Se prostituer pour financer ses études – Journal télévisé du jeudi 9 Mars 2017

post_thumb_default

 

Au sommaire de ce journal télévisé : 1) Société / Se prostituer pour financer ses études ; 2) Économie / Bientôt de nouveaux tarifs à la SNCF ? ; 3) Santé / Scandale sanitaire à l’Institut Pasteur ; 4) International / Turkménistan : Berdimoukhamedov, un président pas comme les autres ; 5) L’actualité en bref.

Nouveau sondage qui plaît au Système. Emmanuel Macron en tête dans la dernière étude d’Harris Interactive. Une première place qu’il devrait au ralliement de François Bayrou selon les analystes…

 

26 % au premier tour pour l’ancien banquier. Voilà le résultat du dernier sondage d’Harris, qui place donc l’ex locataire de Bercy en tête. Macron aurait tout simplement gagné 5 points en une semaine… une progression fulgurante qui incomberait – selon les journalistes – au ralliement du béarnais François Bayrou, lequel pesait justement 5 % dans les sondages.

Pourtant, tout porte à croire que la progression de Macron se doit à d’autres phénomènes. L’engouement unanime des media et surtout la nullité de Benoît Hamon, le candidat officiel des socialistes. D’une part, à force de matraquage, le loup de la finance profite d’une notoriété fabriquée de toute pièce. Pendant que les canards s’acharnent sur l’affaire Fillon, on passe sous silence les arrangements fumants de Macron. Une ligne ou deux en fin de journal et hop on passe à autre chose. Macron pris en flagrant délit de favoritisme pour sa soirée séduction à Las Vegas ? Rien de grave. Les conseillers santé de Macron pris en plein conflits d’intérêts… Mauvais esprit… A se demander si Macron ne pourrait pas tuer en toute impunité… Après tout, le jeune premier aurait bien le droit, c’est le poulain de l’Elysée. Car avec la médiocrité du candidat Hamon… il faut bien assurer une continuité à la famille socialiste. Si certains murmures que 500 parrainages auraient été mis de côté pour être dégainés au dernier moment en faveur de François Hollande, la réalité est que Macron, c’est François Hollande. Le mutisme des pontes du PS au sujet de Benoît Hamon n’en est qu’un des plus visibles stigmates. Pas un commentaire sur le candidat officiel du Parti Socialiste. Seul Claude Bartolone s’autorise une remarque, et c’est pour déplorer le manque d’ouverture et de rassemblement du breton. Les sondages ne sont pas plus encourageants… Si certains instituts parviennent à lui trouver plus de 12 %, la réalité est sans doute que Jean-Luc Mélenchon pèse plus lourd…

La branche la moins à gauche des socialistes n’a rien en commun avec Benoît Hamon, lequel ne leur donne aucun gage. Macron, lui, à l’inverse, sait qu’il faut tendre la main à cette partie du PS… C’est ce qu’il fait en laissant entendre que Matignon serait pour une femme… C’est ce qu’il fait en mettant le paquet sur la discrimination positive, c’est aussi ce qu’il fait en accommodant tous ses propos d’une sauce anti FN.


Et voilà, avec une bonne couche de vivre ensemble pour récupérer les socialistes dans son giron, au détriment de Benoît Hamon. La technique est grossière mais… elle fonctionne. Il faut dire que le breton a dû mal à exister. L’aile droite du PS, autoproclamé pôle des réformateurs, vient de rédiger une déclaration d’amour pour Emmanuel Macron signée par Gilles Savary et Christophe Caresche, lequel a déjà rejoint personnellement le produit Rothschild. Du côté de Benoît Hamon, on assiste à l’agonie, stoïque. Le breton tente comme il peut de désamorcer l’engouement pour le jeune banquier, sans grand succès.

 

Eh oui, voilà une bonne question… Mais personne n’y répond vraiment et certainement pas Benoît Hamon, son ancien collègue de ministère. En réalité, Macron, c’est avant tout une bulle vide dans laquelle sont injectés des élites, des finances, des éléments de langage… Bref, Emmanuel Macron, c’est le produit issu d’une étude de marché. Une étude de marché, arrangée à la réflexivité… Les media font monter la sauce, les soutiens se multiplient… de quoi rajouter une couche médiatique. Macron numéro 1 dans les sondages suit le même principe… Alors que le banquier a l’électorat le plus volatile… et donc le moins certain, ressasser qu’il est le favori va terminer de convaincre une partie des indécis.

Fillon, de son côté, n’est pas rancunier… Après les coups de pression en série de l’UDI… les centristes reviennent dans le giron républicain au prix d’accord électoral très favorable… Les démocrates indépendants devraient rafler près d’une centaine d’investitures pour les législatives.

Raz de marée de centristes… Après la centaine d’investitures pour le Modem et consorts chez Macron, l’UDI a joué la sécurité et n’a pas sauté le pas vers le banquier. En rentrant dans les rangs de la droite parlementaire, le parti centriste rafle 96 circonscriptions pour les futures élections législatives. Après les séismes médiatiques autour du Penelope Gate, François Fillon a dû céder. En meeting à Orléans mardi, le candidat a appelé solennellement les centristes à le rejoindre dans la campagne, campagne qu’ils avaient interrompu après l’annonce de la mise en examen de Fillon. Les centristes sont donc rentrés dans le rang quelques jours à peine après qu’ils considèrent que la campagne était contraire à leur valeur. Selon Chantal Jouanno, le programme de Fillon convient globalement à l’UDI, même s’il y a des différences. Cette décision, au delà de permettre à de nombreux UDI de pouvoir miser sur la cantine de l’Assemblée, permettra surtout de retarder un peu l’explosion de cette famille politique qui ne tient plus qu’à un fil. En effet, depuis le retrait de Jean-Louis Borloo de la politique en 2014, la guerre des chefs entre Jean-Christophe Lagarde et Hervé Morin secoue l’unité. L’accord avec les Républicains va donc permettre d’assurer une continuité et donc une réelle réussite pour l’UDI aux législatives… et quand tout le monde à de quoi manger, on a moins envie de se révolter.

Sur les 96 circonscriptions, les démocrates indépendants devraient conserver les 28 où ils ont un député sortant, plus une quarantaine gagnables. Dans 48 circonscriptions, il y aura également une primaire entre le candidat Républicain et le candidat UDI…

En acceptant cet accord, François Fillon avale certes, quelques couleuvres, mais oeuvre pour maintenir l’unité de façade de sa famille. Pour autant, l’ancien premier ministre de Sarkozy pourrait également s’attirer les foudres d’autres courants des Républicains. En effet, le maire de Montfermeil, Xavier Lemoine, vice-président du Parti Chrétien Démocrate a été écarté au profit d’un candidat UDI… Une décision qui pourrait bien crisper l’électorat conservateur … alors même qu’il semblait se rapprocher de François Fillon.

De son côté, Nicolas Dupont-Aignan peine toujours à exister. Il tient ce jeudi soir un meeting à Paris et mène toujours sa croisade contre TF1. En effet, la chaîne a décidé d’organiser un débat le 20 mars prochain entre les 5 principaux candidats à la présidentielle… choisissant donc d’écarter d’office les candidats considérés comme trop peu populaires. Un cercle vicieux aux airs de dénis de démocratie que le candidat de Debout la France dénonce… avec succès. En effet, le Conseil d’Etat a visiblement jugé que ses réclamations étaient justifiées puisqu’une audience publique sera organisée jeudi 16 mars à 10h. Le candidat de Debout la France a d’ores et déjà fait savoir qu’il se rendrait au rendez-vous.

Soucieux de faire entendre la voix du gaullisme, Nicolas Dupont-Aignan a toutefois profité de sa venue chez Jean-Jacques Bourdin pour faire part de sa volonté d’ouverture s’il venait à être élu président de la République…

Un casting parfois étonnant… En effet, si l’on veut bien comprendre la nomination d’un Philippe Bilger à la Justice, ou une Irène Frachon – pneumologue à l’origine des révélations sur le Mediator – à la Santé, ou même de l’ancienne plume de Nicolas Sarkozy Henri Guaino, à la Défense, d’autres choix sont plus étonnants. C’est le cas avec le Quai d’Orsay, qui reviendrait à la centriste Rama Yade… ou la politique de la ville pour … Malek Boutih… Pas sûr que le tableau fasse grimper les scores.

 

1) Société / Se prostituer pour financer ses études

Passons à présent au coup de projecteur sur les candidats en mal de médiatisation. Aujourd’hui, partons à la rencontre de Paul Mumbach. Créateur du parti “les fédérés”, Paul Mumbach est un maire en colère. Depuis sa commune de Dannemarie dans le Haut-Rhin, il souhaite en priorité lutter contre les baisses des dotations de l’Etat.

 

Paul Mumbach n’a pour le moment recueilli que 6 parrainages. Face à la grande difficulté de la quête des signatures, il prévoit d’entrer en résistance.

Etudiante le jour, prostituée la nuit ! Tel est le statut d’un nombre croissant de jeunes filles contraintes de vendre leur corps pour financer leurs études. Thibault Bastide

 

Difficiles de chiffrer le nombre d’étudiantes contraintes de se prostituer pour des raisons financières. Le syndicat étudiant d’extrême gauche SUD évalue ce chiffre à 40 000. Si le sujet est résolument tabou, le nombre de petites annonces présentes sur l’internet témoigne d’un phénomène bien ancré. Très faciles à joindre au téléphone, les jeunes filles, qui se présentent comme masseuses, strip-teaseuses ou escortes, entendent cependant rester discrètes. Une jeune étudiante en droit de 21 ans, escorte depuis plusieurs mois a bien voulu nous répondre, elle nous explique ce qu’elle définit comme un “job étudiant”.

 

Lorsque nous demandons à Lise s’il lui arrive d’avoir des relations sexuelles avec ses clients, elle nous répond sans tabou que cela peut arriver.

La précarité étudiante reste le nœud du problème, comme nous le confirme la jeune fille qui revient sur les raisons qui l’ont poussée à se prostituer.

 

Si certains étudiants peuvent effectivement bénéficier de bourses d’études souvent dérisoires, d’autres n’y ont pas droit ; leurs parents ayant des revenus jugés trop élevés. Ainsi de nombreuses jeunes femmes tombent dans l’engrenage du trafic de leurs charmes et de l’argent facile.

 

Les pouvoirs politiques, qui n’évoquent jamais le problème, ont sans doute leur responsabilité dans le phénomène qui reste étroitement lié à la précarité étudiante. C’est du moins l’avis du Président du syndicat de gauche Unef à l’université d’Artois.

 

Et alors que des moyens financiers et humains important sont mis en oeuvre pour loger et nourrir les clandestins, les étudiants qui incarnent, eux, le futur du pays sont au régime sec. Mais la prostitution n’est pas la seule voie suivit par les étudiants nécessiteux. D’autres font le choix de trouver des jobs étudiants comme par exemple travailler dans une fameuse chaîne de restauration rapide américaine…

 

2) Économie / Bientôt de nouveaux tarifs à la SNCF ?

La SNCF peine de plus en plus à remplir ses TGV. En cause, notamment, le prix des billets, que les consommateurs trouvent trop élevés. Pour y remédier, la compagnie envisage de revoir de fond en comble sa grille tarifaire. Natasha Koenigsberg

 

Terminé les ID TGV… Ces rames de trains roulant, parfois collées à une rame classique, parfois seules sur le réseau, proposaient aux passagers des billets à prix modulés, disponibles exclusivement sur Internet… Mais finalement, la SNCF, qui avait créé une société spéciale pour commercialiser et gérer ces trains a décidé de mettre un terme à l’expérience.

Si ID TGV disparaît, le problème du prix des billets des TGV que les passagers sont de plus en plus nombreux à trouver trop chers demeure… D’après le quotidien les Echos, la SNCF travaillerait donc à une refonte tarifaire complète, destinées à rendre le train à nouveau attractif, notamment pour les jeunes. Ils sont en effet de plus en plus nombreux à préférer les cars Macron, ou le covoiturage ou même les compagnies aériennes low-cost au TGV, qui ne leur propose que rarement des prix adaptés à leur budget serré…

Nouveauté annoncée de cette grille tarifaire qui entrerait en vigueur en septembre : les billets à prix réduits ne seraient plus, comme aujourd’hui, proposés à la vente des mois ou des semaines avant le départ du train, obligeant à anticiper son voyage, ce qui n’est plus vraiment dans l’air du temps aujourd’hui, mais bien au contraire proposé quelques jours ou quelques heures avant ! L’idée est d’optimiser le remplissage des trains, quitte à brader des billets à la dernière minute, la SNCF espérant compenser le gain moyen par voyageur en augmentant le nombre de passagers.

Contrepartie de cette nouvelle grille tarifaire : les billets seraient encore plus difficiles à se faire rembourser, ou à échanger, afin de dissuader ceux qui utilisent le train pour leurs déplacements professionnels d’acheter des billets loisirs, à tarifs réduits…

Rappelons que la SNCF a annoncé un bénéfice de près de 600 millions d’euros pour l’année 2016, mais que dans le même temps, sa dette abyssale a gonflé de 3 milliards d’euros, pour s’établir désormais à 42 milliards… Et il lui faut financer nombre de travaux de remise en état du réseau, sans parler de l’indispensable remplacement des rames et des locomotives qui lui coûtera très cher dans les prochaines années.

 

3) Santé / Scandale sanitaire à l’Institut Pasteur

Trafic de virus à l’Institut Pasteur ! Des échantillons de Mers-Coronavirus ont été transportés clandestinement de Séoul à Paris avant d’être laissés sur une étagère sans aucune précaution sanitaire. Le Parquet de Paris a ouvert une enquête.

 

Scandale à l’Institut Pasteur ! En octobre 2015, une scientifique de l’Institut Pasteur de Corée transporte clandestinement 3 tubes à essai d’échantillons de Mers-Coronavirus à bord d’un avion ralliant Paris. A leur arrivé dans les locaux parisiens, ces échantillons restent entreposés une semaine dans une simple boîte de cosmétiques. La direction du centre prend alors la décision de les détruire sans en avertir les autorités sanitaires comme le prévoit la loi. Potentiellement mortel, ce virus transmissible par le chameau est apparu en Arabie-Saoudite en 2012.

Une fuite dans la presse coréenne a conduit le Parquet de Paris à ouvrir en enquête préliminaire le 19 décembre dernier. Pour assurer sa défense, le directeur général de l’Institut Pasteur, Christian Bréchot, assure que les échantillons avaient subi un traitement d’inactivation mais reconnaît l’erreur d’avoir gardé l’affaire secrète.

Signalons que l’Institut Pasteur n’en est pas à sa première dissimulation. En 2014, l’organisme avait déjà perdu plus de 2 000 tubes à essais de SRAS et avait mis 2 mois à prévenir les autorités. Pire, en février dernier, un écart d’inventaire de 10 échantillons de virus Ebola a été constaté. Cette fois-ci l’Institut avait prévenu l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé. Le pharmacien “lanceur d’alerte” Serge Rader nous témoigne son inquiétude et appelle les politiques à mettre un peu d’ordre :

 

Rappelons que le milliardaire américain Bill Gates, s’est récemment inquiété de la possible explosion d’une épidémie planétaire dans les années à venir et a appelé les Etats à anticiper cette catastrophe en investissant dans de nouveaux vaccins. Et pour cause, le fondateur de Microsoft s’est lancé dans une croisade pro-vaccinale dans plusieurs pays en développement. Il est d’ailleurs poursuivi par la Cour suprême de l’Inde pour avoir testé sans consentement parental, des vaccins HPV sur des milliers d’enfants. Certains sont tombés malades, d’autres sont morts. Des décès qui n’ont pas empêché Bill Gates de déclarer en octobre dernier qu’il était devenu philanthrope…

 

4) International / Turkménistan : Berdimoukhamedov, un président pas comme les autres

Et à présent direction le Turkménistan ! L’ancienne république soviétique d’Asie centrale a récemment réélu son président ! Sans surprise, c’est l’excentrique Gurbanguli Berdimoukhamedov qui a remporté le suffrage pour la troisième fois consécutive, avec plus de 97 % des voix. Portrait d’un président pas comme les autres. Hermine Risoli

 

C’est au terme d’une campagne loin des scandales à la française et des multiples rebondissements que Gurbanguli Berdimoukhamedov a remporté l’élection présidentielle turkmène le 12 février dernier. Une victoire écrasante avec plus de 97 % des voix… tant d’amour populaire, c’est beau, non ?… Un troisième mandat, que ce personnage pour le moins atypique entend placer sous le signe de “la prospérité, la neutralité et l’indépendance du Turkménistan”.

Cet ancien dentiste, devenu chef d’État a plus d’un tour dans son sac. Amateur de courses de voitures, celui qui souhaite faire de son pays “la nation du sport” n’hésite pas à participer – et à remporter – les rallyes qu’il organise pour son bon plaisir. Mais son vrai dada, c’est le cheval au point de proclamer un jour férié en son honneur. Là aussi, il participe à des courses, qu’il gagne bien entendu, et lorsqu’il lui arrive de chuter, personne n’en sait rien ; les portables sont contrôlés à la sortie de l’hippodrome et les médias censurés. Sportif, le président l’est incontestablement. Mais il est aussi chanteur à ses heures.

 

Les excentricités du Président turkmène ne s’arrêtent pas là ; en bon héritier des principes soviétiques, il a fait ériger une superbe statue dorée à son effigie en plein cœur de la capitale, Ashgabat et chaque jour, des images de Monsieur Berdimoukhamedov sont diffusées à la télévision nationale, histoire d’entretenir l’amour que son peuple lui voue. Mais, question respect des droits de l’homme, le chef d’Etat n’est pas encore au point. Entre liberté d’expression bafouée, parti unique et contrôle de l’internet, il est loin des standards occidentaux. Mais tout cela n’empêche pas de grands groupes français, comme Bouygues, d’entretenir des rapports privilégiés avec celui que d’aucun qualifierait de dictateur.

 

5) L’actualité en bref

Robert Ménard accusé de provocation à la haine ! Le maire de Béziers est jugé dans le cadre de ses déclarations sur la présence d’enfants issus de l’immigration dans les écoles biterroise. Il a répondu aux accusations de ses détracteurs au micro de Charlotte d’Ornellas pour Boulevard Voltaire.

 

Le délibéré est prévu pour le 25 avril.

***

Un hijab pour les sportives musulmanes ! Le célèbre équipementier américain Nike proposera très bientôt un hijab, c’est à dire un foulard islamique, pour les athlètes mahométanes… Esthétiquement plutôt réussi et assez sobre, l’objet pourra s’avérer utile dans les pays musulmans. On peut en revanche déjà prévoir que l’utilisation de cet accessoire fera polémique en France et en Europe où les velléités communautaristes pourraient contraindre certaines femmes à porter ce foulard…

***

Et il est décidément beaucoup question de sport dans l’actualité… Le mythique club britannique de football Manchester United s’offre un nouveau contrat marketing avec… AlddinStreet.com, un distributeur en e-commerce qui vend toute sorte de produit sur internet. Toute sorte de produits mais pas n’importe lesquels puisqu’il s’agit de produits labellisés halal. La marque malaisienne fait donc dans les articles alimentaires, pharmaceutiques et cosmétiques “charia compatible”. Ce contrat s’inscrit dans la lignée des nombreux accords commerciaux ou rachat entre pays arabes ou musulmans et clubs de football. Du Real de Madrid à Arsenal en passant par le FC Barcelone et le Paris Saint Germain, le foot européen devrait bientôt pouvoir se jouer en babouche !

***

Retour vers le futur pour l’Alpine ! La célèbre automobile A lpine A 110 renaît de ses cendres et a pu être admirée au salon de Genève en Suisse. La nouvelle berlinette conserve le même ADN que son aînée championne du monde 1973 des constructeurs en rallyes. Avec ses 252 chevaux pour un peu plus de 1 000 kilos, le prix de l’Alpine nouvelle génération sera compris entre 55 000 et 60 000 €.

Cet article Se prostituer pour financer ses études – Journal télévisé du jeudi 9 Mars 2017 est apparu en premier sur TVLibertés - 1er media de Réinformation de France.

 

Extrait de: Source et auteur

Suisse shared items on The Old Reader (RSS)

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.