Nous le disons depuis un an, alors qu'il était tout en bas des sondages de la primaire républicaine, voire inexistant, le « milliardaire insolent » Donald Trump est bâti pour gagner cette présidentielle. Il incarne de plus en plus l’homme providentiel pour une Amérique dévastée par six années catastrophiques d’Obama, quelqu'un capable de bousculer complètement les codes d'un système de bienpensant qui nous étouffe tous.
"Jamais un homme n'a été autant attaqué"
Les campagnes de presse contre lui sont sidérantes de violence, d’acharnement, d'unanimité et, souvent, de mensonges contre Trump. Quand le Washington Post met 20 enquêteurs à plein temps pour éplucher la vie de Donald Trump et trouver des dossier à exhumer, leur liberté est clairement remise en cause : qui épluche la vie sûrement beaucoup plus obscure de madame Clinton ?
Qualifié par la presse française de « raciste, nauséabond, misogyne et offensant » (Vanity Fair), ou encore « virulent et agressif » (Le Monde), il constitue à la fois l’antinomie de l’Obamania, et le contrepied de toutes les fausses valeurs « progressistes », « universalistes » et «démocratiques » prônées par la classe politique occidentale (en fait les valeurs déconstructrices et collectivistes).Il rappelle le sens de la frontière et de la souveraineté, tant des USA que des autres pays dans lesquels ces derniers se sont trop souvent ingérés.
Mais, sérieusement, comment les médias peuvent-ils être aussi grossièrement et massivement anti-Trump après avoir été autant Obamalâtres ?
Ils réagissent de manière pavlovienne, et cela Trump l'a très bien compris. On appuie sur tel bouton, ils réagissent de telle manière. Trump évoque le fait qu'il y a trop d'immigrés illégaux, les médias, les stars et même le pape réagissent et, de fait, parlent de lui. Réflexe pavlovien.
Trump est omniprésent dans les médias, certes de manière extrêmement négative, mais omniprésent. Les médias ont fait l'élection d'Obama, ils feront également celle de Trump.
Il tourne en dérision le système
Radicalement anti-système, il traite les politiciens d’ « imbéciles » aux mains liées par les lobbys. Lui a assez d’argent pour avoir ses propres lobbyistes, « des gens super qui travaillent pour moi ». Ce candidat anti-establishment n’est pourtant pas arrivé là où il en est sans mettre les mains dans le camboui politicien avec son compte en banque estimé à plus de 4 milliards de dollars. Mais il ne le cache pas : «Bien sûr que j’ai dû donner de l’argent. Sinon, l’immeuble dans lequel nous sommes pour cette interview ne ferait que 18 étages, pas 68 », affirme-t-il tranquillement sur CNN.
Quelles chances a-t-il dans la course à la présidentielle ?
Ayant gagné par forfait la primaire républicaine, après avoir littéralement éliminé ses concurrents, tous les signaux sont aujourd'hui au mois après mois, des points à la froide démocrate Hillary Clinton, qui n'est pas aimée aux Etats-Unis (sauf par les médias et Hollywood, évidemment).
D'après le dernier sondage CBS News/New York Times, 47% des votants enregistrés soutiendraient Hillary Clinton et 41% Donald Trump. Le sondage de FOX News publié mercredi positionne Trump devant sa rivale démocrate à 45% contre 42%. Ouvrant beaucoup plus son électorat, draguant les électeurs de Sanders qui détestent Clinton, et, surtout, explosant médiatiquement sa rivale, la dymanique est clairement de son côté.
Ceux qui vomissent la campagne « téléréalité » et la politique « shobizness » de Trump ont souvent été les premiers moutons à supporter l’Obamania, qui n’a été, à bien des égards, que le même genre de spectacle, mais celui-ci, tout à fait admis. Au-delà du spectacle, il est certain que l’Amérique a davantage besoin d’un entrepreneur que d’un politicien professionnel ou d’une marionnette pour redresser le pays. L'Amérique - et le monde - a surtout besoin de quelqu'un qui peut remuer ce monde qui est, au fond, si conservateur dans sa transgression.
Vivien Hoch, mai 2016
Je voulais préciser, ce qui est sous-jacent dans mon post précédant du le 19 octobre 2016 à 01h13 et pour être tout a fait dans le sujet : que Trump semble défendre un sursaut de fermeté pragmatique , même si qq outrances médiatiques dans un combat de campagne électorale peut paraître populiste voire replacées, son discours semble être au diapason avec une majorité de citoyens excédés par une politique inadaptée, contre productive, coûteuse qui semble de surcroît mener tout droit vers un chaos annoncé.
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Ce que j’en pense ?
Que le règne du semblant, du virtuel, du cosmétique doit cesser.
Que la classe politique occidentale a besoin d’un coup de pied qq part pour sortir de cette torpeur laxiste et de ce cercle vicieux des bons sentiments, des idéaux virtuels, de cette vertu condescendante du doigt tendu à l’endroit de ceux qui ne se conforment pas à cette doxa, qui nie les réalités sur fond de trouille, de pusillanime, tout en mettant en avant un prétendu progrès, de soi-disant avancées, en fait de pacotille, dénaturant au prétexte d’une fallatieuse vertu, les valeurs et la force du fondement de nos démocraties républicaines.
L’uniformité n’est pas l’égalité
La liberté n’est pas le joug des taxes et le flicage de tous qui cependant laisse passer les voyous leurs armes, leur drogues et leurs differents commerces illicites.
La fraternité n’est pas la distribution inconsidérée des deniers publics.
Le droit d’asile n’est pas l’accueil de n’importe qui, qui ne soit pas persécuté politique dans son pays sans un minimum de sélection. Notamment quand la guerre sévit dans son pays, cela exige que les jeunes défendent leur pays au lieu de foutre le camp, laissant femmes et enfants sous les bombes.
Les droits de l’homme, ce n’est pas tous les droits et surtout sans les devoirs qui vont avec, surtout quand on ne se comporte pas comme un homme.
Nos lois doivent être appliquées quand elle existent et amendées quand il le faut pour s’adapter à l’évolutions des situations et non édicter une loi, à la va vite, chaque fois qu’un délit ou un crime hors norme se commet, pour faire croire que l’on fait qq chose, et garder son fauteuil quand on ne sait pas ce qu’il faut faire d’efficace et honnêtement budgétisé.
Malheureusement, je n’épuiserais pas, ici, le sujet.
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Le soutien de la NRA aujourd’hui :
https://m.youtube.com/watch?v=TlIIF9eiXeo
C’est 4 millions de membres inscrits qui voterons pour lui…
C’est le KING TRUMP ! Et il est anti islam… Muslim tenez vous prêts à reculé et perdre du terrain dès son élection… Ohhhh yeah 🙂
Et là il vient juste d’avoir le soutien de la puissante NRA !!!! Cest des Trump dont l’Europe a besoin et pas des lopettes comme on a chez nous !
Peu habitué à faire des prophéties et trouvant habituellement la politique américaine si ennuyante que je ne m’y intéressais pas, hormis pour constater l’ahurissante stupidité des supporteurs d’Obama, j’ai su que Donald Trump serait élu la première fois que j’ai entendu parler de sa candidature.
Ayant depuis suivi la campagne j’ai pu constater que les supporteurs de Clinton et de Sanders sont tout aussi, sinon encore plus, stupides que ceux d’Obama, et que ma prédiction s’avère de jour en jour plus crédible.
Ce n’est que la crainte d’un effondrement du système économique entre la date de l’élection et la prise de pouvoir par l’administration Trump, réaction prévisible d’une élite financière paniquée par la victoire de celui qui s’annonce comme le Redresseur de Torts tant attendu, qui m’empêche de miser gros sur les sites d’enchères qui le donnent à 3 contre 1.
Au fait Donald Trump, ce n’est pas cet excentrique qui veut mettre fin à l’immigration illégale?
Il semble pourtant que l’amateur de pipe Clinton s’était déjà prononcé à ce sujet! Voici qui va faire glousser nos journaleux s’ils se souviennent de cette info:
http://www.dreuz.info/2016/05/18/enrayer-limmigration-illegale-qui-a-le-discours-le-plus-puissant/