Le ministre de la Justice polonais au commissaire européen chargé des médias : plutôt que de parler de menaces fictives pour la liberté des médias en Pologne, condamnez la censure en Allemagne

post_thumb_default

 

Les commissaires européens n’ont sans doute pas l’habitude de se faire remettre à leur place de la sorte ! Dans une lettre ouverte à l’Allemand Günther Oettinger, le commissaire européen à l’Économie et à la Société numériques qui a déclaré vouloir demander qu’on mette sous surveillance de l’UE la Pologne … Lire la suite...

 

Extrait de: Source et auteur

Suisse shared items on The Old Reader (RSS)

6 commentaires

  1. Posté par JeanDa le

    Merci aux polonais ! La soumission, ils ont déjà donné et jusqu’à récemment (voici a peine une trentaine d’années).
    Alors ça ne leur fait plus envie du tout !
    Collaborer, agir en partenaires, construire ensemble, ils veulent bien car ce sont des gens intelligents.
    Par contre recevoir ordres et menaces de la Komandantur, ils disent NIE DZIĘKUJĘ (non merci).
    BRAWO !

  2. Posté par Elsaesser le

    Si certains allemands sont devenus de vrais toutous bien sages, d’autres comme ce totalitariste de günther oettinger s’imaginent que l’heure du IV Reich a sonné, grâce à sa Führerin merkel issue de l’ancienne DDR, dont le nom est indissociable de la STASI. Aussi, ne pouvons-nous qu’applaudir le ministre de la Justice polonais, Zbigniew Ziobro de l’avoir proprement remis à sa place.
    Tiens, en passant, j’ai lu qu’un ministre allemand évoquait une action coordonnée et planifiée ( par l’état islamique avec la complicité de merkel et des merdias allemands) au sujet des multiples agressions sexuelles commises par les prédateurs arabes. Il lui a fallu 9 jours pour parvenir à cette conclusion !! Lamentable…

  3. Posté par Bussy le

    Je me demande combien de temps il faudra encore avant que les pays de l’est annoncent leur sortie de l’UE et leur rapprochement avec la Russie !
    Pour compenser les pertes, l’UE fera entrer la Turquie……

  4. Posté par Myrisa Jones le

    Bravo M. le Ministre! Ces fonctionnaires doivent être remis à leur place, en attendant ce coup d’état général, qui je l’espère, fera bientôt tomber ceux-ci de leur piédestal bruxellois et enverra le projet européen actuel dans le trou de l’histoire.
    Peut-être ensuite sera-t-il possible de fonder une nouvelle Europe sur le modèle d’une confédération de nations souveraines, comme le rêvait M. Nicolas Hayek:

    Nicolas Hayek: « Mon rêve, faire de l’Europe une grande Suisse »
    Extrait:
    Mon rêve: faire de l’Europe une grande Suisse

    A l’époque, nous rêvions – en tout cas, je rêvais – de voir l’Europe devenir une grande Suisse. Pas tant parce que je croyais que la Suisse était le paradis sur terre, mais parce que j’étais convaincu qu’elle représentait – en dépit de nombreuses faiblesses – la meilleure de toutes les alternatives possibles permettant d’ouvrir à l’Europe de radieuses perspectives d’avenir, tout en préservant la richesse consi­dérable de sa diversité et de ses cultures. De fait, Jean Monnet et Robert Schumann avaient au départ déclaré: «La Suisse représente un modèle pour l’Europe.» Joschka Fischer, Jacques Chirac, Göran Persson, mais aussi Václav Havel n’ont d’ailleurs cessé de le répéter ces dernières années. Un hasard étonnant qu’aujourd’hui soit justement le trentième anniversaire de la mort de Monnet, ce grand Européen.
    (…)
    L’UE aujourd’hui: une lourde machine, bureaucratique et chaotique

    «Malheureusement, le processus de construction s’est brusquement stoppé. L’UE n’est plus en train de bâtir une communauté forte, démocratique et pacifique, où dans tous les domaines importants de notre vie et de notre société chaque citoyen – ou du moins une majorité d’entre eux – engage son affectivité et accepte de donner de lui-même. A l’époque le nombre d’Etats membres était limité, et ces quelques nations auraient pu édifier un Etat fédéral analogue à la Suisse ou aux Etats-Unis. Cette évolution a été stoppée, car les questions et problèmes qu’elle soulevait n’étaient pas facile à résoudre, impliquant des pays et des hommes politiques qui n’étaient pas prêts à céder une part importante de leur souveraineté et encore moins de leurs privilèges.
    Au lieu de s’attaquer en profondeur aux importants problèmes que constituaient l’évolution de l’Union et les structures à lui donner, on a décidé d’en rester à la sur­face des choses, tout en intégrant un maximum de pays … et ceci sans demander aux peuples des pays qui avaient créé l’Union s’ils étaient ou non d’accord. De toute évidence l’establishment politique était avant tout préoccupé de faire entrer les gens par dizaines de millions et des pays en grand nombre dans une Europe qui – sauf sur quelques points politiques – restait en­core à définir. Ce qui motivait ces pays était avant tout les avantages économiques et financiers qu’ils espéraient. Un tel élargissement aurait été mieux que bien­venu si l’on avait auparavant mis en place les structures d’une Europe plus ou moins fédérale. C’est à ce moment que se brisèrent mes espoirs de voir dans un futur proche une Europe forte, puissante, démocratique et pacifique – une Eu­rope qui contribuerait à améliorer la qualité de vie pour le monde entier, pour nous tous.”
    (…)
    http://arretsurinfo.ch/nicolas-hayek-mon-reve-faire-de-leurope-une-grande-suisse/

  5. Posté par Jean Ducas le

    Pourquoi, cela vous a déjà fait envie de passer des vacances en Allemagne? Moi pas.

  6. Posté par aline le

    Je passerai mes prochaines vacances en Pologne, l’Allemagne ne me fait plus envie.

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.