Réveillez-vous les Suisses !

NDLR. Lecteurs, vous êtes interpellés

« Dans l’époque singulière où nous vivons, le fort est faible par son hésitation et le faible est fort par son audace. »

(Otto von Bismarck 1815-1898)

 

Réveillez-vous les Suisses

 

Comme Rudiger Dornbusch (1942-2002), économiste germano-américain de renommée mondiale ayant étudié à l’Université de Genève, l’a souligné: «Les choses prennent plus de temps à arriver que vous ne le pensez, puis elles se produisent plus vite que vous navez jamais pensé qu'elles pouvaient."  Une crise coïncide habituellement avec une augmentation inédite de la vitesse de l’histoire et de la civilisation. Une crise peut avoir des conséquences catastrophiques, mais aussi ouvrir de nouvelles possibilités.

 

Les grandes nations tournent telle la grande roue d’une fête foraine; comme l’Empire romain, l’Empire britannique, l’URSS, les USA, l’Argentine, la France, etc, elles s’élèvent, puis sombrent en se suicidant.

 

  1. Les peuples occidentaux passent de l’esclavage ou de la servitude à une société éduquée et plus juste.
  2. Grâce à leur courage et à leur capacité à résister aux pressions et aux menaces, les peuples se libèrent de leurs oppresseurs et deviennent libres.
  3. De libres, ils deviennent créatifs et riches.
  4. De riches, ils deviennent individualistes et égoïstes.
  5. De individualistes et égoïstes, ils deviennent satisfaits d’eux-mêmes, voir arrogants.
  6. De satisfaits d’eux-mêmes, ils deviennent complaisants, nonchalants et passifs.
  7. De nonchalants et passifs, ils deviennent dépendants, envieux et assistés. L’éthique du travail et de la responsabilité individuelle est alors érodée. L’idéal du travail comme forme d’épanouissement s’effrite à mesure que les individus prennent goût au temps libre, aux loisirs après le temps de travail et aux divers subsides de l’Etat providence; les citoyens revendiquent que l’Etat donne à chacun un emploi et un temps libre, alors qu’en réalité, globalement, l’Etat confiscatoire leur prend de plus en plus.
  8. De dépendants et assistés, ils retournent à l’esclavage ou à la servitude. Tant de civilisations, d’empires et de peuples célèbres ont disparu ou sont en train de sombrer. Habituellement, les civilisations ne meurent pas assassinées; elles se suicident comme l’a affirmé l’historien Arnold Joseph Toynbee (1899-1975). Ainsi les USA sont en train de se suicider parce que leurs derniers présidents ont oublié ce que leur ancien président Abraham Lincoln déclarait en 1860:

 

«Vous ne pouvez pas créer la prospérité en décourageant l'épargne.Vous ne pouvez pas donner la force au faible en affaiblissant le fort. 

Vous ne pouvez pas aider le salarié en anéantissant l'employeur. 

Vous ne pouvez pas encourager la fraternité humaine en encourageant la lutte des classes.

Vous ne pouvez pas aider le pauvre en ruinant le riche. 

Vous ne pouvez pas éviter les ennuis en dépensant plus que vous gagnez. 

Vous ne pouvez pas forcer le caractère et le courage en décourageant l'initiative et l’indépendance.

Vous ne pouvez pas aider les hommes continuellement en faisant à leur place ce qu'ils devraient faire eux-mêmes. »

 

Depuis 1860, les temps ont bien changé aux USA; quand on tente, en automne 2016, de comprendre l’élection magouilleuse de celle qui rêve d’être présidente des USA, on ne peut que conclure que les USA sont un simulacre de démocratie représentative et que ces beaux principes, compte des votes compris, seront piétinés bien d’avantage par la gauche que par la droite conservatrice.

 

Alexander Fraser Tytler (1747-1813), un professeur d’histoire à l'Université de Edimbourg, lui, aurait dit à propos de la chute de la République athénienne, il y a quelque 2.000 ans: « Par nature un régime démocratique ne peut pas perdurer. La raison quune démocratie ne peut pas exister comme une forme permanente de gouvernement est simple: un régime démocratique subsiste jusquau moment où les électeurs découvrent quils peuvent se voter des largesses aux dépens du trésor public. Dès ce moment, la majorité des citoyens élit toujours les candidats qui promettent le plus davantages payés par les deniers de lEtat, c’est-à-dire par les contribuables, avec pour conséquence que la démocratie croule sous le poids dune politique fiscale laxiste et immodérée. La porte est alors grande ouverte pour quune dictature succède à cette démocratie.»

 

N’est-ce pas l’évolution actuelle de l’UE et dont la Suisse essaie de se garder? De plus, l’innovation est destructrice; l’ancien meurt pour que le nouveau apparaisse; à condition que des citoyens honnêtes, travailleurs, studieux et créatifs inventent sans cesse ce nouveau devenu indispensable et que les nations évitent de se faire entre elles des guerres destructrices des richesses.

 

Il est attribué la phrase suivante à Nicolás Remigio Aurelio Avellaneda, avocat, journaliste et président d’Argentine entre 1874 y 1880: « les peuples qui oublient leur histoire sont condamnés à la répéter. » C’est bête comme, jeunes et vieux, nous connaissons mal l’histoire de notre pays, de l’Occident, du Moyen-Orient et de la colonisation islamique, alors que justement, les Suisses ne font que apprendre de l’histoire. Il est prioritaire d’enseigner et d’apprendre l’histoire au collège et par la suite. Il faut questionner le passé pour comprendre le présent, prévoir et préparer l’avenir. Comme l’écrivait déjà Polybe, né environ 200 ans avant Jésus-Christ : « Il ny a pas de leçon plus accessible aux hommes que la connaissance des évènements passés ». C’est pourquoi, pour  comprendre les pays musulmans, la mentalité et le prosélytisme musulmans, il faut aussi s’intéresser à l’histoire de la société musulmane, à la culture arabe pré-islamique, au passé de ces pays et à la colonisation islamique.

 

Pour personne, il n’est facile d’atteindre son plein potentiel. Le psychologue Abraham Maslow estimait que, habituellement, seuls 2% de la population le font. Augmentons ce pourcentage; il en va de notre avenir et de celui de notre pays. Les autres 92 % n’y arriveraient pas. Evidemment dans notre culture d’égalité des chances, trop de gens ne sont pas assez studieux, travailleurs, entrepreneurs, créatifs, clairvoyants et responsables. Mais aussi certains de nos besoins doivent être satisfaits dans un ordre particulier, pour que nous ne restions pas bloqués et incapables de continuer à progresser, à entreprendre, afin d’éviter de retourner bêtement à une ou autre forme d’esclavage ou de servitude. Abraham Maslow a publié cette « hiérarchie des besoins »  en particulier dans son ouvrage « Motivation and Personality ». Editions Pearson. 1997:

 

  1. Physiologiques: besoins pour assurer la survie tels que nourriture, sommeil, eau, abri et travail.
  2. Sécurité: absence de menaces, de craintes et de peurs, besoins de stabilité, de cohérence et de cohésion de la collectivité.
  3. Amour et appartenance: nécessité de la famille, des amis, d’un travail stable dans une bonne ambiance de travail, promotion du bien commun, participation, solidarité, principe de subsidiarité et principe de suppléance.
  4. Estime de soi: besoin de reconnaissance personnelle et professionnelle.
  5. Actualisation de soi: nécessité de réaliser librement son plein potentiel.

 

De nos jours, les problèmes économiques majeurs y compris les dépenses irresponsables ou non indispensables et les dettes des gouvernements, ne sont pas seulement dus à de mauvaises pratiques économiques et à la corruption des  Etats et de leurs dirigeants, mais aussi à l'érosion du caractère des citoyens. Alors que la liberté appelle à ce que nous avons de meilleur, le socialisme de gauche ou socia-lie fait appel au pire en nous, l’envie, la jalousie, la paresse, la bêtise, le libertaire, la satisfaction et le profit à court terme, la dépendance, l’achat des votes de ceux qui ne paient pas ou guère d’impôts et/ou qui sont assistés, les privilèges, avec comme résultat une érosion de l’éthique du travail et de la responsabilité individuelle. De plus comme l’a fort bien rappelé Eric Zemmour dans son livre « Le suicide français » publié en 2014 aux éditions Albin Michel, « La gauche a trahit le peuple au nom de l'égalité. L'égalité entre les parents et les enfants qui tue l'éducation; l'égalité entre les professeurs et les élèves qui tue l'école; l'égalité entre Français et étrangers qui tue la nation. »

 

La dictature socialiste repose sur la force et s’est associée, en Occident et en Amérique du nord, au totalitarisme musulman. A part quelques exceptions clairvoyantes, la « gôche » applique son principe de l’inversion des valeurs et

persiste à considérer tous les immigrés comme des victimes et l’Occident comme coupable. La repentance à propos des heures sombres de l’histoire colonisatrice de l’Occident, si chère aux angéliques de gauche, est devenue une  rééducation de l’Occident exigée par les musulmans. Notre devoir de mémoire et notre repentance concernant les croisades, la colonisation européenne et le nazisme sont devenus une autoflagellation masochiste, sans aucun fondement puisque nous n’étions pas encore nés. En œuvrant pour la réapparition d'un étatisme radical, cette gauche actuelle collabore, ce qui est aberrant et dangereux, avec des idéaux nazis les plus destructeurs pour l’économie. Le nazisme (« Nationalsozialistische Deutsche Arbeiters Partei » soit le NSDAP, ou Parti socialiste-national des travailleurs allemands) n'était-il pas une forme de socialisme modéré pour attirer la masse populaire, socialisme fortement attaché à la nation allemande et à son territoire, soit aussi nationaliste, dans le but d’offrir aux travailleurs une alternative au marxisme internationaliste qui, tant en Russie qu’en Allemagne, ne libérait les travailleurs que pour leur mettre de nouvelles chaînes?

 

La liberté repose, elle, sur le volontarisme, l’esprit d’entreprise, la responsabilité de chacun, le respect de la vie, de la propriété, du contrat et de la société civile. Comme l'affirmait Alexis de Tocqueville il y a deux siècles: « La démocratie, c'est l'égalité dans l'indépendance et la liberté ; le socialisme, c'est l'égalité dans la contrainte et la servitude. » Ceci représente les choix essentiels que chacun doit faire afin de décider si nous voulons vivre en liberté et progresser vraiment ou être soumis aux eurocrates et, pire, aux musulmans qui veulent nous imposer l’inégalité dans la contrainte et la servitude.

 

Seule une identité vraiment commune, décidée par un consensus populaire des citoyens, soit par le Souverain, non par des décisions des dirigeants, c’est-à-dire des élus, permet aux citoyens de se sentir solidaires de leur passé, de leurs valeurs ou, mieux dit, de leurs vertus et de leur futur. Place au peuple Souverain, maître du pouvoir. La construction européenne a servi à masquer tant l’action blâmable qu’est l'hégémonie américaine dans le monde, hégémonie hypocritement dénommée « pax americana », que la période terminale des  souverainetés nationales des nations européennes. Depuis une génération, l’Union européenne et ses technocrates, qui bataillent pour que l’identité européenne (de plus en plus allemande avec sa « pax germanica ») se substitue aux identités nationales, est en crise. Se voulant politique et pas seulement économique comme cela avait été justement propagé et comme cela devrait être, l’Union européenne (UE) est en plein milieu d’une crise universaliste et d’une ruine économique, ce qui convient aux USA. La démocratie  dépérit en UE, d’autant plus que l'impérialisme européen promet à la populace sécurité et survie matérielle. Vu les conflits et les crises économiques et sociétales qui traversent l’UE, sa faible audience et ses piteux résultats en matière politique étrangère et économique, l’hostilité vis-à-vis de l’UE ne va pas disparaître par magie. En Europe ce qui était difficile à 28 deviendra encore plus difficile à 36. Citoyens d’Europe, le temps des discours et des utopies politiques est passé.

 

Il a été clair, depuis le début des années 1990, que les eurocrates ou UEcrates ou encore UEcrasses, comme Jacques Delors. etc, ont complètement échoué. Schengen, face à l’immigration militante musulmane, au terrorisme et à la criminalité transfrontalière, n’est qu’une petite part de cet échec. Le traité de Maastricht fut un changement de régime comploté par les technocrates de l’UE et les USA contre les peuples européens, tout comme le fut par la suite Schengen; l’UE passa, de manière dissimulée, de la démocratie à l’oligarchie. De fait au nom des droits de l’homme, l’UE et les USA pratiquent une forme trompeuse, insidieuse, et redoutable de néocolonialisme oligarchique et de dictature silencieuse. N’oublions pas que les massacres du nazisme nationaliste, du communisme internationaliste soviétique, du maoïsme, du castrisme, etc, ont toujours été des processus d’éliminations de masse au nom de l’évangile des Droits de l’homme, du progrès et du bonheur présent et surtout futur des citoyens. L’Europe actuelle islamo-collabo qui affirme qu’il n’y a pas de menaces particulières, alors que des  migrants musulmans et des « européens » musulmans tuent des Européens, n’est que soumission qui marche de plus en plus à reculons vers sa perte. L’UE ne peut pas survivre dans sa forme actuelle dirigiste et centralisée. Si elle veut survivre, l’UE sera forcée d’écouter ses habitants, c’est-à-dire le Souverain, de devenir plus suisse, plus fédérale, plus transparente et, par-dessus tout plus démocratique. Les Suisses auront, alors, enfin et ainsi, moins à craindre de ou dans une telle Europe.

 

La Suisse, telle qu’elle est maintenant, ne peut pas accepter l’acquis communautaire, l’économie avec sa monnaie unique ouvrant la porte à sa fiscalité unique, la politique dirigiste de Bruxelles et être commandée, si ce n’est tyrannisée, par les hauts fonctionnaires, les technocrates et les juges-prêtres droit de l’hommistes européens, parce que l'essence même de l'identité suisse réside dans l'autodétermination de bas (le peuple Souverain) en haut (les élus) et dans le respect du principe de subsidiarité. Un gouvernement démocratique de bas vers le haut comme la Suisse, face à une gouvernance impérialiste dictatoriale du haut vers le bas comme l’UE et la fraternité musulmane, sont tout simplement incompatibles. La logique de la  gouvernance veut que, aujourd’hui, la Suisse, soit renonce à son identité nationale et nie toute son histoire, ses atouts et ses vertus, soit reste en marge de l’UE et de l’islam. Les Suisses doivent choisir entre une Suisse libre de culture gréco-romaine-judéo-chrétienne et de mécréance ou un coexistence multiculturaliste sous la domination de l’islam-idéologie et de l’UE. Les musulmans, eux, doivent choisir entre leur islam-idéologie et la Suisse.

 

 

 

Le modèle actuel de l'UE a échoué. Les nouveaux membres ont rendu plus difficile que jamais de bien gouverner l’Europe impérialiste de haut en bas, comme si elle était la France monarchique. Très bientôt, il sera nécessaire  à apprendre à gouverner l'Europe comme si elle était la Suisse (de bas en haut). L'Union Européenne  doit relâcher son emprise sur les nations et leurs citoyens, démocratiser les prises de décision, se fédéraliser, décentraliser ses institutions, appliquer le principe de subsidiarité et écouter ses citoyens, soit son Souverain et les faire voter. Plus l’Union européenne évolue vers une union économique libre, fédérale et démocratique, plus elle deviendra, comme la Suisse, fédérale et démocratique et plus elle deviendra, enfin, utile aux citoyens de l’Europe et se libérera de l’impérialisme des USA.

 

Le devenir de la Suisse moderne devrait être un cas d’école pour tous les empires tels que les USA et l’UE et pour toutes les nations qui reculent devant un renforcement de la démocratie directe, parce qu’ils redoutent le peuple. À ce jour, il n’a jamais été démontré, qu’un peuple soit plus stupide que la moyenne de ses élus. Sans oublier que les peuples, qui comme le Souverain suisse, ont leur mot à dire lors du choix des taux des impôts, s’en tirent à meilleur compte. La « volonté de tous » selon Rousseau, crée la justice et le bien du peuple Souverain; on a même dit que la « vox populi » est la « vox Dei ».

 

Machiavel a écrit en 1833: «gli Svizzeri sono armatissimi e liberissimi» (les Suisses sont les plus armés et les plus libres). Ne l’oublions pas et soyons fiers de nos traditions, de nos vertus et de nos armes de service à domicile ou mieux sur nous. Tell dans « Wilhelm Tell » de Schiller a dit: « Celui qui veut se frayer un chemin a travers la vie  doit avoir une arme pour la défense et pour l’attaque." … « Le bras me manque quand l'arme me manque. »

 

Après 45 ans de guerre froide, nous pouvions enfin moins nous préoccuper des relations impérialistes entre l’URSS et les USA et moins investir dans notre défense nationale; maintenant nous devons craindre, en particulier, des agressions sournoises, économiques et idéologiques et des attaques entre les USA, l’UE, la Russie, l’Inde, la Chine et surtout le monde musulman qui nous a déclaré la guerre à tous. Europol estime en 2016 que l’État islamique a envoyé en Europe plus de cinq mille de ses soldats sans uniforme. Les terroristes et les combattants sans uniforme de DAESH ne seront pas détruits par la récupération de Mossul ou d’Alep, ils s’évaporent, ils reculent temporairement, ils s’adaptent par exemple en encourageant leurs combattants vivant dans un pays étranger à agir en toute liberté tactique, mais, appliquant le coran ils ne renoncent jamais. L’islamisation est entrée en conflit avec le monde et avec elle-même. Les scénarios géopolitiques de conflits dépendent actuellement du rapport de force entre la puissance militaire dominante que sont actuellement les États-Unis, leur adversaire l’islam et les puissances susceptibles d’influencer l’équilibre, Russie, Chine, voire UE à la condition qu’elle ne soit plus soumise à l’impérialisme américain et se cache derrière l’OTAN des USA. Expériences faites, l’arbitrage de l’ONU reste virtuel et inefficace. En réalité, alors que les USA et leurs états marionnettes font la guerre partout et s’activent à occuper le monde, l’ironie est que les USA et l’Europe sont envahis par le monde musulman.

 

Malgré ce qui transpire dans les médias, nombre de citoyens restent aveugles. Le tsunami migratoire qui déferle sur l’Occident a été prévu, organisé, financé et a même été décrit dans plusieurs romans prophétiques, en particulier dans d’admirables romans d’anticipation. Notre langue française compte une excellente suite de ces romans-prophéties ayant trait à l’islam et aux immigrants militants qui auraient du nous rendre tous, élus et concitoyens, beaucoup plus clairvoyants. Cette suite est pourtant exemplaire:

  • Driant Emile-Cyprien: La guerre au XXe siè L'invasion noire.1895
  • Raspail Jean: Le camp des sains. 1973
  • Tchoudinova Elena: La Mosquée Notre-Dame de Paris : année 2048. 2008.
  • Houellebecq Michel: Soumission. 2015.

 

A cela s’ajoute des publications telles que le livre de Alfred Sauvy: « L’Europe submergée. Sud-nord dans 30 ans » publié chez  Junod en 1987 déjà.

 

La Suisse veut-elle imiter les USA, l’Argentine, la France et autres démocraties représentatives, qui, progressivement, n’écoutent guère plus leurs citoyens que ne le font Cuba et le Venezuela? La Suisse veut-elle retourner à la servitude, en particulier à l’exploitation et à la confiscation du citoyen honnête et travailleur, ou rester une petite nation efficiente et sûre, une démocratie directe vraiment participative et libre, dont les gouvernants ne sont pas seulement élus, mais sont également surveillés et encadrés par le Souverain, c’est-à-dire par des citoyens cultivés qui raisonnent et qui accordent une grande importance à l'initiative personnelle, à l’instruction, à l’effort, à la responsabilité individuelle, à leur culture, à leurs valeurs ou vertus, à leur Constitution et à leurs Lois, même si et parce que cette Suisse est un « Sonderfall » qui a un imaginaire historique particulier et tellement différent de celui de la fraternité musulmane?

 

Trop de Suisses et d’étrangers vivant en Suisse ne sont pas assez conscients et reconnaissants de la chance qu’ils ont de vivre dans un petit pays capitaliste autonome et de liberté, petit pays gérable et assurant à ses citoyens tant une retraite comprenant trois piliers, dont les deux principaux heureusement fondés sur une capitalisation personnelle, pas sur des dettes et ainsi pas à la charge des générations futures, qu’une formation professionnelle des meilleures, une coûteuse protection sociale et une bonne qualité de vie. Vraiment coûteuse, puisque cette protection sociale représente un tiers de la totalité des dépenses de la Confédération suisse. Entre 2000 et 2013, ces dépenses sociales ont même passé de 14,171 à 21,106 milliards de francs. Ainsi la Confédération helvétique dépense plus d’argent pour la protection sociale que pour les transports, la formation et la défense nationale réunis; ce qui, à notre avis et à voir le monde actuel, est fort préoccupant pour notre avenir et celui de nos enfants et petits-enfants.

 

Il n’y a que trois façons dont l'argent peut être dépensé. On peut dépenser son propre argent soi-même On peut dépenser son argent pour les autres. Enfin on peut dépenser l'argent des autres pour encore d'autres personnes. Cette dernière manière de dépenser l’argent est la prérogative des gouvernements; pourtant on sait que les gouvernements ne sont pas les meilleurs allocateurs des dépenses et du capital. Certaines dépenses du gouvernement détruisent même purement et simplement de la richesse. Milton Friedman, en 1980 n’a-t-il pas dit ironiquement que si vous confiez au gouvernement fédéral des USA la gestion du désert du Sahara , dans les cinq ans, il y aurait pénurie de sable?

 

Nous devons en débattre. Pire, « après moi le déluge - « place à l’islam », « ne touche pas aux pétromonarchies, aux pétrothéocraties et au romantisme de l’Arabie classique », «gentil islam, on taime car nous sommes de bons chrétiens» illustrent assez bien l’état d’esprit de nombreux concitoyens, en particulier de nombre d’élus. De là, l’urgence d’une réflexion qui soit au niveau des questions que l’islam-idéologie nous pose. Comment reprendre le pouvoir et le sens sur un cours du monde qui nous échappe progressivement et pour quoi faire? Tout fiche le camp, le déclin de l’Europe menace, les USA ont même dit vouloir la sauver en la diriger avec un nouveau plan Marshall et ce ne sont pas les tièdes politiciens de Berne ou les mollassons de Bruxelles, vu leurs erreurs passées et présentes dans leurs relations avec l’islam-idéologie, leur manque de courage, de détermination et de clairvoyance, sans oublier leur soumission à l’impérialisme des USA, qui vont redresser la situation. Soyons sur nos gardes. Le Souverain doit se manifester énergiquement et prendre les choses en mains. Nombre d’habitants de la Suisse ont de moins en moins conscience qu’ils bénéficient d’un niveau de vie élevé et sont donc moins disposés, comme il le furent pendant la deuxième guerre mondiale à fournir les efforts nécessaires pour le conserver. Des efforts constants sont nécessaires pour notre réussite à long terme. Je n’ai pas ménagé mes forces. Pour comprendre, j’ai consacré du temps et des efforts à observer. Je peux parler. Je sais.

 

Depuis le VII ème siècle, les musulmans, pas seulement les musulmans radicaux, divisent le monde en deux: eux les musulmans et les autres (les mécréants). Ils se disent être de bons croyants, raisonnables, pacifiques, les meilleurs, etc, et d’être les gentilles  victimes pontifiardes qui aspirent à vivre en sécurité et dans la paix de la  maison de l’islam ou prévaut la vraie paix (dar al-islam ou domaine de la soumission à Allah et à la charia), alors que tous les autres, Suisses compris, sont des mécréants, des terroristes hérétiques, des croisés, méchants, cruels, libertins, lubriques, irrespectueux, impies, insoumis, déraisonnables et irraisonnables, etc, soit des assassins qui vivent perpétuellement en conflit dans la maison de la guerre (dar al-harb, ou domaine de la guerre) que sont les terres non encore rendues aux musulmans, comme il se doit. Pour tous les musulmans la paix n’est possible que dans les territoires et chez les peuples islamisés ou gouvernés par un État musulman, mais pas dans les Etats où règne la mécréance. De plus la paix avec les non-musulmans, c’est-à-dire les mécréants ne peut être que temporaire en particulier pendant une suspension du conflit; c’est le dar el-solh, la demeure de la trêve  qui ne peut dépasser dix ans mais peut être reconduite plusieurs fois.

 

Depuis la petite enfance, on enseigne aux musulmans que le seul dieu, soit Allah, est sévère avec les croyants d’Allah et vindicatif avec les incroyants en Allah qui sont tous qualifiés de mécréants et d’impies. De plus, depuis XIV siècles, les musulmans prennent les juifs pour bouc émissaire et les tiennent comme responsables de leurs échecs et de leurs retards militaires, colonisateurs, économiques et technologiques. Au VII ème siècle, Mahomet lui-même aurait confié tous les musulmans la mission sacrée de combattre tous les non-musulmans jusqu’à la fin des temps et d’exterminer tous les juifs. Tout est la faute de l’autre, et l’autre le plus proche est l’Israélien. Le mâle musulman est le produit de cet enseignement de l’islam, d’un enrégimentement obscurantiste et de comportements sociaux et légaux fort différents des nôtres; depuis le VII ème siècle, l’homme musulman n’est pas dans le registre de la raison mais dans celui de la foi en une idéologie totalitaire et prosélytique. Il ne sait pas prendre des responsabilités personnelles, ni ne se sent responsable de ses erreurs, ces dernières deux attitudes plaisant aux politiciens occidentaux de gauche.

 

Et que font nos dirigeants politiques suisses? Nos élus et dirigeants politiques comme Sommaruga, Widmer-Schlumpf, Berset, Levrat, Darbellay, etc, qui ne connaissent pas le monde des entreprises, n’ont jamais vraiment gagné leur vie comme « Mitarbeiter » dans une entreprise, ou créé une entreprise et des postes de travail. Ils ne jurent que par la sphère publique et plus de gouvernement, en créant des aménagements et des équipements publics, de surcroit centralisés, quand se ne sont pas des dérangements, et en créant plus de fonctionnaires et davantage de bureaucratie et de centralisation pour, soit-disant, résoudre les difficultés. Ils feraient mieux d’écouter Thomas Jefferson qui a dit: « Mes lectures de l'histoire me convainquent que les plus mauvais gouvernements sont le résultat de trop gouvernement" . Ils ne favorisent pas la création d’entreprises qui créent des bénéfices et des postes de travail; ils ont la perverse illusion que l’Etat va, comme soit-disant en France socialiste, créer des postes de travail. De plus en plus de projets gouvernementaux donnent l’illusion de créer des postes de travail pour certains; à cela s’ajoutent la création de plus de fonctionnaires qui eux sont bien réels et coûteux. Il faut que quelqu’un paye pour cela et ce quelqu'un est le contribuable suisse. Si l’argent nécessaire est prélevé du marché obligataire, il ne vient pas directement des poches du contribuable d’aujourd’hui mais il lui sera confisqué demain. Un autre effet pervers est que cet argent soit  détourné de dépenses budgétisées  pour d’autres tâches plus utiles de l’Etat comme la Formation et la Défense.

 

Vraisemblablement ce ne sont pas des élus qui veulent faire consciemment et intentionnellement du mal aux citoyens. Comme les Bolchéviques, trop de nos dirigeants sont plutôt des carriéristes arrogants et présomptueux qui pensent savoir mieux, que le peuple Souverain, ce qui est bon pour lui. Ils se refusent d’écouter ce peuple et veulent le dominer. Pour ces élus, faire de la politique consiste à être persuadés qu’ils ont raison, que les autres ont tort et à mentir pour leur « bonne » cause tout leur en faisant la morale. Ainsi leur politique devient violente; ils se refusent tout débat démocratique et partent en guerre pour convaincre, puis même menacer/terroriser, les citoyens de voter comme eux. Pour eux, ce qui est bon pour le peuple, c’est la fin du secret bancaire, imprimer des billets de banque, que l’Etat s’endette, être europhile voir même eurolâtres, la soumission euro-atlantique aux juges-prêtres des USA et de l’UE et à l’islamo-idéologie, la fin des nations occidentales, surtout celles qui comme la Suisse leur paraissent, bien à tort, trop petites pour résoudre elles-même leurs problèmes, l’immigration galopante et militante, la fin de notre histoire, de nos vertus et de notre patriotisme, la fin du christianisme, la fin des idées, et même la fin de la politique avec la fin du principe de subsidiarité, des référendums et des initiatives, cela avec un mépris effronté croissant pour les citoyens. Beaucoup de ces dirigeants politiques, qui ne sont pas à l’écoute du Souverain, vénèrent la population non autochtone, ont peur de ce qu’ils appellent «populisme », diabolisent à la Staline ceux de droite en pratiquant leur chère « reductio ad hitlerum », alors que ces élus de droite écoutent tellement mieux les préoccupations des citoyens et agissent ou tentent d’agir en conséquence. Chez ces politiques eurolâtres, islamo-collabos et adeptes de la génuflexion, ce cynisme n’est pas un défaut; c’est leur nature. Ils n’écoutent pas le peuple souverain, ne raisonnent plus, accomplissent et se soumettent à l’UE et aux USA. Pour eux ce ne sont plus les idées, le Souverain et l’identité nationale qui mènent la nation et le monde, ce sont les lois du marché, la mondialisation, le mariage pour tous, la centralisation entre leurs mains, les pressions impérialistes des USA et de son satellite qu’est devenue l’UE et leur carrière personnelle. En fait, ils veulent placer la Suisse, notre neutralité et même l’Ukraine, sous curatelle euro-atlantique de l’UE et des USA. Face aux euro-septiques, aux musulmans et aux terroristes de ces derniers, leurs comportements collabos voir soumis sont un scandale moral de trahison citoyenne, d’indifférence et de déni des menaces musulmanes militantistes, antidémocratiques, sexuelles et guerrières actuelles et futures.

 

La politique de l’UE refuse l’exclusion des Autres, allant jusque à soutenir une idéologie non-occidentale, alors même que ses États membres mènent de plus en plus des politiques dictées par la crainte d’un afflux de populations non européennes. En politique étrangère, l’UE adopte d’une part des idéaux universels sans avoir les moyens de les imposer et, d’autre part une identité cosmopolite qui fait concurrence aux loyautés nationales des divers pays membres, comme l’ont compris les Anglais. Même si l’UE réussit à réaliser son unité par un moyen ou par un autre, comment définira-t-elle son rôle mondial ? Elle a le choix entre trois possibilités : privilégier le partenariat atlantique et sa soumission aux USA, adopter une position indépendante et neutre ou chercher une entente tacite avec une autre puissance que les USA ou un groupement de puissances extra-européennes. A voir ce qui se passe chez nos voisins français, belges et allemands, l’autre puissance serait l’islam.

 

La politique n’est, ni un état, ni le pouvoir de dirigeants, mais un service. Une réponse politique c’est suivre le chemin du Souverain et des intérêts vitaux de la nation, en remontant plus haut qu’à la question posée, pas de chercher à faire carrière. Malheureusement aujourd’hui, pour trop de nos élus, être élu par le Souverain ce n’est pas être à son service, c’est bien gagner sa vie, avoir rapidement une bonne retraite, faire carrière et se targuer d’être devenu un politicien professionnel bien rémunéré, en trahissant les électeurs, voir même son parti et la Constitution, pour monter plus haut. De tels dirigeants et gouvernants ignorent la notion d’allégeance au Souverain. Pourquoi il y a-t-il encore des citoyens suisses qui votent pour ces derniers?

 

Ces dirigeants politiques ignorent tout de l’histoire. Pourtant pour aimer son pays, il faut ressentir qu’il a un passé, une culture, une identité nationale. une politique indépendante, ses frontières, ses juges et qu’il ne se soumet pas aux lois d’autrui mais seulement aux lois acceptées par son Souverain.  La démocratie ne peut se concevoir que dans un espace délimité par des frontières et entre des citoyens qui partagent nombre de valeurs, de vertus, de références, d’intérêts matériels et moraux et d’histoire communs. Dans une démocratie, le Souverain, c’est-à-dire le peuple doit demeurer libre de fixer pour lui-même les règles qui le régissent.

 

Ainsi ces élus dirigeants politiques ignorent non seulement l’histoire de la colonisation musulmane mais aussi celle de la colonisation occidentale, adulée par exemple par la gauche internationaliste, au point d’en abuser. C’est cette gauche qui voulait, déjà, apporter aux pays colonisés l’évangile des droits de l’homme et, comme l’a déclaré le grand socialiste français Léon Blum en 1925: "Nous admettons le droit et même le devoir des races supérieures d'attirer à elles celles qui ne sont pas parvenues au même degré de culture et de les appeler aux progrès réalisés grâce aux efforts de la science et de l'industrie... Nous avons trop d'amour pour notre pays pour désavouer l'expansion de la pensée, de la civilisation française ». Pour la gauche de l’époque il s’agissait de les coloniser en allant s’ingérer chez eux, pour la gauche d’aujourd’hui il s’agit de les attirer chez nous pour nous coloniser. Où est le progrès?

 

Pouvons-nous attendre d’être défendus par l’UE et/ou la gauche? L’UE s’oppose à ce que les nations et leurs citoyens pensent, décident, créent et innovent par eux-mêmes et décident de leurs lois. L’UE tue les métiers indépendants, tue le Souverain et la démocratie avec l’immigration africaine et musulmane militante, tue le paysan avec la mondialisation des marchés, l’économie virtuelle et l’exploitation de la nature, tue par spoliation les déposants et la classe moyenne pour sauver les banques en difficultés et endetter l’Etat, tue l’artisan avec les délocalisations d’industries productrices vers les pays avec des coûts et des exigences salariaux plus bas, tue la formation et le know-out avec la désindustrialisation, tue le petit commerçant avec les centres d’achat-palais de la distribution au faible chiffre d’affaire au m2 (payés évidemment par les clients), tue les petites entreprises avec des exigences bureaucratiques et des charges sociales croissantes et compliquées, tue les pêcheurs avec les bateaux de pêcheurs industriels étrangers, etc, etc.

 

Mai 68 fut la naissance du boboïsme et des « useful idiots », c’est-à-dire un amagalme  entre l’idéologie de bourgeois libéraux de droite et l’idéologie de bohèmes libertaires de gauche. Le mondialisme lui a fait suite. Le mondialisme est la nouvelle idéologie qui recycle l’internationalisme de la gauche et l’internationalisme de la droite. Le système mondialiste actuel est une immoralité économique grave et inquiétante parce qu’il dissocie le capital et le travail productif; le capital, trop souvent virtuel comme face de plouck, qui prospère en bourse et pour quelques uns et le travail de tous les autres qui part dans des pays où la main d’oeuvre est meilleure marché et pas chouchoutée, quand ce n’est pas dans les mains d’immigrés économiques. D’une part c’est un appauvrissement généralisé de la classe moyenne et d’autre part les pauvres des pays riches et des pays pauvres enrichissent les riches des pays pauvres et des pays riches.

 

La gauche, elle, a livré les ouvriers et les petits employés à la mondialisation sauvage et prêche pour le multiculturalisme: mémorial UE consacré à la sépulture de l’identité nationale, de la citoyenneté, du patriotisme, de la démocratie et à la défense de l’islam-idéologie; malgré le fait que, vu les barbarismes impératifs contenus dans le coran et les textes « sacrés » de l’islam, l’oxymoron qu’est un islam modéré est absolument impossible. Pourquoi devons-nous croire que l'islam modéré n’existe pas? Tout simplement parce que le coran et d’autres textes rituels est idéologiques musulmans, la suprématie islamique, l’attitude à l’égard des non-musulmans, la guerre contre les non-musulmans ou mécréants, la vengeance musulmane, les représailles musulmanes, les femmes-meubles, les infidèles mécréants chrétiens et juifs et ce qu’est un bon croyant musulman qui doit imiter fidèlement son messager Mahomet ne le permettent pas. Pour détruire notre pays, la gauche détruit nos racines une après l’autre. La gauche est devenue islamo-collabo, islamo-gauchiste, eurolâtre, mondialiste-internationaliste, parfois altermondialiste et ethno-masochiste. Les immigrés militants de repeuplement sont leur nouveau peuple d’électeurs. Les musulmans sont  leur nouveau « Lumpenproletariat » ou prolétaires de tous les pays comme le disait Karl Marx.

 

Dominique Schwander, octobre 2016

5 commentaires

  1. Posté par Médor le

    @meulien le 30 octobre 2016 à 16h16,
    Détrompez-vous les Suisses vous disent « à gras rien ! » parce qu’ils sont soumis aux dures réalités d’une dictature soutenue par les médias, de plus en plus odieuse, qui piétine la Constitution grâce aux promesses d’un Grand Soir promis par l’Europe totalitaire la nouvelle U€RSS. Les dettes imposantes imposées par le socialisme font que les Suisses conscients qu’ils sont « à gras rien » votent de plus en plus pour l’UDC, ce qui semble plus qu’une évidence. Trop de gras volé par le socialisme qui devient une copie conforme des débilités systématiqeuement empruntées à la France de Monsieur 4%, plus connu sous les noms de Pépère, 1er roi fénéant, Flanby, capitaine de pédalo, le pingouin. Il a échappé à etron, parce qu’il a les pieds dedans et que comme le coq, il continue de chanter même si ça pue de plus en plus.

  2. Posté par meulien le

    les suisses sont trop gras!

  3. Posté par aldo le

    Tout ce texte recèle un ensemble de vérités hétéroclites, vérités savamment repoussées et censurées par les médias à la botte. Ce sont les médias qui portent la plus grande responsabilité de toutes les calamités qui s’abattent sur le monde. Comment des journaux comme le Temps peuvent-ils être aux ordres de la « mondiale socialiste » pour débiter des torrents d’inepties exclusivement anti-Trump ? Visiblement les donneurs d’ordres ne sont pas les lecteurs, mais les payeurs qui ne s’embarrassent pas de puiser dans nos poches pour ce faire, avec l’aide des politiques et du racket Billag, qui les soutiennent à coups des annonces officielles inutiles ou de propagandes infantiles pour économiser l’énergie digne, des fiers crétins qui n’en tirent qu’un profit passager. Après toutes les guerres la presse arrange et bidonne l’histoire, trahit les vrais héros et fabrique des résistants de la dernière heure avec des traîtres de la première. Pas de contrepouvoir à la presse, jamais remise en cause, mais noyautée par toute sorte de prédateurs de l’humanité qui cherchent à couvrir leurs anormalités. Tout doit être accompli pour la faire crever. Elle l’expression du crime parfait !

  4. Posté par p. robyn le

    La gauche qui devrait être un modèle d’honnêteté au service des citoyens… aujourd’hui est un modèle de totalitarisme de la pire espèce, 5e colonne, faux jeton, menteuse, insoumise à la Constitution… elle se fout des citoyens en se foutant des résultats des urnes : exsécrable à tous points de vues !

  5. Posté par Sergio le

    @ Dominique Schwander. Oui, votre introduction correspond à la pyramide de Maslow, j’ajouterais qu’il est bien plus tard que vous ne le pensez. Pour résumer, vous décrivez le monde socialiste, la cause unique de la pauvreté dans le monde ainsi que ses acteurs. Des fonctionnaires qui rêvent de gouverner sans devoir consulter les nations ou plus bas encore, le peuple. Pour l’essentiel, je suis d’accord avec vos affirmations.

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