Christian Hofer: Preuve si besoin est encore que l'islamophobie et l'antiracisme sont deux composantes pour faire plier le non musulman.
Nous ne nous en sortirons pas tant que des officines imposeront leur moraline à sens unique, piétinant les droits des peuples européens, leurs terres, leur histoire, pour mieux imposer une immigration de masse et diluer ce qui reste de nos civilisations.
Pendant ce temps, l'islam appelle à la haine des chrétiens sans que cela ne gêne ces hypocrites.
Plus encore, nos autorités qui nous imposent des millions de migrants en Europe font ainsi le bonheur des musulmans qui peuvent s'imposer par le nombre, les menaces, la dénonciation dans nos écoles même. Il ne reste plus guère au professeur que l'autocensure et/ou la dhimmitude s'il veut pouvoir enseigner sans encourir de sanctions.
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SALMAN Abedi a dénoncé son professeur d'école pour l'islamophobie parce que ce dernier condamnait les kamikazes.
Le terroriste de Manchester, qui a tué 22 personnes lors d'un concert de la pop-star Ariana Grande - étudiait à la Burnage Academy, école pour garçons, entre 2009 et 2011.
Selon le Times, Abadi appartenait à une bande arabophone pendant sa scolarité. Il aurait fait partie d'un groupe de jeunes qui se sont énervés lorsque l'un de leurs professeurs a abordé le sujet des attaques suicides.
L'immigration qui enrichit l'Europe selon la propagande de nos dirigeants.
Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
La gauche, le centre et ses nombreux non voyants sont les cons utiles de l’islam. Des alliés naïfs que les membres de La Secte utilisent surtout pour leur bisounourserie droitsdelhommiste tout en les méprisant profondément par le simple fait qu’ils soient et seront toujours mécréants à abattre.
Les mêmes qui nous bassinent avec « Vous n’aurez pas ma haine » pour des tueurs d’enfants, ont par contre une haine assumée pour ceux qu’ils considèrent comme fascistes, racistes, islamophobes, par le simple fait qu’ils ne soient pas en phase avec la dhimmitude ambiante.
Les conflits et les colères existent dans toutes les sociétés, MAIS la plupart des pays du continent européen ont réussi à mettre en place des outils, dont l’éducation et l’engagement citoyen, qui permettent de les résoudre d’une manière civilisée et non par la violence, les coups et les meurtres. Dans un état de droit, il n’est nullement exigé d’aimer tous les membres de la dite collectivité; en tant que représentant son état, le citoyen s’efforce de s’obliger à ce qu’il légitime. C’est la grande différence entre ceux qui légitiment et ceux qui veulent être légitimés.
Une remarque encore: l’état n’a pas pour mission de défendre une religion quelle qu’elle soit, mais de défendre les individus des pressions qu’elle peut exercer sur les personnes.
Depuis que des fauteurs de troubles ont réussis à faire passer des lois interdisant de dénoncer les dangers potentiels que représente tel ou tel groupe sous couvert d’une religion ou autre idéologie, les peuples se retrouvent sans armes pour se défendre. Il faudrait inventer le délit de complicité à la diffusion de textes incitant à la haine religieuse, au communautarisme, et autres délits qui se cachent dans des textes dont les premiers se servent avec la complicité de tous nos gouvernants.
Oui, cela fait 1200 que le monde islamique est en guerre contre l’Europe.
Mais nous avions gagné.
Et qui a ouvert nos portes ?
Qui nous empêche de nous défendre ?
Qui aimerait que nous visions le bras plutôt que la tête ?
Rappelons aussi que les 500 millions d’Africains qui s’apprêtent à déferler sur l’Europe sont loin d’être tous musulmans et qu’au Brésil, par exemple, en dehors de toute problématique islamique, il y a chaque année plus de morts par balles qu’en Irak.
La véritable machine à casser les peuples européens, c’est le planétarisme.
Ce « pauvre » garçon a été élevé durant toute sa vie dans une atmosphère d’islamisme politique. Son père était un opposant de Khadafi et avait obtenu le statut de réfugié en Angleterre. Son frère aussi était un militant islamiste. Bref, tel père, tels fils. Tout ce que voulait cette famille, c’était que le gouvernement de Khadafi soit remplacé par un « gouvernement » chariatique. Sans jamais éveiller les soupçons ni de la police ni du Renseignement britanniques, le père et le frère d’Abedi faisaient régulièrement des aller-retour entre l’Angleterre et la Libye, où ils avaient des contacts avec des militants d’Al Qaïda. Dès lors, comment s’étonner que ce jeune homme ait lui aussi voulu goûter aux frissons que cause l’islam en action?
Au vu des évènements constants et des saloperies commises par des gens qui pratiquent cette infâme religion, on ne peut qu’être islamophobe. Ils arrivent sans peine à se faire détester. Si j’avais été à la place du prof, j’aurais dit la même chose en ajoutant toutefois que ceux que j’aimais le plus dans les attentats-suicide, c’étaient précisément les suicidés, car eux au moins ils débarrassaient le plancher.