Jean-Jacques Guitard, conseiller municipal de Beausoleil et président du groupe municipal de la Ligue du Sud, interpelle les autorités au sujet de l’immigration de conquête.
"Les couleurs de notre drapeau se ternissent peu à peu. Ce drapeau perd ses belles couleurs un peu plus chaque année. Je crains, Monsieur le Maire, de voir ma France s'éteindre peu à peu."
Avec nos remerciements à Aude.
Chez nous la lorraine à metz allons bientot recevoir 100 migrands de calais…merci au gouvernement et à ces collabo…
si l’état se déclare impuissant..refuse d’agir et avoue ne rien pouvoir faire…c’est le peuple qui prend les choses en main….
La nature a horreur du vide….
Il suffirait de 2% à 3% d’hommes bien décidés en France, où ailleurs, ( pour la France en déduction.les étrangers et tous les musulmans, à proximatif : 1’580000..) pour faire exploser le système et procéder à une révolution de la société française….
C’est tout à fait faisable…..
Je ne doute nullement..que la Suisse reste à la traîne …et l’Allemagne encore moins…
http://lesobservateurs.ch/2016/09/13/zoom-tvlibertes-emmanuel-albach-le-roman-du-grand-rembarquement/
La France rurale se met en mouvement….
12’000 migrants en provenance de Calais…avec ses caïds ses bout-feu…ses trafics…ses impertinences….ses impunités …( même par petits groupes) ne peut que provoquer l’inquiétude de ceux censés les recevoir, sans consultation aucune sinon mis devant le fait accompli…
L’Elysée n’a rien résolu…il empire le problème….Car c’est un puits sans fonds…la Jungle se renouvellera…sans fin… Incapable de prendre des décisions…le gouvernement français actuel est pris au piège…….
« C’est aux Français de prendre désormais en main leur destin » : entièrement d’accord. Lorsque l’État faillit, actionné par des idiots utiles et des traîtres, c’est aux Citoyens de réagir. Même s’ils ne sont que 2 ou 3% : l’Histoire a prouvé que les révolutions n’étaient jamais la fait de majorités, passives par définition, mais de celui de petites minorités actives. L’idée de la « majorité » est celle du Komintern : elle a (Dieu merci !) échoué.