En Suisse, les tirages des journaux payants se sont réduits de 1,15 million d’unités en 20 ans, selon une étude. Les annonces ont chuté de 60%. La faute à la SSR, dénoncent certains qui voudraient la priver de recettes publicitaires
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La presse en détresse
Youpi !
L’Etat, en interdisant aux médias de dire ce qui se voit, d’investiguer, de débattre, de dénoncer et de publier les lettres de lecteurs, a créé sournoisement une société liberticide, une dictature silencieuse et son troupeau de moutons et de piètres journalistes lâches, menteurs et sans éthique professionnelle. Les élus politiquement corrects et les angéliques de tout poils ont promu les journalistes sans conscience et les ont subventionnés avec nos impôts. Les journalistes avec conscience, comm Koeppel de la « Weltwoche » et Uli Windisch, sont devenus exception. Conclusion, ce n’est que justice si la majorité des journaux et des journalistes s’auto-euthanasient.
Pas étonnant vu qu’il y a d’autres sources d’information donnant aux gens l’occasion de découvrir une autre lecture que les mensonges des médias gaucho!
Le jour où je trouverai un journal qui correspond à mes opinions, je m’abonnerai volontiers, mais si c’est pour financer de mes deniers le contraire de tout ce que je pense, autant ne pas acheter.
Nouvelle fort réjouissante.
Oui, la grande majorité des médias s’affiche outrageusement à gauche. Plus de place pour les articles de fond ou les enquêtes, les journalistes savent à peine écrire et à l’école le niveau a tellement baissé, que livres et journaux sont abandonnés. Nous vivons une fin d’époque. Ceci dit, je me réjouis de voir disparaître les nombreux torchons qui infestent les kiosques de Suisse romande.
Les médias nous soumettent à une propagande en règle, pratiquent sans complexes un unilatéralisme inflexible.
Ecoutons nos radios et nos télévisions, lisons nos journaux : les personnes interviewées sont exclusivement et obligatoirement favorables à l’ouverture des frontières; les références uniques et incontournables sont Amnesty International, le HCR ou les politiciens du bon bord. La radio et la télé d’Etat, comme les journaux subventionnés, qui, depuis belle lurette, ne sont plus là pour vous informer, mais pour nous mettre au pas, au cas où nous aurions encore des pensées coupables.
Dès lors de quoi se plaignent-ils ? Le fossé entre peuple et dirigeants est grand et c’est le même entre lecteurs et médias….il ne s’agit pas uniquement de questions structurelles, de gestion…de parts de marché. Un exemple ? Certes, 30% du corps électoral ne trouve pas ses convictions correctement rapportées dans les médias !
et la grande majorité des jeunes sont sur facebook et twitter….Le support papier n’est lu que si l’on veut approfondir une information, pour autant qu’elle soit traitée impartialement !
Je prie le Ciel que toute cette presse de désinformation disparaisse. Les journaputes iront faire le tapin dans la rue…