Tchéquie – Alors que les sondages montrent que les Tchèques ne souhaitent plus de réfugiés ni de migrants, le premier ministre tchèque a déclaré à la presse sa volonté d’augmenter l’aide tchèque à la garde côtière libyenne.
Selon le dernier sondage CVVM publié la semaine dernière, 60% des Tchèques pensent que leur pays ne devrait pas accepter les réfugiés des pays en guerre. 33% des Tchèques accepteraient les réfugiés temporairement et seulement 3% leur permettraient de s’installer dans le pays. L’institut CVVM ajoute que « l’opinion publique tchèque sur l’acceptation des réfugiés de guerre a été très stable depuis la fin de 2015 ». 74% des Tchèques considèrent en outre les réfugiés comme une menace pour la sécurité nationale et 88% estiment qu’ils représentent un danger pour l’Europe, alors que 79% les pensent être une menace pour la paix internationale.
Lors du sommet de Bruxelles des 22 et 23 juin, le premier ministre de centre gauche Bohuslav Sobotka a déclaré à la presse sa volonté d’aider la garde côtière libyenne à minimiser les migrations illégales vers l’Europe depuis les rives de la Libye. Selon Sobotka, la Tchéquie serait prête à fournir plus de soutien financier et personnel à la Libye.
Sobotka a déclaré que le sommet a montré que les États membres restent divisés sur l’application d’un mécanisme permanent pour la redistribution des demandeurs d’asile à travers l’UE en cas de situation d’urgence.
L’Estonie, qui prendra à Malte la présidence tournante du Conseil de l’UE en juillet, doit s’occuper du point de controverse.
« Le seul moyen d’aller de l’avant pendant la présidence estonienne est de séparer les quotas, qui sont inacceptables pour les Tchèques et l’ensemble du groupe Visegrád, du reste des réformes », a déclaré Sobotka.
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La toute première chose faire, c’est d’empêcher certaines ONG de favoriser l’exode des migrants depuis la Libye, d’empêcher les Chinois de vendre des imitations de Zodiac de très mauvaise qualité, de favoriser les économies africaines sur place, au lieu de piller les pays en question, de procéder à la propagation de l’instruction, de la vraie, pas celle qui consiste à ânonner des sourates sans savoir ce qu’elles signifient, favorisant l’extension de l’islam et de la pourriture intellectuelle qui l’accompagne.