Non, je ne suis pas climato-sceptique

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Il est dangereux de se faire traiter de climato-sceptique, cela semble être devenu une pathologie à ajouter à la liste officielle des troubles mentaux, ou alors une attitude plus dangereuse que tous les terrorismes réunis. Il faut désormais considérer toute atteinte potentielle au mal-être des générations futures comme un crime contre l’humanité qui mérite, par anticipation, toutes les rigueurs de la loi.

J’ai de la sympathie pour ces connards de climato-sceptiques, car ils en prennent pour leur grade, stoïquement ; et comble de l’esprit de sacrifice ils persistent à ne pas s’aligner au dogme anthropo-réchauffiste ou à celui, plus récent, du dérèglement du climat par ce salaud d’Homo sapiens, espèce digne de ne jamais avoir vu le jour sur terre tant elle ne la respecte pas.

J’ai d’ailleurs en général de la sympathie pour tous les sceptiques car ils allient la prudence à la curiosité, et par leurs questions permettent d’approfondir la compréhension des phénomènes tout en s’abstenant d’asséner des vérités. Le contraire du scepticisme est la crédulité que je laisse aux innocents, aux religions et aux fanatiques de tous bords.

Pourtant en matière de climat je ne suis pas sceptique.

Je sais ce que je sais et je mesure aussi ce que je ne sais pas. Par exemple qu’il n’y a pas de raison de douter que le climat change et qu’un réchauffement global a eu lieu au cours des deux derniers siècles même si les satellites ne décèlent aucun changement significatif depuis 15-20 ans. Aussi je ne réfute pas que les gaz dits à effet de serre sont à l’origine d’un forçage radiatif qui fait que la température de l’atmosphère monte si leur concentration augmente. Non plus je ne mets pas en doute que les effets du climat puissent présenter des problèmes à certaines populations. En cela je ne me distingue pas de l’écrasante majorité des gens qui ont réfléchi sur la question.

Et pourtant je ne gobe à peu près rien de ce qui nous est raconté à longueur de communiqués et d’injonctions à sauver la planète.

Je n’admets pas que par un mystérieux mécanisme le forçage radiatif soit amplifié pour nous prédire, à l’aide de modèles invalides, des accumulations de catastrophes. Je n’admets pas que, quasi exclusivement, toutes les variations du climat soient maintenant attribuées aux activités humaines. Pourquoi déjà avant l’ère industrielle, sans source artificielle de gaz dits à effet de serre, le climat aurait-il changé, les niveaux des mers montés, les glaciers fondus ? Et les phénomènes naturels bon sang ? ne jouent-ils par un rôle primordial, même si l’on n’est pas capable de les quantifier ? L’activité solaire, la géométrie orbitale, les interactions entre particules, rayonnement et champ magnétique pour former les nuages : c’est là que se trouvent les paramètres de changement, alors que le rôle de l’industrie humaine, que je ne réfute pas, reste d’une dimension modeste, bien inférieure aux exagérations systématiques du GIEC1.

Je ne reconnais pas de fondement scientifique dans ces prophéties, j’y vois des spéculations inspirées par divers motifs dont surtout celui de la prise du pouvoir dans un monde savamment désorienté.

Les mesures proposées exigées sont d’une rigueur extrême : réduire drastiquement la consommation d’énergie, donc freiner ou stopper tout développement, pourtant si nécessaire et urgent tant dans les pays pauvres que dans les sociétés plus affluentes. Rien ne doit s’opposer à ces injonctions, rien n’a plus de valeur que la stabilisation du climat ; c’est absurde, futile et méchant. Apprenant à vivre avec leurs contradictions, les apôtres et les inquisiteurs parcourent le monde et communiquent en utilisant les toutes dernières technologies, si polluantes à leurs yeux ; alors ils s’achètent des indulgences sous forme de certificat carbone ou taxes de compensation. On a tous les droits quand on a raison.

Refus de l’autorité auto-nommée en la matière, interprétations différente des faits, refus des prophéties, refus des hochets donnant bonne conscience, refus des subventions corruptrices, rejet de la tentative doctrinale absolutiste : cela n’est pas du scepticisme ni du négationnisme. Je suis simplement un climato-hérétique, et j’appelle tous les gens raisonnables à le devenir.

Et j’exige qu’en cas de condamnation au bûcher on utilise du bois certifié bio pour qu’en ce dernier moment je ne puisse pas être accusé d’irresponsabilité écologiste.

Michel de Rougemont, 8 octobre 2015.

 

1 ) Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC). Ce groupe n’est pas une société scientifique débattant des dernières découvertes. Ces experts sont en mission et tout dissident est promptement écarté. On peut le comparer à la Congrégation pour la doctrine de la foi de l’église catholique : même type de mandat, même prétention d’expertise, même irréfutabilité.

7 commentaires

  1. Posté par Favre le

    Que nous ont-t-ils concocté? ?
    Pour comprendre l’origine du problème il faut remonter à l’après-guerre, entre 1945 et les années 80: Le monde était alors divisé en 2 blocs : URSS et « Monde libre » dominé par les USA. Chacun utilisait l’équilibre de la terreur nucléaire et de vastes campagnes de propagande anticommuniste dans un camp, anticapitaliste dans l’autre. Les peuples colonisés du tiers monde luttaient pour leur indépendance et leurs chefs utilisaient parfois cette division en 2 blocs, en marchandant pour obtenir des avantages de l’une ou de l’autre des 2 superpuissances.
    Mais concentrons-nous sur le camp sorti victorieux de la guerre froide. Celui qui gère le monde actuel.
    En dehors des USA, les exactions commises par cette superpuissance au nom de la « Liberté » : – Assassinats de responsables politiques, (Mossadeg en Iran, Lumumba au Congo, Le Che en Bolivie) – guerres, comme celles du Vietnam-Cambodge-Laos qui fit plus de 2 millions de morts) – coups d’états (Lon Nol au Cambodge, Pinochet au Chili, Carlos Castillo Armas au Guatemala.) – soutient à des dictatures (Brésil. Argentine, Philippines etc) – développement de guerres civiles (Guatemala- Nicaragua) – stratégie de la terreur : (manipulation de mouvements terroristes d’extrême droite ou d’extrême gauche en Europe ex: Bombes à la gare de Bologne et devant la banque de l’agriculture de Milan en Italie), financement de mercenaires (Contra au Nicaragua) favorisèrent la montée des mouvements pacifistes, tiers-mondiste et anti-impérialistes de gauche.
    Dans le monde occidental, la propagande anticommuniste faisait de moins en moins recette….
    C’est dans ce contexte qu’en 1967 un rapport commandé par le Département d’Etat et Robert Mc Namara disait à peu près ceci (1)
    « L’équilibre de la terreur nucléaire, la menace de la guerre ne peuvent plus exercer, à l’échelle planétaire, leurs fonctions sociales. Il faut donc trouver un substitut et une menace environnementale mondiale qui, par son caractère global, appelant des normes mondiales transcendant les souverainetés nationales peut jouer le même rôle »
    En parallèle, l’idée va prendre corps dans les cercles très fermés que sont la Commission trilatérale (2), créée en 1973 par David Rockfeller et Zbigniew Brezinsky (3) et, encore plus fermé, le Groupe Bilderberg fondé en 1954 le Prince Bernhard des Pays Bas, Maurice Strong (4) et R. Mc Namara ont été membre de ces deux organisations. Ces forums d’échange sur des questions d’actualité et de prospective entre puissants permettent et favorisent une mise en réseau des idées. Le rapport de la Trilatérale (Beyond Interdependance) est alors plus explicite (5):
    « La crainte d’un conflit nucléaire qui a exercé une pression psychologique considérable (…) est en train de s’estomper. Mais certaines menaces environnementales pourraient exercer la même pression dans l’esprit des peuples ».
    En Grande Bretagne, c’est dans un contexte marqué par une crise à la fois économique et sociale que Margaret Thatcher mène les conservateurs à la victoire en mai 1979. C’est-à-dire en pleine crise pétrolière résultant de la guerre Iran-Irak. Sa politique économique ultralibérale provoque des réactions de résistance très fortes au sein du mouvement ouvrier. Le conflit le plus significatif entre le nouveau pouvoir et les syndicats est la longue grève des mineurs de 1984-85. Le charbon était une des principales sources d’énergie des centrales électriques du Royaume Uni et Margaret Thatcher voulait développer le nucléaire afin d’être moins dépendante de celle-ci et de se débarrasser du problème des grèves des mineurs de charbon.
    C’est à ce moment-là qu’elle prit rendez-vous avec les climatologues du Royaume Uni à la Royal Society, leur disant à peu près ceci (selon le Secrétaire d’État à l’Energie de l’époque (5): « Si vous réussissez à démontrer que les émissions anthropiques de CO2 vont changer le climat il y aura de l’argent à la clé ».
    Les climatologues de l’université d’East Anglia ne se sont pas fait prier deux fois. Il devinrent rapidement les principaux défenseurs des théories anthropiques sur le réchauffement climatique et une des principales sources du GIEC (données du HadCrut), avec la NASA, qui, après la catastrophe de la navette spatiale en 1986, et les menace de coupures budgétaires, vit immédiatement l’intérêt financier de la chose (données du GISS) C’est ainsi que Reagan et Thatcher, chefs de file du néolibéralisme, vont se muer en alliés des écologistes.
    A la fin des années 80, l’URSS était en train de s’effondrer, la peur du rouge ne pouvait plus faire recette. Il fallait trouver rapidement autre chose. C’est le rapport Brundtland, rédigé cette année là à l’initiative de la Commission pour l’environnement et le développement, qui va inspirer le G7 de Toronto, en 1988. Prenant acte des « alarmes climatiques », les sept grands décident alors de créer le GIEC. Thatcher et Reagan furent les fers de lance du projet. A cette date, nous sortions tous juste de 30 ans de baisse des température (1941-1975), les « 30 Glorieuses », en pleine croissance de production de CO2 anthropique… mais cela importait peu.
    – Ses membres ne sont pas élus ou désignés par la communauté scientifique mais nommés par les gouvernements.

    – Son but, fixé par les gouvernements, n’est pas d’étudier si oui ou non il y a réchauffement climatique et, dans ce cas, si l’homme y contribue et dans quelle proportion. Le réchauffement et la responsabilité de l’homme sont admis à priori:

    « Le GIEC a pour mission d’évaluer […] les informations d’ordre scientifique, technique et socio-économique qui nous sont nécessaires pour mieux comprendre les risques liés au changement climatique d’origine humaine, cerner plus précisément les conséquences possibles de ce changement et envisager d’éventuelles stratégies d’adaptation et d’atténuation ».

    Le moins que l’on puisse dire est que la méthode « scientifique » est curieuse et que l’indépendance de ses membres peut donner lieu à interrogation….

    1 Report from the Iron Mountain on the Possibility and Desirability of Peace, The Dial Press, Inc., New York, 1967. Library of Congress Catalog card Number 67-27553.
    2 La Commission Trilatérale est une organisation privée qui fut créée en 1973 à l’initiative des principaux dirigeants du groupe Bilderberg et du Council on Foreign Relations, parmi lesquels David Rockefeller, Henry Kissinger et Zbigniew Brzezinski. Regroupant 300 à 400 personnalités parmi les plus influentes – hommes d’affaires, hommes politiques, décideurs – de l’Europe occidentale, de l’Amérique du Nord et de l’Asie du Pacifique (États alliés des USA). Son but est de promouvoir et construire une coopération politique et économique entre ces trois zones clés du monde. À l’instar du groupe Bilderberg, il s’agit d’un groupe partisan de la doctrine mondialiste, auquel on peut attribuer, au moins en partie, l’orchestration de la mondialisation économique.
    3 Conseiller à la sécurité nationale du président des États-Unis Jimmy Carter de 1977 à 1981.
    4 a) Le Prince Bernard fut le cofondateur de la première organisation de « protection de la nature », l’UIPN, devenu en 1956, l’UICN et, en 1961, le WWF. La carrière de ce dernier s’arrêta lorsqu’il fut pris la main dans le sac pour une grosses affaires de corruption concernant la vente d’avions militaires Lockheed aux Pays-Bas (1 million de $).
    b) Maurice Strong, milliardaire, financier canadien, ex-dirigeant de Pétro-Canada, ancien vice-président du WWF et ancien conseiller du Secrétaire général de l’ONU. Malthusien et antinataliste convaincu, il est l’un des membres fondateurs du GIEC. Sa carrière s’arrêta pour lui aussi, lorsqu’il fut pris la main dans le sac dans une grosse affaire de corruption (chèque reçu de 988’885 $) liée à une rupture de l’embargo ONUSIEN (programme pétrole contre nourriture) en faveur de Saddam Hussein.
    5 Une version publique de ce rapport a été publiée en librairie : Jim MacNeill , Pieter Winsemius , Taizo Yakushiji .Beyond Interdependence: The Meshing of the World’s Economy and the Earth’s Economy, Oxford University Press Inc, 1992.
    6 Lord Lawson of Blaby (Chancelier de l’échiquier de 1983 à 1989, Secrétaire d’État à l’Énergie de Mme Thatcher)

  2. Posté par Marie-France Oberson le

    @ basilic « comment expliquez-vous que les géologues n’ont jusqu’à présent trouvé aucune trace d’un changement climatique d’une rapidité aussi fulgurante et brutale dans toute l’histoire de la Terre ? »
    ……….
    « Tout au long de la vie terrestre, le climat n’a fait que changer. Les calottes glaciaires, les forages montrent depuis 800 000 ans une alternance de période chaudes et de périodes froides.(…) Lors de la dernière glaciation, les variations maritimes et glaciaires furent très brutales. En moins de cent ans, le Canada et le nord de l’Europe furent recouverts d’une immense calotte glaciaire. C’était il y a 20 000 ans. Plus tard, il y a 11 000 ans, l’Atlantique nord s’est brusquement réchauffé et tout est rentré dans l’ordre. (…)Entre l’an 900 et 1300″l’optimum médiéval » a fait suffoquer la France avec des évènements climatiques extravagants. ce réchauffement émaillé d’hivers terribles en 1076 et 1077, a eu lieu sur toute la planète »
    (…) » Quelques acharnés, voire récalcitrants comme Marcel Leroux, professeur de climatologie ancien directeur au CNRS, affirment que l’effet de serre est dû non au CO2 mais à la vapeur d’eau qui représente 60% des gaz constituant l’enveloppe atmosphérique ,et que les activités humaines agissent sur l’effet de serre d’une manière insignifiante, Haroun Tazieff avait été le premier à douter…A l’opposé, le CIEC et ses experts nous engagent à changer de mode de vie .(…) Si je m’insurge contre une culpabilité subie au quotidien, c’est parce que nous entrons dans une société d’assistés et que nous allons le payer au prix d’une liberté entravée(…) Bref, l’écologie est entrés dans les rédactions, dans nos vies et elle s’est mise à organiser notre façon de penser « (Laurent Cabrol « Et si la Terre s’en sortait toute seule ? » Edition Le Cherche Midi)

  3. Posté par basilic le

    Puisque, selon vous, les activités humaines ne sont pas responsables, comment expliquez-vous que les géologues n’ont jusqu’à présent trouvé aucune trace d’un changement climatique d’une rapidité aussi fulgurante et brutale dans toute l’histoire de la Terre ?

  4. Posté par Vautrin le

    erratum : ce n’est pas une « très très longue fréquence » mais une « très très BASSE fréquence ». Excusez-moi.

  5. Posté par Vautrin le

    Tout dépend de l’acception de l’expression « climato-sceptique ». Cela peut être un doute porté sur l’existence d’un réchauffement global. Soit : il n’y a pas assez de recul temporel pour en juger; en revanche, la paléo-climatologie montre que la Terre se réchauffe périodiquement (la période étant voisine de 11 000 ans), ce qui semble correspondre à la période de précession de l’axe de rotation planétaire. Donc on peut accepter l’hypothèse d’un réchauffement/refroidissement cyclique, un signal périodique de très, très longue fréquence. Mais un phénomène naturel, indubitablement.
    Seconde acception : nous avons affaire à un système hétérogène, qui peut avoir plusieurs causes agissant sur son évolution, et qui peut prendre un régime chaotique parfois. On évoque par exemple l’activité solaire. Dans ce cas, il n’y a pas de véritable prédiction possible. Ce qui expliquerait l’énorme divergence entre les observations (température) faites en surface, en atmosphère moyenne, et par satellites, et les courbes de simulation informatiques (crosse de hockey de la courbe de Mann, par exemple).
    Troisième acception : le réchauffement, s’il existe, n’est influencé par l’activité humaine que de manière insignifiante. On observe, par exemple, une fixation du dioxyde de carbone encore inexpliquée, qui « recycle » les émanations (on parle parfois de « puits de carbone »).
    C’est cette troisième acception qui fait problème : les écologistes et probablement des magnats de l’industrie profitant de l’aubaine, tiennent dur comme fer, en dépit des résultats de l’observation, à fustiger l’humanité, à promouvoir pour les uns un anti-développement (alors que la planète est surpeuplée !), pour les autres des mesures anti-pollution leur permettant d vendre des appareils coûteux … et inutiles. Ceux-là montrent à l’évidence que l’hypothèse de l’origine anthropique du réchauffement relève de la politique et non de la science. Ils légitiment donc l’existence de la troisième catégorie de « climato-sceptiques », qui sont en même temps leurs opposants politiques (ceux que la stupide NKM, à bout d’arguments politiques et ignorante de la science traite de « connards » [http://www.subito-invenio.org/wordpress/?p=3077]). Les scénari abracadabrants imaginés par les tenants de l’hypothèse de l’origine anthropique sont tellement stupides et propres à susciter la panique dans les populations pour mieux les spolier, qu’ils justifient pleinement le « climato-scepticisme » politique. Nous aurons sans doute à en reparler à l’occasion de la publication de tas de billevesées mensongères lors de la conférence de Paris.
    Ma propre position est tierce : oui, il peut y avoir un réchauffement climatique, mais il est naturel, oui, le « climat » est un système hérétogène qui peut prendre parfois un régime chaotique, et non, s’il y a réchauffement, il n’est pas d’origine anthropique.
    Concernant la second acception, pour finir, je pense que « le climat » n’est pas un objet scientifique, dans la mesure où, s’il ne peut y avoir qu’une seule science d’un même objet, ici trop de sciences concourent à traquer un objet hétérogène qui ne cesse de leur échapper.
    Conclusion : je suis trois fois « climato-sceptique » et entends bien combattre les « climato-escrocs ».

  6. Posté par heidi le

    Je suis du même avis. L’activité humaine ne peut pas faire changer le climat. De toute manière, il y a eu une ère glaciale, puis réchauffement etc, c’est la nature de la terre tout simplement. On ne pourra rien changer, mais par contre, nous devons nous adapter à ces changements que nous ne pouvons influencer.

  7. Posté par conrad.hausmann le

    Pourtant il y a beaucoup de scientifiques qui sont « climato-sceptiques ».Mais ne revenons pas là dessus, par contre la conférence de Paris va permettre de « voler » des sommes par milliards dans les pays du nord, pour distribuer ce fric aux pays du sud (Asie et Afrique…).L’argent pris aux petits reviendra dans les banques au nom de dictateurs ou de sociétés montées pour l’occasion.Echange de CO2 etc, la finance internationale jubile.

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