Ce mardi vers 16 h 30, de nombreux coups de feu ont retenti dans la « jungle » de Grande-Synthe. Trois blessés par balle sont à déplorer, ainsi que deux blessés par arme blanche. Un impressionnant dispositif policier a été déployé pour sécuriser les abords du camp du Basroch.
Un témoin qui a crevé une roue boulevard Mendès-France a dû se garer près de l’entrée du camp de migrants du Basroch : « J’ai entendu une vingtaine de coups de feu. On avait l’impression qu’il y avait des tirs de riposte ».
Très vite, les secours ont été alertés qu’une fusillade avait éclaté dans la « jungle » et que des tirs nourris faisaient rage.
Chaque jour nous achemine vers un désordre de plus en plus grand et de plus en plus étendu, en bref, vers la catastrophe.
Notons que parmi les blessés, il y a des hommes et “une femme présentant des blessures a priori sans l’intervention d’une arme.” No comment…
Donc, la preuve est faite que dans au moins une jungle les illégaux détiennent des armes à feu et des armes blanches. Cela ne m’étonne pas du tout. Je dirais même que le contraire m’eût étonné.
Voilà où mènent le laxisme politique et l’ouverture des frontières.