Il est Somalien, prédicateur islamiste et demandeur d’asile. Il n’a pas supporté le spectacle de l’Avent d’une école maternelle.
A Oberndorf (Haute-Autriche), il est monté sur scène un Coran à la main, interrompant le spectacle de l’Oberndorfer Advent et terrorisant les enfants. Puis, il a commencé à prêcher en lisant des passages du Coran sur la scène.
Deux hommes se sont alors précipités sur le « prédicateur » qui a violemment riposté, hurlant à plusieurs reprises « Allah Akbar ! » et appelant à « tuer les infidèles ».
Les parents présents, dont un officier de police, ont fini par le maîtriser et l’éjecter. Alertés, les policiers ont rapidement établi qu’il résidait depuis deux ans dans le quartier de Schwanenstadt et que c’était un adepte du groupe terroriste islamiste Al Nosra, celui-là même qui vient de revendiquer l’assassinat de l’ambassadeur russe tué d’une balle dans le dos le 19 décembre à Ankara.
Les policiers ont précisé néanmoins que l’individu souffrait d’une « maniaco-dépression » en cours de traitement. Encore un déséquilibré, bien reconnaissable d’ailleurs au fameux cri des déséquilibrés dans le monde : « Allah Akbar ».
« Les enfants étaient très anxieux et totalement pétrifiés, nous étions également terrifiés pour eux », raconte un témoin. De nombreux parents réalisant que l’islamiste aurait pu, de la même façon, sortir une arme de son sac à dos et faire un carnage, sont sous le choc. Mais ils peuvent compter sur le pasteur Helmut, qui dirige l’école maternelle Caritas, pour se charger de leur laver le cerveau.
« Cet incident doit être évalué à la lumière de sa maladie » a conclu le pasteur. Un « incident » et un « malade ». Rien à signaler donc, tout est normal. Donnons-lui ses papiers. Et la prochaine fois il fera exploser sa ceinture d’explosifs au milieu des enfants.
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Extrait de: Source et auteur
Il ne supportait pas le spectacle de l’Avent… et il est venu y assister tout exprès pour pouvoir monter sur scène et prêcher le Coran. Une préméditation « à évaluer à la lumière de sa maladie », bien sûr…
ça fait partie des joies du “vivre ensemble”