    merci de publier : la république des droits de l’homme : une PUTAIN

    LE PAYS DES DROITS DE L’HOMME ET DE LA JUSTICE SUPERLATIVE : FRANCOIS MITTERRAND : LA FRANCE DEMASQUEE.

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    LA JUSTICE SOCIALISTE DU PAYS DES DROITS DE L’HOMME DU TEMPS DU SOCIALISTE FRANCOIS MITTERRAND.

    Extraits du rapport de Alain BANCAUD sur les horreurs judiciaires de la France, parangon de vertus républicaines. (Je fus l’un des destinataires de ces recherches, ayant été candidat aux fonctions de Médiateur de la République en 1998).
    MAIS ATTENTION ! Il est strictement interdit d’être honnête en France.
    Et si, en plus, vous êtes compétent : VOUS ÊTES PERDU !
    Et vous, Bretons qui êtes roulés depuis cinq siècles (« Esclaves et fiers de l’être »), vous êtes particulièrement concernés.

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    « La volonté de contrôle politique de la justice s’exprime également au travers des interventions « fréquentes et variées » du président MITTERRAND dans les affaires en cours. « Leur champ d’action semble quasiment sans limite, note Alain Bancaud. Elles concernent des affaires aussi bien pénales que civiles, commerciales, disciplinaires, de droit du travail. Des affaires traitées aussi bien par la Cour de Cassation et un parquet général qu’un petit tribunal de province et un juge des enfants. Des affaires politiques aussi bien qu’ordinaires et privées. » A côté de la Corse et des dossiers mettant en cause des hommes politiques, on trouve des affaires de survie d’entreprise, de divorce et de garde d’enfants, de permis de chasse et de conduire, de mariages posthumes, d’expulsion et de banqueroute…

    Les interventions du président peuvent « survenir aussi bien après la publication d’un article de journal qu’à la suite de requêtes de particuliers et d’interventions d’hommes politiques, d’associations, d’organisations syndicales, d’avocats, qui agissent en leur nom propre ou pour appuyer une demande d’élécteurs, d’affiliés, de militants, de clients ». Il y a parmi eux des amis – notables ou inconnus -, des ministres, des parlementaires, des élus ou anciens élus du PS, des mères de famille, des simples salariés, des dirigeants d’organisations nationales ou des responsables d’associations locales aux buts les plus divers et variés.

    La nature des interventions de la présidence est variée : « Elles vont, note le sociologue, d’une simple demande de renseignements sur l’état d’une instruction, les motifs d’une inculpation, les raisons d’un non-lieu, la position qu’entend prendre un parquet…, à des demandes d’instructions à donner. »
    Il y a des interventions générales qui se bornent à rappeler certains principes de politique pénale, mais aussi des interventions particulières qui, « même si la présidence manifeste le souci de ménager l’autorité de la chancellerie et manie l’euphémisme, sont parfois formelles et quasi-impératives ».

    Un bordereau adressé au directeur de cabinet du ministre de la justice se conclut ainsi :

    « En soulignant que la requérante est une relation de M. le Président de la République, et en vous priant de bien vouloir envisager d’attirer sur cette affaire l’attention de M. le procureur général. »

    Ou encore, dans une lettre d’un conseiller de l’Elysée à un ministre :

    « Je me propose de parler de cette affaire au procureur de la République afin que les réquisitions à l’audience aillent dans le sens d’une peine amnistiable. »

    François Mitterrand a également demandé, par deux fois, de sanctionner des substituts ayant tenu, à l’audience, des propos virulents contre des immigrés. Pour l’un d’eux, une note du conseiller de président précise :

    « Le garde des Sceaux m’a indiqué qu’il ne voulait prendre aucune mesure à son encontre, car [à l’audience] la parole est libre, mais qu’il veillerait à ce que ce substitut soit sanctionné dans sa carrière. »

    Pour Alain Bancaud, ce « pouvoir sur la justice » institue le président de la République « en ultime recours, en juge suprême ». « Le paradoxe de la gauche, conclut le chercheur, c’est finalement d’avoir à la fois renforcé des ressentiments, des révoltes, en conservant un système de contrôle et d’intervention et d’avoir élargi les possibilités et la légitimité de ces contestations en favorisant l’affaiblissement de la déférence d’Etat et de la hiérarchie qui permettaient jusqu’ici de tenir les juges. »

    (Extraits de l’article publié par Cécile Prieur dans le Monde du 23 juin 1999)

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    LIRE AUSSI, sur la colonisation : Lettre ouverte à Christiane Taubira RACISME ANTI – BLANC ESCLAVAGE

    LE BON DOCTEUR MELENNEC EST INTERDIT DE S’EXPRIMER DANS AUCUN MERDIA, en France et en Bretagne. (Le quotidien « breton » le plus acheté perçoit 12 millions de subventions par an, volés dans les poches des contribuables). Vivent les chapeaux ronds !

    Anecdote vraie. Lors de ma campagne pour la désignation du Médiateur de la République, en 1998, j’ai fait le tour de ladite république, que je connaissais par coeur : l’Elysée, Matignon, les principaux ministères, etc. Ce n’était pas l’usage, car cette désignation est secrète, et se fait entre « amis ».
    Cela me conduit, notamment, à rencontrer Michel Rocard, dans son bureau du 13 rue de Solférino, alors le siège somptueux du parti socialiste. Il tient mon CV dans ses mains, et nous nous connaissions. J’abrège :

    « Docteur, vous êtes le plus compétent, le plus titré, et le plus honnête. A cause de ces trois défauts, rédhibitoires, vous serez exclu : Chirac nommera un de ses copains, et pas le plus malin ».

    Nous avons bien ri, tous les deux : lui comme moi. Nous savions cela, ce n’était pas dramatique du tout. Entretien cordial, détendu, car l’homme a de l’humour, moi aussi. La république française, réputée pour son incompétence tous azimuts, vaut bien cela. Nous nous sommes quittés en meilleurs termes que jamais.
    Le Médiateur honoraire – Paul LEGATTE, un homme moral sous tous rapports, malgré cela un ami personnel de François Mitterrand, avec qui il déjeunait fréquemment – était en ma faveur : mais il était honnête. Il souhaitait faire partie en qualité de Consultant de la nouvelle équipe, et, plus étonnant, m’a adressé son curriculum vitae manuscrit, ce dont je fus flatté. Jacques Pelletier, médiateur sortant, un « ami » personnel de trente ans, que je tutoyais, a soutenu Bernard STASI, l’homme qui a écrit le célèbre ouvrage : « L’IMMIGRATION, UNE CHANCE POUR LA fRANCE  » (! ?). Il fut nommé, et m’adressa …… une lettre de compliments, pour services rendus à l’institution. Passons ….. Je lui ai répondu sur le même ton, et me suis bien moqué de son prédécesseur Jacques Pelletier.
    Dans le même temps, Claude REICHMAN me consacre une longue émission sur Radio courtoisie, petit média alors très courageux, seul de son espèce en France.

    Ma lettre au Médiateur Pelletier a été publiée sur la toile. Il se dit vexé lorsqu’il la lit.
    Sa secrétaire lui dit :
    « Monsieur le Médiateur, vous saviez pourtant que le docteur MELENNEC est breton; vous ne devriez donc pas être surpris !
    Elle a ajouté : « Mon beau-père aussi est breton ! ».

    ET QUE VIVE NOTRE HYPER-COURAGEUSE « UNIVERSITE » BRETONNE, COUCHEE TOUTE ENTIERE SUR LE SOL !

    (A suivre ????)

  5. Posté par louis mélennec le

    DOCTEUR MELENNEC. LA SHOAH BRETONNE : VOTRE ARTICLE. LETTRE DU MEXIQUE. LE PRETENDU PAYS INVENTEUR DES DROITS DE L’HOMME.

    Je vous remercie pour cet article effrayant.

    http://louis-melennec.fr/2014/12/23/la-shoah-bretonne-un-nouveau-concept-vient-de-naitre-le-drame-breton-sexprime-enfin-par-des-mots-appropries

    Pour ma thèse de doctorat, je fais des recherches, précisément sur les phénomènes d’acculturation lors la conquête du Mexique par l’Espagne.
    Je suis tout à fait d’accord avec vous : c’est le pouvoir qui corrompt les esprits. L’extermination de ces nations premières par des États tyranniques sont partout les mêmes.
    Je n’avais pas étudié en profondeur l’histoire des premières cultures de la France.
    Je suis effarée : tous ont été trompés, par ce pays qui, par ses mensonges, a réussi a donner de lui-même une image de progrès et de liberté. Sa « révolution » de 1789 a été une suite de massacres, on commence maintenant à le savoir partout. J’avais lu, en son temps, le LIVRE NOIR DU COMMUNISME.

    Vos nombreuses publications ont démontré ce qu’est une dictature méprisable, et, par bonheur, on sait maintenant que vous dites la vérité.
    Là aussi, je vois comme vous que les médias sont complètement manipulés par cette dictature qu’on appelle « gouvernement. », sûrement par dérision.
    Ce qui m’indigne le plus, c’est de savoir que même dans les pays riches et développés, il existe un passé d’ extermination et d’assimilation culturelles aussi fort que dans les pays pauvres, en voie de développement, qui ont eu des passés coloniaux violents.
    Ce que je trouve préoccupant, c’est le fait de qu’ici, au Mexique, la France a réussi à bien implementer cette « façade » de démocratie. C’est cela que je trouve le plus dangereux : ceux qui savent la vérité, et ont le courage de la dire, se feront persécuter; et personne ne bougera, parce qu’ils ont peur, qu’ils sont lâches, et sûrement par intérêt vil. Par ses mensonges, l’appareil d’État cherche une sorte de recevabilité face au peuple français et à la communauté mondiale ! La preuve, c’est que personne ne parle d’un sujet aussi grave, qui est d’une importance vitale pour nous permettre de nous rencontrer avec nos origines, les comprendre et les valoriser, et même changer le cours de l’histoire.
    Pour la France, la vérité ne peut plus être effacée.
    J’admire beaucoup votre courage, et votre travail, je crois qu’il faut jamais baisser les bras et refuser de mentir.
    Merci encore pour votre apport; celui-ci m’a beaucoup éclairci les idées.

    LAURA R.

    Réponse. Ce n’est pas par courage que j’agis. Je fais mon devoir. Je défends les valeurs qui m’ont été inculquées dans ma jeunesse, auxquelles j’ai consacré mon existence. J’agirai de même si j’habitais un autre pays, qui a souffert les mêmes atrocités que la Bretagne.
    Le pire, de loin : ce sont mes compatriotes bretons qui sont les plus lâches. Aujourd’hui, TOUS connaissent la vérité. Ni les « politiques » (dix mille euros chaque mois), ni les universitaires, ni bien sûr les médias, qui sont tous vendus, c’est à dire achetés (douze millions d’euros CHAQUE ANNEE pour l’un d’eux), n’ont encore rien dit.
    Mais les jeunes remplacent les vieux, qui seront dûrement punis. Avec leurs ordinateurs, ils répandent partout la laideur affreuse de la vérité. Et plusieurs pays étrangers publient mes articles. Je suis exclu de tous les merdias français. Quel honneur pour moi ! Quelle Honte pour les lâches ! La plus grande punition : se contempler chaque matin dans la glace, lorsqu’ils se rasent.

    LE BON DOCTEUR MELENNEC

  6. Posté par louis mélennec le

    LOUIS MELENNEC. LES TRAITEMENTS INFLIGES AUX ENFANTS BRETONS PAR LA FRANCE DES DROITS DE L’HOMME, à partir de 1789.

    Comment la France des droits de l’homme a-t-elle dressé les enfants Bretons pour essayer d’en faire de bons petits français ? Lorsqu’ils arrivent à l’école, ils ne parlent pas le français, langue étrangère pour eux, et qui le restera encore longtemps.
    Ils ont été élevés par leur mère, parfois par leur grand-mère. Leur vieille langue vient de l’antiquité, elle était parlée avant le Christ. Ils n’articulent que quelques phrases, en breton ; tous, à la maison parlent leur idiome maternel. Leurs propres parents, au mieux, ne connaissent que quelques mots de français, langue totalement étrangère pour eux. Le premier obstacle auquel ils se heurtent : la langue bretonne est interdite à l’école. Ils le savent. Leurs parent les ont informés. Ils ne savent pas lire. Mais on leur a dit qu’il et interdit, par des affiches, apposées un peu partout, de cracher par terre, et de parler breton. L’assimilation est claire : le breton est sale, comme la saleté de la terre boueuse. Ils ont déjà peur avant de poser leurs pas dans la cour de l’école. Cette peur va s’accroitre, car on va faire tout ce qu ‘il faut pour cela. Nos archives sont riches de preuves terribles. Beaucoup ont été publiées, de telle sorte que les tortionnaires ne peuvent les réfuter. (Voir les ouvrages cités ci-après, ceux de Bothorel, de Philippe Carrer, de Claude An Du, en particulier). Ayrault et Rolland ont laissé défiler à Nantes, pour culpabiliser la population, des immigrés déguisés en esclaves. Ces pauvres bougres (je parle de Ayrault et de Rolland, pas des immigrés), n’ayant pas été à l’école, ignoraient, au moment de la construction du mémorial pharaonique Les premiers temps, on fait preuve d’une certaine indulgence à l’égard des enfants nouveaux arrivés. Mais la relative compréhension des instituteurs change vite. Les maitresses sont plus méthodiques que les hommes – comme en toutes choses -, c’est à dire plus sévères. Ils vont très vite éprouver tous la variété infinie de punitions que l’on a imaginées pour eux. A peine ont-ils appris les rudiments de la langue de l’étranger, que les punitions pleuvent : séjours au piquet, coups de règle sur les doigts, gifles, coups de pied au derrière ou ailleurs, voire coups de poings. Il fallait une cruauté et une sottise inouïes pour user de tels procédés : ce sont des procédés éminemment français. L’un de ces coups tourne très mal. Un instituteur ayant frappé un de ses élèves brutalement, celui-ci, sous la violence, est projeté contre le poële en fonte. Il meurt d’un traumatisme crânien deux jours plus tard. Les « révolutionnaires » de Paris, ont inventé le mythe du petit Bara, ce jeune homme de 14 ans, charretier d’artillerie, engagé par les bleus en 1792 près de Cholet. ……..
    A suivre ; ne comptez pas que je vous dispenserai des crimes commis par la France en Bretagne, au nom des droits de l’homme.Vous nous avez durablement inculqué la HONTE d’être Bretons.Nos cerveaux sont couverts de cicatrices.C’est vous qui allez avoir honte d’être Français.
    LE BON DOCTEUR. (Rappelons que le bon docteur est EXCLU de tous les merdias français et bretons. La cause : il défend de beaux principes, ET NE MENT JAMAIS).

  7. Posté par louis mélennec le

    LES DROITS DE L’HOMME EN FRANCE : L’ETAT FRANCAIS, QUI SE PRETEND L’INVENTEUR DES DROITS DE L’HOMME, EMPLOIE ILLEGALEMENT PLUSIEURS DIZAINES DE MILLIERS DE PERSONNES.

    M. MELENCHON, GRAND AMI DE LA SUISSE, va encore se réjouir !

    @@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@

    https://www.youtube.com/watch?v=4MAURsQlJsA

  8. Posté par louis mélennec le

    La chronique du bon docteur MELENNEC
    ou
    Des méfaits ordinaires de la République socialiste soviétique de France.

    Le bon docteur MELENNEC saisit les chefs des groupes parlementaires (PUBLIEE EN 2007).

    Nous devons à l´excellent Georges FENECH, magistrat, actuellement député UMP de Lyon, dans un excellent ouvrage, dont le titre en dit long ( Main basse sur la justice, Lattès, 1997 ), et d´avoir recueilli un florilège de citations effarantes de juges qui ont, au nom des Français qu´ils ne représentaient certes pas, gravement dénaturé le sens de leur mission, en appelant publiquement à violer les lois. Nous en reproduisons ci-après quelques-unes, qui devraient être enseignées à nos enfants dans les écoles, afin que la mémoire leur en reste pour toujours, et qu´on puisse dire :  » plus jamais çà « .
     » Ne faut-il pas, en se basant sur une véritable analyse de lutte des classes, trouver sur le terrain judiciaire les modes d´expression de celle-ci ? Et aussi participer à la création de contre-valeurs qui permettent au juge de rendre des décisions dans un sens socialiste ?  » (!!!)
    Hubert DALLE
    Ancien secrétaire général du syndicat de la magistrature
    ( Revue Justice )

     » La loi, nous la violons, ce qui nous permet de la faire avancer  » ( !!! )
    Louis JOINET
    Ex-secrétaire général du syndicat de la magistrature

     » lorsque le législateur viole une liberté, comme c´est le cas avec la loi Pasqua sur l´immigration, c´est à vous de le censurer « .
    Jean-Claude BOUVIER
    Ex-secrétaire général du syndicat de la magistrature
     » Le juge n´est pas neutre. Sa décision n´est pas dépourvue de tout engagement. C´est au contraire un acte politique, et nous entendons politiser pour que le débat entre ouvertement dans le prétoire « .
    Déclaration de trois membres du bureau national du syndicat de la magistrature :
     » Il faut choisir [ parmi les lois ], celle qui est au service des travailleurs des opprimés, faire un choix entre deux camps « .

     » Il y a dans les arrières salles des cafés de Bobigny ou de Nanterre, des juges populaires qui se livrent pour rendre la justice dans leur propre milieu. Ce devrait être là, la magistrature de demain  » ( !!! )
    Dominique CHARVET
    Premier Président de la Cour d´appel de Bastia
    :
     » Soyez partiaux; ayez un préjugé favorable pour la forme contre le mari, pour l´enfant contre le père, pour le débiteur contre le créancier, pour l´ouvrier contre le patron, pour le voleur contre la police, pour le plaideur contre la justice

    Oswald BAUDOT
    On entend dire et répéter – y compris dans les ministères, comme le démontrent les récents entretiens que j’ai eus avec des membres des cabinets des ministres de la Justice, de l´Intérieur, des Affaires sociales -, que la sanction des fautes politiques est politique, et que les élections perdues sont, pour un parti politique et pour les élus, la pire des sanctions.

    Cela est faux : le temps où les politiques pouvaient s´abriter derrière la seule sanction des élections perdues pour se croire exonérés de leur responsabilité, est définitivement dépassé. Il est trop facile lorsqu´on a mis un pays tout entier à feu et à sang, de prétendre que l´on peut rentrer chez soi, et y jouir de revenus versés par l´Etat, prélevés sur les deniers des citoyens que l´on a honteusement trompés.

    Une vague est en train de se lever : les Français exigent, là où les acteurs politiques ont commis des fautes pénales et civiles graves, qu´ils soient soumis aux mêmes sanctions que les autres citoyens. La loi, selon notre Constitution, est la même pour tous. Le droit Français et le droit Européen interdisent toute discrimination devant la loi.

    Que les magistrats aient le droit à la liberté de parole est sain dans une république digne de ce nom. Le mutisme total auxquels ils étaient tenus naguère était indigne, et les ravalait au rang de sujets passifs. Mais de là à appeler à violer la loi de la République, il y a loin ! Le pire est que ces appels d´extrémistes qui ne représentaient que leurs propres délires, a été suivi d´effets. Le journal Le Monde, entre autres, a publié le 23 juin 1999,quelques-unes des incroyables interventions du prétendu président Mitterrand dans le détournement de la justice, par des moyens aussi variés qu´abominables : le principal garant de la Justice trompait honteusement les citoyens qui l´avaient élu pour les protéger des dévoiements de l´appareil judiciaire !

    Il est grand temps, maintenant, que les parlementaires intègres ( il en existe ! ) exigent une enquête poussée sur ces détournements, et que ceux qui y ont contribué et ont osé passer aux actes, soient sévèrement chÂtiés.

    C´est une justice que les Français exigent : CELA LEUR EST DÛ. La liberté d´opinion, protégée par les lois Françaises et Européennes autorise les juges à penser ce qu´ils veulent. Mais il leur est péremptoirement interdit d´appeler publiquement à violer les lois de la République. Celles-ci sont l´expression de la volonté des citoyens, elles s´imposent à tous, aux magistrats davantage qu´aux autres, puisqu´ils sont chargés – c´est leur principale mission – d´en assurer le respect. Ces associations envisagent de saisir officiellement le ministre de la Justice pour les faits intolérables dénoncés par Georges FENECH.

  9. Posté par louis mélennec le

    (Comment les Bretons sont devenus Français).
    L’ASSASSINAT DE LA LANGUE ET DE LA CULTURE (Chapitre 10 des crimes commis en Bretagne). TÔT OU TARD LES CRIMES VOUS REJOIGNENT. SE POSE MAINTENANT LE PROBLEME DU CHÂTIMENT.

    La langue bretonne, infiniment subtile et beaucoup plus ancienne que le français, est non seulement dévalorisée d’une manière outrancière, mais insultée. Ce n’est pas une langue : c’est un jargon, un idiome, un patois, un dialecte corrompu, un baragouin, un charabia, un instrument de dommage et d’erreur. Ceux qui l’utilisent ne parlent pas, ils « patoisent », ils « baragouinent », ils « déblatèrent », ils « parlent vicieusement ». Cet idiome est un reste des cavernes de Cro-magnon, une séquelle de la préhistoire, un « dernier reste de la féodalité », un langage de sorciers, une « relique barbare et arriérée d’un autre âge ». Il obscurcit et engourdit la pensée, prolonge l’enfance de la raison et la vieillesse des préjugés, empêche de raisonner, de comprendre, d’assimiler les idées nouvelles, en particulier les « idéaux » révolutionnaires, la démocratie, la République. C’est, dit Hugo, « une tombe pour la pensée ». Il est d’ailleurs, à l’oreille, hideux, inélégant, grossier, guttural, imprononçable, et ne peut l’ être qu’au prix de grimaces, et de contorsions du visage et du corps. Cette « grande vaincue de l’histoire » (sic), selon les « sçavants » français qui n’en comprennent pas le premier mot, décrète qu’elle n’a produit aucune poésie, aucune littérature, aucune œuvre littéraire de valeur. Il serait impossible que cela soit, puisqu’il n’y a pas de grammaire bretonne (!). Les prêtres, qui continuent à l’utiliser pour prêcher (c’est la seule langue parlée et comprise dans les diocèses de l’Ouest), sont particulièrement visés. Ils se servent de ce jargon infâme pour maintenir les Bretons dans leurs « superstitions religieuses », pour les asservir, pour faire entrer dans leurs pauvres cranes de demeurés des idées perverses, pour « les fanatiser », pour « chasser des têtes bretonnes les idées de liberté ». etc. Ils deviennent des « sorciers », des « ratichons », des « calotins bretons ensoutanés ». Ces insultes se prolongent jusqu’à la veille de la Seconde Guerre mondiale.
    Dans l’administration, la langue est formellement interdite. La France met en place un système médiéval de persécutions, digne de l’Inquisition, et de sanctions à l’encontre de tous ceux qui entendent perpétuer la culture qui, jusqu’alors, avait été, pour les lettrés, un sujet de fierté. Des escouades d’instituteurs français sont envoyés dans les écoles bretonnes, avec des directives précises réitérées par les préfets et les sous-préfets : « assassiner la langue bretonne », « éradiquer totalement l’idiome local », (de nombreux textes et directives ministérielles accablants, ont été publiés, cette politique étant initiée, surveillée, amplifiée depuis Paris) ; « la corrompre, afin qu’on ne le comprenne plus » (sic !) interdire, manu militari au besoin, de parler breton (des gendarmes rendent parfois visites aux parents dans les fermes, pour les intimider), infliger des punitions aussi vexantes que possibles aux enfants, sinon aux parents, qu’on culpabilise chaque fois que cela est possible. Les prêtres, curés et religieux, qui prêchent dans la langue nationale, la seule qui soit comprise, sont privés de leur salaire (la séparation de l’église et de l’ Etat n’intervient qu’en 1905). Dans les écoles, les enfants sont terrorisés. On les montre du doigt, on rit d’eux lorsqu’ils confondent un terme français avec un terme breton ; on les entraine à se moquer des autres ; on les isole au piquet, on leur donne des coups de règle sur les doits, des gifles, voire coups de pied ; on les punit lorsqu’on les surprend à parler breton dans la cour ; on accroche à leur cou un objet infamant tel qu’un sabot, une corne de vache, ou tout autre objet ridicule. Dans certaines écoles, fait criminel pour ceux qui s’en sont rendus coupables, on accroche au cou de ces malheureux l’ardoise d’infamie : « Breton = cochon ». (Cette dernière pratique a marqué les esprits, d’une manière définitive, les Bretons ne l’oublieront pas, et ne la pardonneront jamais). Une autre ignominie est inventée : la culture de la délation ; l’enfant surpris à parler le breton, conserve le « symbole » infamant au cou, jusqu’au moment ou il aura réussi à dénoncer à l’instituteur un autre délinquant. Certains n’osent plus rentrer chez eux, attendent la nuit, et contournent le village. Les parents sont tellement conditionnés, qu’ils infligent de nouvelles punitions à l’enfant, après le coucher du soleil.
    Le ministère Combes invente le concept « d’usage abusif du breton », pour empêcher qu’il soit utilisé dans les églises. Le pire, sans doute, dans ce pays traditionnellement très religieux : priver les enfants de confirmation, et même de communion, s’ils ne connaissent pas suffisamment le Français. La langue du colonisateur, dénommée « langue nationale » dans un pays qui en en possède une, bien avant les français, autorise les plus zélés à traiter le breton de « langue étrangère » (!).
    Des journalistes, des hommes politiques connus, que l’on avait cru sains d’esprits, préconisent des mesures extr mes : « Il faut frapper les curés » ; « tapons dessus, de toute la rigueur des lois, de tous les poings des gendarmes » (La Lanterne) ; « il faut prendre des mesures énergiques, sans hésiter » ; « il faut utiliser des commissaires de police courageux, des préfets, des magistrats, des fonctionnaires républicains pour
    entreprendre la colonisation de la Bretagne » (!!!!); « il faut faire totalement disparaître la langue bretonne » (de Monzie, ministre, 1925) ; « la seule réponse, est d’emprisonner tous ceux qui formulent les revendications linguistiques bretonnes » (Albert Dalimier, ministre du travail, 1932).
    Détail horrible : la « Déclaration Universelle des droits de l’Homme », pendant qu’on procède à un véritable lavage des cerveaux, est enseignée dans les écoles. Les enfants bretons y croient. Ils sont tellement infériorisés, tellement convaincus d’appartenir à une race de sous-débiles, qu’ils regardent la lumière française comme étant leur seule planche de salut.
    Les résultats de cette politique sont spectaculaires. En 1850, à l’exception des villes, toute la moitié ouest de la Bretagne est encore bretonnante. En 1850, 160 communes du Finistère sur 160 parlent le breton. On dénombre à l’époque 1,6 million de locuteurs. En 1940, la langue de communication, dans les campagnes bretonnes, chez les marins, chez les artisans, les commerçants des villages et des petites villes, est le breton. En 2000, ce chiffre est presque tombé à zéro.
    En 2008, les efforts de la France ont abouti à un résultat étonnant : il reste 200 000 locuteurs bretons, tous âgés. Pour entretenir l’illusion, et perpétuer l’hypocrisie, la France a « autorisé » la création de quelques classes bilingues, mais freine de toutes ses forces en s’opposant férocement à toute progression de la langue nationale. Après un simulacre de débat au Parlement, elle a fait semblant d’autoriser les langues régionales, ce qui est fermement démenti sur le terrain. La politique de la France est l’éradication totale du breton.
    LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE, téléchargeable gratuitement sur la toile.

  10. Posté par louis mélennec le

    DR LOUIS MELENNEC . 3 OCTOBRE 2018.
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    LA FRANCE DES NON-DROITS DE L’HOMME : LA PERSECUTION HONTEUSE DE LA NATION BRETONNE, DE SA LANGUE, DE SA CULTURE : à diffuser partout dans le monde.

    Le crime d’être breton : L’incroyable interview de Gwenn LE GOARNIG : interdiction de porter son prénom, non inscription sur les registres de l’état civil, refus de lui délivrer tous le papiers officiels, privation de tous ses droits sociaux, non remboursement des soins médicaux et chirurgicaux, perquisitions répétées de son domicile, emprisonnements …. préventifs, sans jugement, non exécution des décisions de justice rendues en sa faveur, dette énorme de l’Etat des droits de l’homme jamais (plusieurs millions) : la totale pour le pays-phare de l’univers ! … …

    SALE TEMPS POUR LE PAYS DES DROITS DE L’HOMME, et ses associés « Bretons » !
    Les complices de ces mesures ignobles : DES COLLABOS !

    L’INTERVIEW INOUÏE DE GWENN LE GOARNIG : à diffuser partout : la destruction définitive du prétendu concept des droits de l’homme créées par la France, le phare de l’Univers !

    https://www.facebook.com/pg/Le-savais-tu-Breton–1404597436240514/posts/

    Amis Suisses, n’autorisez JAMAIS des guignols à vous faire la leçon : renvoyez les aux crimes de leur pays en Bretagne.
    Amis Berbères, vous avez subi le même sort : on a assassiné votre magnifique civilisation : faites là renaître, et punissez vos propres collabos.

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    LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE : le martyre de la Nation bretonne :

    https://www.google.fr/search?gs_ivs=1&q=livre+bleu+de+la+Bretagne

    LA SHOAH BRETONNE :

    http://louis-melennec.fr/2014/12/23/la-shoah-bretonne-un-nouveau-concept-vient-de-naitre-le-drame-breton-sexprime-enfin-par-des-mots-appropries/

    L’HYMNE NATIONAL BRETON :

    https://www.youtube.com/watch?v=VQF14ncSqo0
    Bon appétit, cher M. Le Drian !
    LOUIS MELENNEC EST EXCLU DE TOUS LES MERDIAS FRANCAIS, sans aucune exception. Quelle victoire sur ces menteurs !

  11. Posté par Victor56 le

    Démagogue pompeux pseudo-débonnaire et manipulateur de masse sur simplismes , dictateur potentiel à la Maduro-Tsipras , qui vise après une députation parachutée à Marseille (comme Ségolène Royal qu’il critiquait} avec 19% des inscrits et 65% d’abstentions sur
    sa circonscription -11000 voix sur 65000 inscrits- la Mairie de Marseille et pourquoi pas L’Elysée en 2022 ou une place de 1er Ministre de Macron si celui-ci s’écroulait car « l’insoumis » s’est ignoblement écrasé et renié devant Macron il y a quelques jours.
    Sur sondage « 20 mns » du 26/09 sur un premier tour Mairie de Marseille il récolte 19¨%, Vassal (LR] 34%,Samia Ghali (PS) 15% Castaner(LREM) 14%. C’est du sérieux avec possiblement un deal caché avec E-M pour faire élire un Maire LREM… ou lui à la Mairie. Son fond de commerce et sa base électorale ce sont les quartiers Nord où la population d’origine Maghrébo-Aficaine est majoritair où il excite « la colère devant l’injustice ».
    Dernier buzz:média : Sophia Chikirou une amie se paie ses propres conseils 130 00 € l’an à Tv Mélenchon mais pas intéressée car en même temps bénévole ! Voir Infos. L’évangile selon le « leader maximo » déguisé en « humaniste philosophe révolté , grassement nourri
    au PS depuis 40ans » pensant décrocher la trimballe Présidence grâce à Benalla… » Femme Suis moi… , moi qui suis pour le métissage » …et je te ferai Députée ou conseillère municipale à Marseille » euh…pas vénal du tout mais « révolutionnaire » ! Non mais !

  12. Posté par Gabrielle le

    Et si vous vous occupiez plutôt de l’état lamentable dans lequel se trouve votre pays, hein, Mélenchon ? C’est quoi votre problème… La jalousie, la bêtise, ou tout simplement le complexe du petit rigolo inutile ?

  13. Posté par louis mélennec le

    LES CRIMINELS QUI ONT DETRUIT LA FRANCE, MENACENT LA SUISSE DE DESTRUCTION. (Louis Mélennec).
    http://www.gatsbyonline.com/ataraxie/louis-melennec-s-insurge-a-raison-devant-l-irraisonnable-342123/

    L’Article qui suit a été publié par le média GATSBY ATARAXIE, à propos de l’affaire CHARLIE, survenue le 7 janvier 2015. Aucun média français n’a voulu publier cet article à l’époque. Il a fallu le publier à l’étranger. Aujourd’hui, le racisme anti-blanc, nié à l’époque par TOUS les merdias français, s’étale partout. Trente ans qu’on dénonce la catastrophe.
    Défendez vous, amis Suisses, vous êtes menacés de mort.

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    UN MILLIARD DE MUSULMANS dans le monde prennent la France dite « des droits de l’Homme » en horreur : les brillants résultats de l’oeuvre conjuguée de CHARLIE HEBDO, DE M.M. HOLLANDE et VALLS, et de la sottise des médias, solidement encadrés par le pouvoir.
    Un résultat hyper-brillant, dans la tradition de la République des droits de l’homme.
    Sale affaire : le prix à payer va être énorme.

    Malgré la pauvreté intellectuelle exceptionnelle de ses hommes politiques, la France ne se reconnait pas dans le vulgarité ni dans les outrances scatologiques. Ce qui vient de se passer est le fait d’une cohorte de provocateurs irresponsables, et n’engage en aucun cas les populations de l’hexagone. Les Français ont été manipulés par le pouvoir d’une manière grossière.
    Un « journal » pornographique et scatologique, d’un niveau d’une extrême bassesse, présenté par les gens qui tiennent actuellement les commandes comme le parangon de la liberté d’expression, vient d’accroitre la menace des attentats terroristes dont la France est menacée de longue date, d’une manière considérable. Des millions de personnes, dans l’émotion causée par des morts inutiles, ont défilé, de bonne foi, ne se doutant même pas qu’on se jouait d’eux. La population se réveille : personne dans le pays n’approuve les grotesques et insultants dessins de prétendus caricaturistes sans esprit, sans humour, sans avoir la moindre notion de ce qu’est le respect dû à autrui. Sept millions de personnes ont acheté le dernier numéro de Charlie Hebdo, sous l’effet d’une propagande honteuse. Des millions de personnes, en ouvrant ce « journal », apprennent, avec stupeur et dégoût, même les plus agnostiques – comme moi -, que les « caricaturistes » ont osé faire dire à soeur Emmanuelle, une sainte pour l’humanité, qu’elle « se masturbait sur la terre », et qu’au paradis, elle « suce des queues ». Le reste est à l’avenant, ou pire. La fureur commence à s’emparer de ces millions de lecteurs : c’est au nom de ces insanités et de ces grossièretés que le pouvoir en place, trompant la population, l’a fait défiler dans les rues de Paris et de toutes les villes de France, et a pu exploiter la situation jusqu’à ces derniers jours, sous le couvert fallacieux de la défense de la liberté d’expression. Honte à lui. Cette nouvelle monstruosité a un prix, qui va s’apprécier dans les semaines qui viennent.

    LES PAYS MUSULMANS SE DECHAîNENT CONTRE LA FRANCE : au delà de la douleur des familles des victimes, que tout le pays partage, une abominable incompétence du pouvoir, et une monstrueuse manipulation politique. L’émotion passée, la triste vérité éclate : le pouvoir en place a laissé faire, par sottise, impéritie et par lâcheté, évoluer une situation dont les éléments étaient pourtant clairs depuis longtemps. En particulier des insultes graves et répétées contre la religion chrétienne, des blasphèmes contre la religion musulmane, dont les effets étaient de longue date prévus et prévisibles. Ceux qui ont tenté d’éclairer le pays, ont été brimés et étouffés par la cohorte d’irresponsables qui se partagent les prébendes qu’ils se font distribuer par l’Etat, et la complicité de médias incultes et aux ordres de ceux qui détiennent les commandes, et les paient grassement. Il n’est pire malheur pour un pays que d’être gouverné par des imbéciles. Dans ce domaine, la France s’est taillée une réputation en or massif, l’une des toutes premières places dans le monde occidental. On devrait créer pour elle un podium spécial, avec distribution publique de bonnets d’ânes. Ce serait très triste pour la France seule, mais la Bretagne, pour son malheur, est encore incluse dans le lot, et doit malgré elle subir le même sort. Charlie Hebdo ne cultive pas la liberté d’expression, il cultive les insultes gratuites, la grossièreté, la vulgarité, l’outrance, le manque de respect dû aux personnes, la pornographie, la scatologie …
    On sait, depuis très longtemps, qu’il donne dans un genre nauséabond, aux odeurs putrides, qui en évoquent d’autres que la nature nous oblige à connaître au moins une fois par jour, lors de nos exonérations physiologiques : la merde. Athée, je suis très à l’aise pour parler avec respect de la foi des chrétiens; mon opinion ne peut être soupçonnée sur ce point d’arrières pensées.

    Voici une anecdote qui résume la situation.
    L’un de mes voisins, catholique convaincu et pratiquant, mais des plus modérés, n’avait jamais entendu parler de Charlie Hebdo, ou si peu, qu’il n’en connaissait rien. L’autre jour, son sang ne fait qu’un tour : des journalistes ont été assassinés par des fous, des familles sont en deuil. Bon chrétien, meurtri et compatissant pour les familles, il participe à un de ces défilés solidement montés et manipulés par le pouvoir, pour faire croire à la défense de la Liberté d’expression – dans un pays qui ne la pratique pas, et contrôle sévèrement tous les médias, en imposant par des moyens innombrables un discours unique et inique, distillé heure par heure par des complices, en excluant ceux qui ne partagent pas la messe stupide qu’ils célèbrent. Notre homme compatissant vit les choses avec une émotion extrême; il croit voir là une France unanime, accablée de la douleur sincère qui est la sienne, et qui semble retrouver son souffle après tant de démolitions organisées depuis des dizaines d’années, principalement contre l’amour légitime  des Français pour leur pays, qui est pour eux comme une mère et un père à la fois, en dépit des efforts forcenés des idéologues mondialistes pour anéantir sentiment. Il rentre chez lui rassénéré : la télévision, la bonne télévision française lui apprend que le pays tout entier a communié dans un élan de ferveur, compassionnel, et démocratique.
    Dès le lendemain, il souscrit un abonnement à Charlie, croyant faire une oeuvre pie, et parvient à se procurer le numéro spécial. Il pensait l’offrir à ses enfants, pour les éduquer dans les valeurs républicaines renaissantes ..
    Horreur ! Il est effaré par le caractère outrancièrement vulgaire de certaines caricatures. Il apprend, lui, catholique convaincu, que le journal a traité Jean-Paul II, considéré par certains comme un saint, de « pape de merde », que Marie, mère de Jésus, considérée par nombre de croyants comme le symbole de la pureté, a été caricaturée les cuisses écartées, en train d’accoucher, sous la légende : « la crotte de Lourdes »,   … que le Christ a été représenté sur la croix, le sexe en érection, ou sodomisé de toutes les façons, qu’on a représenté sur un dessin une hostie sur le gland d’un sexe masculin, qu’on a appelé à « aller chier dans les églises en représentant des personnages déféquant dans les bénitiers », que le pape a été représenté castrant des enfants, ou dans des scènes homosexuelles, Jésus avec un clou enfoncé dans l’anus. La « journaleuse » Fourest a affirmé qu’elle ne verrait pas d’inconvénient à « redonner les chrétiens à bouffer aux lions ».
    Un dessin de la page 2 du numéro 1178, daté du 14 janvier 2015, tiré à  plus de cinq millions d’exemplaires, fait dire à sœur Emmanuelle, décédée en 2008, « Ici-bas je me masturbais; au Paradis, e vais sucer des queues ».

    Mon voisin catholique, indigné, ne peut s’empêcher de penser : « puisqu’on est tombé à ce degré de l’ignominie, pourquoi pas, pendant qu’on y est – ne pas s’autoriser à représenter un rabbin en érection, agonisant dans une chambre à gaz, en situation de sodomie, si possible ? » M. Rony Brauman, président de médecins sans frontières, associé à l’institut de sciences politiques de Paris, apprécierait sûrement cette sorte de pratique, puisqu’il reconnait non seulement le droit à l’outrance et au mauvais goût, mais pire : le droit à être de mauvaise foi et blessant (Le Monde, page 10, 16 janvier 2015). 
    Moi pas, en aucun cas : la monstruosité a des limites. Comble de la surprise, une nouvelle caricature figure à la une : le prophète Mohammed, celui au nom de qui les fous ont tué les journalistes, pour le venger, est en première page, et verse des larmes de crocodile, pour ces crimes qu’il est censé condamner, mais que tous les pays musulmans jugent légitime, compte tenu de leur vécu et des interdictions et devoirs contenus dans le Coran.…
    Dans les palais nationaux, on se congratule, on s’embrasse, on se trémousse indécemment devant les micros; le lendemain, les parlementaires, debout, toutes tendances confondues, applaudissent à tout rompre : on a gagné, on vient, croit-on, de reprendre la main ! Après tant de bévues, d’erreurs , dénoncées avec une extrême vigueur par la presse depuis trois ans, ces messieurs, inconscients, se félicitent de leur brillante intelligence : ils se décorent, en toute simplicité, de l’Ordre du Génie.
    La presse bébête et inculte précède, et suit.

    La presse suit ? Pas pour longtemps. Dès le lendemain, le ton change : les banlieues peuplées de magrébins – qui n’étaient pas présentes lors des manifestations -, condamnent sévèrement les caricatures, le message de dérision et d’offense qu’elles véhiculent , de même que les jeunes élèves musulmans, en public, n’hésitent pas à approuver l’assassinat des journalistes … Des professeurs parlent. Des Imams condamnent les attentats, mais renouvellent leur condamnation des actes irresponsables des journalistes. Pouvait-on, raisonnablement, attendre de ces religieux une autre attitude ? Partout, dans le monde musulman, des voix d’une extrême sévérité s’élèvent : en Turquie, au Maroc, en Egypte ..
    Tout d’un coup, mais trop tard, on réalise l’horreur : pendant des années, avec une inconscience abyssale, on a offensé non seulement les musulmans du monde entier, mais aussi les chrétiens, dans des termes particulièrement orduriers; on a récidivé; on s’est obstiné. Sans aucune nécessité. Car s’il est nécessaire que les conquêtes meurtrières des religions monothéistes et autres soient dénoncés, sans en excepter aucune, ni la religion chrétienne, ni la religion musulmane – surtout pas les plus cruelles -, le débat, ici, n’est pas celui de la liberté d’expression, mais des limites naturelles dans lesquelles cette liberté doit être maintenue : en d’autres termes, c’est le problème de la Dignité de l’être humain qui est en cause : peut-on dire n’importe quoi, n’importe où, n’importe comment ? A-t-on le droit de blesser, d’offenser, de meurtrir au nom de la liberté de dire ?
    On apprend même que le citoyen François Hollande cautionne ce n’importe quoi, car il fréquente ces journalistes qui viennent de déclencher cette catastrophe. Tout homme intelligent, dès le soir des manifestations, a deviné ce qui va se produire dans le monde musulman : dans les allées du pouvoir, comme d’habitude : RIEN, RIEN, RIEN. Consternant !
    Le pouvoir imbécile vient encore d’affronter une honte cinglante, un échec cuisant, dont le peuple français, certainement, va être victime, avant qu’il soit peu : des attentats vont inéluctablement succéder à celui-ci.
    Le plus invraisemblable : Emmanuel Valls, premier ministre, s’affiche, avec la nouvelle caricature de la Une de Charlie Hebdo : le prophète Mahommet pleurant sur le sort des caricaturistes tués au nom d’Allah. C’est irresponsable, stupide, monstrueux.
    Gouverner, c’est prévoir. Le premier ministre de France Manuel VALLS -, dont c’est le métier, n’a ni compris ni prévu que cette affaire va soulever un tollé très violent dans les pays musulmans, même les plus modérés, comme le Maroc et la Tunisie.  Les Français – et les Bretons, hélas -, vont payer, eux innocents cette énorme faute. Mais qu’ont donc ces ministres en guise de cervelle ? De la chicorée ?
    Le vendredi 25 avril 2014 a paru « Le Vrai Visage de Manuel Valls », le dernier livre d’Emmanuel Ratier http://www.vraivisagemanuelvalls.com. Présentation de l’ouvrage : En moins de trois ans, Manuel Valls est passé de l’anonymat (5,6 % lors de primaire socialiste de 2011) à Matignon. L’histoire de Manuel Valls est une espèce de bluff très largement reconstruit.
    Le cerveau des gens au pouvoir ne contient pas de la chicorée, pas même de l’eau, pas même de l’air  : il est vide : dramatique.

    LIRE L’ARTICLE EN ENTIER : http://www.gatsbyonline.com/ataraxie/louis-melennec-s-insurge-a-raison-devant-l-irraisonnable-342123/
    SOYEZ VIGILANTS SUISSES : VOUS ÊTES DANS L’OEIL DE CYCLONE MONDALISTE, QUI VEUT VOTRE MORT.

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    LOUIS MELENNEC candidat aux fonctions de Médiateur de la république en 1998.

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  14. Posté par louis mélennec le

    LOUIS MELENNEC. Les Français sont les plus mal placés dans le monde pour critiquer la Suisse.
    Extraits du blog de Louis MELENNEC. (Octobre 2014).
    IL IMPORTE QUE LES CITOYENS FRANCAIS PUISSENT LIBREMENT POURSUIVRE LES « POLITIQUES », QUI GOUVERNENT EN DEPIT DU BON SENS, POUR LEURS CRIMES DE GOUVERNANCE, QUI RUINENT LE PAYS DEPUIS DES DECENNIES.
    Comment se débarrasser de ces punaises qui ruinent la France, plus gravement encore la Bretagne ? Il sont exécrés par une population de plus en plus furieuse. Les Bretons ne comprennent pas, alors qu’ils possèdent des atouts exceptionnels pour former un Etat comparable à la Suisse, pays admirablement gouverné, dont les citoyens sont heureux, et fiers d’être ce qu’ils sont, soient empêchés de décider librement de leur sort. En France, les imbéciles qui gouvernent sont indéboulonnables. Dans ce pays où n’existe aucune démocratie, où le pouvoir est exclusivement entre les mains des partis qui placent leurs pions en situation éligible, on a fabriqué cette hérésie de faire admettre comme un dogme que les élections périodiques, qui amènent au pouvoir des cancres, des débiles mentaux, des incompétents de toute sorte, sont le garant de la démocratie et de la bonne gouvernance. Comment un Hollande a-t-il pu accéder à la plus haute charge de l’Etat ? Comment un Ayrault a-t-il pu devenir premier ministre ? Pouvait-on imaginer que l’on allait tomber si bas ? A l’étranger, le gouvernement est l’objet d’une dérision féroce, même si la créativité des Français est en général admirée, à juste titre. Comment ce peuple survit-il encore, avec ces clowns qui exercent une action de destruction aussi invraisemblable ?

    On avance des hypothèses de travail : prévoir une procédure d’initiative populaire de destitution du président de la république, pour insuffisance de compétence manifeste; créer des filtres pour interdire à des gens qui n’ont jamais exercé de métier, d’accéder à des charges gouvernementales; poursuivre les politiques pour fautes graves de gouvernance, pour impéritie (Martine Aubry la femme des 35 heures et de la CMU, Rachida Dati, Marilyse Lebranchu, Arnaud Montebourg …); interdiction définitive d’exercer le moindre mandat électif pour tout « élu » condamné en correctionnelle …
    Hélas, les Français sont esclaves et inertes. ….

  15. Posté par Christian Hofer le

    Avant Mélenchon, il y a eu Sarkozy qui vomissait sur notre pays:

    http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1214298-sarkozy-grande-gueule-en-suisse-un-cas-pathetique-d-arrogance-francaise.html

    Avant Sarkozy il y a eu Moix qui en a fait de même:

    http://arretsurinfo.ch/la-suisse-cette-pute-la-derniere-pitrerie-de-yann-moix/

    Avant Moix, il y a eu Montebourg toujours dans la même logique:

    https://www.lematin.ch/suisse/Didier-Burkhalter-replique-a-Arnaud-Montebourg/story/29973116

    etc.

    A cela s’ajoute les frontaliers français responsables de graves problèmes (dumping, autorourtes surchargées, responsables RH français qui n’engagent que les leurs), la criminalité française, le CGN financée par nos soins qui devient un outil au bénéfice des Français, l’aéroport de Bâle-Mulhouse dont le contrat est rompu unilatéralement par la France, l’interdiction des armes à feu qui découle du gouvernement français (Cazeneuve) et qui méprise nos traditions, le secret bancaire qui a été pilonné par les politiciens français (la France haïssant les pays qui réussissent au lieu de se remettre en question). Le pire étant que les CFF financent la gare d’Annemasse pour les aider à venir chez nous.

    https://www.letemps.ch/suisse/2013/02/15/suisse-va-financer-travaux-gare-annemasse

    Bref la France c’est les emmerdes pour notre pays, dans tous les sens du terme.

    Et certains s’étonnent encore que les Suisse ne voient pas d’un bon oeil les Français…

  16. Posté par bdr le

    Au passage, C’EST LES FRONTALIERS GAULOIS QUI PROFITENT AU MIEUX DES LARGESSES DE LA CONFEDERATION MAIS LA RANCE RESTE LE PREMIER PAYS A NOUS INSULTER/DENIGRER!!!!!

  17. Posté par bdr le

    Une bonne âme pourrait-elle définitivement faire fermer sa gueule à
    cette tache de vin de Mal lèché?

  18. Posté par Panache l'Écureuil le

    Très réussie, cette caricature de Meluche. Il ferait un parfait personnage de bande dessinée.

  19. Posté par Max93 le

    Un bien saint homme…millionnaire . Qui s’est approprié avec de l’argent public des impôts des gens sa permanence électorale de Massy où les loyers ont été transformés en traites nominales pour le faire propriétaire à la fin de son mandat de sénateur; un SCANDALE ! Il a écrit un livre « La Vertu » mais il ne s’y agit que de la « vertu » Robespierriste qui coûta la vie à Danton et bien d’autres de ces temps là , et pas du tout faut pas rigoler des vertus théologales et cardinales.
    Toutes ses déclarations sont calculées au mm et y compris ses outrances théâtrales et ses « plaintes pathétiques » d’être pseudo-stigmatisé par les médias, c’est un manipulateur de masse qui essaie de capter électoralement tous les coléreux révoltés à tort ou à raison y compris « les ballots d’extrême-droite » selon son expression.
    Le « Canard Enchaîné » met en cause l’ex Garde des sceaux ! pour « service aux amis politiques » (Solère renseigné)…mais il y a eu aussi pour Jean-Jacques Urvoas l’achat finalement approprié de la permanence électorale avec de l’argent public qui ne permettait que la location avec l’IRFM mensuel argent public des impôts donné au Député et au Sénateur…
    JJ Urvoas objet d’une plainte pour acquisition de permanence avec les loyers transformés en traites nominales et l’appropriation personnelle d’argent public en fin de mandat.
    http://www.valeursactuelles.com/politique/permanence-achetee-sur-des-fonds-publics-lex-ministre-jean-jacques-urvoas-vise-par-une-plainte-90854
    Ils sont 41 Députés, sénateurs dans ce cas dont NKM..mais avec la nouvelle loi de transparence 2017 il y a maintenant prescription.
    Mais Jean-Luc Mélenchon aussi !, et lui jamais dérangé, attaqué sur le sujet par le « Canard Enchaîné « , protégé au « sommet » comme une alternative « de gauche » -au cas- où contre « l’extrème-droite » ou un mécanisme repoussoir simili-Le Pen vs UMPS choisi stratégiquement par Mr Macron pour « tuer » définitivement le FN ? lequel Mr Mélenchon avait même dit à la revente et à l’époque qu’il avait fait « une bonne plus value »

    http://www.lagauchemorale.com/actualites/article/melenchon-vend-sa-permanence-parlementaire-pour-sa-campagne-presidentielle

    https://www.capital.fr/economie-politique/jean-luc-melenchon-le-joli-bas-de-laine-de-linsoumis-1257122
    Ces appropriations personnelles de dizaines voire centaine(s) de milliers d’euros avec l’argent public des contribuables sous forme IRFM environ 5000 €/mois sont comme des vols sur tous ceux qui travaillent et paient durement leurs impôts pour une représentation républicaine respectueuse des gens et correcte. Pire si on se proclame « de gauche » urbi et orbi. Le « Canard Enchaîné » « ironique » -ça plaît dans le camp des « rieurs »- devenu orienté et Procureur national impitoyable avec « la droite », par contre aveugle ou à coups bien tendres et complaisants avec les « ami-e-s »… »de gauche ».

  20. Posté par mélennec le

    DOCTEUR LOUIS MELENNEC : CE BON M. MELECHON, AMI DES BÊTES ET DES HOMMES : « Kill the villain Sir, kill the villain ! »

    Voila que le sieur Mélenchon s’en prend maintenant à la Suisse ! Rentrez lui dedans, sans hésitation. Cet homme est l’héritier de l’idéologie qui a fait au moins cent millions de victimes dans le monde, le plus horrible carnage de toute l’histoire de l’humanité. Il se flatte de compter parmi les élus du pays des non-droits de l’homme. Il est l’admirateur inconditionnel de l’oeuvre « civilisatrice » de la Chine au Tibet : voyez le genre !
    Il avait osé s’en prendre aux Bretons, lors du soulèvement des Bonnets Rouges. Des centaines de Bretons ont assailli ses blogs et ses vidéos Youtube : prestement, il a fait le grand écart, en arrière. Il n’y est plus jamais revenu.

    Je me suis fendu, pour cet homme illustre, d’une belle missive, qui circule sur la toile. Vous connaissez le proverbe : qui s’y frotte s’y pique.
    Voici quelques extraits :

    MELENCHON Jean-Luc, l’imbécile heureux, l’idiot inutile. Lettre ouverte à ce « sçavant » ignare, qui se permet de donner des leçons aux Bretons, sans rien connaître des atrocités dont ils ont été victimes.

    «  Nous savons que vous êtes un grand admirateur de la Bretagne et des Bretons. Ce qui n’est pas peu dire : vous ne cessez de débiter sur la Bretagne ce que l’on dénomme en français des « sornettes », pire : des « conneries ».
    Cette vieille Nation et Civilisation bretonne est identifiée dès l’antiquité, par Jules César, qui lui consacre de longs développements, avant même la naissance du Christ, dans son célèbre ouvrage La guerre des gaules. Cet ouvrage manquant probablement à votre culture, nous vous signalons son existence, à toutes fins utiles ; il est édité en format de poche : il vous en coûtera quelques euros, qui ne pèsera pas une goutte de buée dans vos énormes revenus de député européen (12 340 euros par mois, si l’on en croit internet), vous le défenseur des petites gens et des opprimés, comme ces malheureux Tibétains, détruits par la Chine impérialiste, comme la Bretagne l’a été par la France coloniale. »

    ………………………………………

    « Les Bretons arrivent en Armorique à partir du 3ème siècle. Ils parlent leur langue, pas la vôtre, qui n’existe pas encore, même à l’état d’embryon. Il sont un peuple – on dit aujourd’hui : une nation -, très conscient de ce qu’il est, luttant férocement pour se défendre contre les Francs, puis les Français, envahisseurs perpétuels, leur administrant des défaites cuisantes, jusqu’aux invasions de la fin du quinzième siècle, et la destruction de nos armées nationales, le 28 juillet 1488 à Saint-Aubin-du- Cormier. Cette date est la plus funeste de notre histoire, avant la shoah bretonne de 1789, qui détruit tout en Bretagne : nos institutions, notre législation, notre fiscalité (deux fois plus avantageuse que la fiscalité française, car les Bretons, contrairement aux Français, sont des gestionnaires aussi rigoureux que les Ecossais, et aussi habiles que les Suisses), notre fierté, extrêmement ombrageuse.
    Surtout, notre dignité d’hommes.
    Savez-vous, monsieur Mélenchon, ce qu’est la Dignité d’un être humain ? Personne ne peut supposer que vous sachiez en quoi cela consiste. »
    ………………………………………….

    « J’ai la réputation d’être un homme courtois, un homme qui n’injurie jamais personne, mais qui passe aussi pour ne jamais travestir sa pensée.
    Lisez bien ceci, cher monsieur Mélenchon : lorsqu’un être humain s’exprime par la parole, il se sert d’un organe qui s’appelle la bouche ; lorsque vous, vous parlez des Bretons, de leur langue, de leur culture, il semble à d’aucuns que vous émettez des sons que vous devriez émettre par un autre de vos orifices, qui sert habituellement à d’autres usages. Comparaison n’est pas raison, vous avez compris que je n’oserai, moi si réservé, dire une chose pareille, même si je le pensais : je ne fais que vous transmettre ce que l’on dit habituellement du côté de la frontière qui sépare les Bretons de votre aimable personne. Une frontière virtuelle. Car la frontière mentale qui nous sépare, cher monsieur Mélenchon, est plus qu’un gouffre, plus qu’un abîme : un univers, une galaxie.
    Nous sommes nés de la civilisation raffinée de Tristan et Iseult. Vous appartenez à une espèce qui n’a pas encore atteint le degré de la finesse.

    ………………………………………………………………………………………………….. ;
    Les génies, dont vous êtes, même vivant dans l’empyrée, comme vous, se trompent aussi : soyez donc un homme résigné ; la résignation est une vertu.

    Au fond, vous n’êtes qu’une vieille bête. Peut-on réellement en vouloir à une bête ?

    Vous voilà maintenant domestiqué : depuis la réception de ma lettre, vous n’avez plus jamais osé parler des bretons, assuré que vous êtes qu’ils vous sauteront à le figure.

    VOTRE BIEN DEVOUE, LOUIS MELENNEC, dit « le bon docteur ».
    Jean-Luc Mélenchon, que j’appelle « Mon cher Grand ÂÂÂmi, reçoit la présente. Je lui présenterai les vœux de la Suisse.

    @@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@

    Lire l’article dans son entier :http://blog-louis-melennec.fr/2015/06/29/melenchon-jean-luc-heros-breton-et-francais-lhomme-indispensable-lettre-ouverte-a-ce-scavant-si-aimable-a-legard-de-notre-langue-et-de-notre-pays/

    Lire aussi, absolument, sur la toile : Livre bleu de la Bretagne (300 000 téléchargements gratuits), et surtout : La SHOAH BRETONNE.

  21. Posté par DougleG le

    Ce qui lui déplaît les plus est le fait que ses amis immondes de tout bord ne peuvent plus planquer leurs millions extraits du sang de leurs peuples en Suisse.
    Cette vermine oligophrène est Dieu merci un des derniers de sa race; en effet, il est de ceux qui prônent le couple papa-papa d’enculés pour adopter des enfants et des couples de broute-moquette pour faire de même.
    Tel que lui, qui prône l’avortement, je suis exceptionnellement de son avis, on aurait dû avorter cette merde.
    Quand vous écrasez une crotte de chien, elle est brune; quand lui sera écrasé par ses sbires islamiques, il sera rouge.
    Rentre en toi-même, si tu en es encore capable, Merdenchon!

  22. Posté par Lucide le

    La gauche shadok dans toute sa splendeur. Guère à dire si ce n’est « fuc…. »

  23. Posté par Loulou le

    Franc Mac Méchancon, le collabo islamogauchiste, ses groupies bâchées ou à colliers de barbes islamistes banlieusards. Un gros facho.

  24. Posté par leu fro le

    Il a le même niveau que Hollande, jamais travaillé dans la vie.

  25. Posté par Socrate@LasVegas le

    Qu’il ferme son claque-merde et profite d’être encore toléré dans cette nouvelle terre d’islam officielle…pour y fêter une dernière fois Noël au milieu des déjà bien nombreux Gaspar, Melchiors et Balthazar (ancêtres des go-fast?)

  26. Posté par coocool le

    Cet ignoble apparatchik, aussi rustre qu’insignifiant, médiocre avatar du petit père des peuples, ferait mieux de considérer la déroute économique et sociale des pays communistes, comme le Venezuela, la Corée-du-Nord, sans parler des régimes communistes du passé avant de s’en prendre à des pays qui offre un travail à 320 000 de ses concitoyens !

  27. Posté par bigjames le

    Lequel de nos septs nains va t’il s’empresser de s’excuser le premier ?..
    Doris, Guy, Alain,….
    Un de ces septs va t’il s’empresser de lui fermer sa grande gueule à cette merluche !
    On peut toujours rêver….

  28. Posté par Vautrin le

    Amis Suisses, je vous présente les excuses du peuple français après les éructations du sire Mélanchon. Il a des circonstances atténuantes : étant de gauche extrême (et même s’il n’était que de gauche !) il a un cerveau d’amibe, ce qui ne fait pas beaucoup de neurones.

  29. Posté par Gabrielle le

    Franchement, quel est le pourcentage de débiles écoutant les délires de Papa Mélencon… heu Mélenchon ?

  30. Posté par Sergio le

    La Suisse est l’employeur No 1 de la France. Ce stakhanoviste des propos outranciers sait qu’il ne risque absolument rien en s’attaquant « aux p’tits suisses ». Avant lui, la France nous a donné un Georges Marchais, lui au moins faisait rire tout le monde. Ce qui n’est guère le cas de ce pauvre Mélenchon.

  31. Posté par Hexgradior le

    Je parie que nos testicules atrophiés de Berne doivent s’agiter en ce moment suite aux propos de ce frère Latruelle…

  32. Posté par JeanDa le

    @Jerry Jack le 19 décembre 2017 à 19h02
    « Les propos de ce sinistre imbécile ne méritent aucun commentaire. »
    On ne peut pas mieux dire.

  33. Posté par Christian Hofer le

    « et une « zone de non droit ». »

    Toute l’arrogance français résumée dans ce discours, alors que les racailles des banlieues issues de la diversité si chères à ce genre de connard attaquent sans relâche les forces de l’ordre.

    Il faut vraiment être la dernière des ordures bolchéviks pour oser pareille inversion.

  34. Posté par My Suisse le

    Ça ne présage rien de bon! Monsieur Cassis était fébril aujourd’hui à Paris. Je me demande combien de temps notre « gouvernement » va encore se mettre à genoux?

  35. Posté par Antoine le

    Qu’il déblaie devant sa porte avant d’attaquer frontalement un pays  »ami ».
    On va lui démonter qu’il ne faudrait pas trop nous chatouiller !
    – Nous avons une très grande quantité de travailleurs frontaliers (France, Allemagne, Italie, Autriche).
    Référence : https://www.rts.ch/info/suisse/8411403-le-nombre-de-frontaliers-en-suisse-a-augmente-l-an-dernier.html
    France : environ 180’000 frontaliers qui font entre 20 et 200 km par jour pour venir chez leurs employeurs suisses. Cela sature le réseau routier, use prématurément nos routes, mais ces travailleurs frontaliers sont soumis à l’impôt à la source !
    Donc même s’ils consomment peu (sandwich sur le pouce, etc …) l’argent rentre quand même dans les caisses de l’État (canton, Confédération).
    C’est vrais qu’il n’y a pas de frontières pour les francs-maçons ! Méfiance …

  36. Posté par Le Taz le

    Un parfait exemple de bolchevique des trois coins! L’UE est un nid de bolcheviques, ça n’est pas l’idéal des peuples européens, espérons que les pays de l’est et l’Autriche arrivent à changer cela mais le combat s’annonce rude. Quant à nous, il nous faut dénoncer les accords Schengen au plus vite.

    Les milliardaires français viennent en Suisse, pour échapper à la dictature bolchevique française, à qui la faute?

  37. Posté par Aude le

    Yolande@ merci.
    Et qui dit mieux, les paris sont ouverts , allez deux cent milles frontaliers gagnent leur vie grâce à la Suisse, polluent nos routes qui bouchonnent sans cesse.
    Cette Meluche est un morpion. Qui rit ne rira pas le dernier.

  38. Posté par Aude le

    Va te faire foutre la Meluche, dictateur de pacotille.
    Pour ta gouverne, bougre d’idiot, sais-tu combien la Suisse donne de boulot aux frontaliers de ton pays? Frontaliers qui consomment en France, vivent en France et paient leurs impôts en France. Une centaine de milliers.
    Ferme là et on aura des vacances.

  39. Posté par Daniele le

    Il crache sur la Suisse? Pas de soucis! Arrêtons de distribuer des permis de travail à ses compatriotes (plus de 100’000 rien qu’à Genève) et il va vite comprendre.

  40. Posté par Jerry Jack le

    Les propos de ce sinistre imbécile ne méritent aucun commentaire.

  41. Posté par sophie le

    Pas de souci Mélenchon, commence déjà par reprendre tes 180’000 travailleurs frontaliers et versent leur un salaire….

  42. Posté par Yolande.C.H. le

    Mélanchon ferait mieux de tancer ses riches compatriotes qui quittent la France; et cela ne doit pas trop le gêner par contre que plus de 180.000 français viennent travailler chez nous!

  43. Posté par Patrice Monod le

    Méfiez vous des franc-maçons. Ca cache une magouille ces affirmations de Mélenchon étant donné que dans notre système financier se trouvent des personnages aussi franc-maçons que lui.

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