Homosexuels et Don du sang. Mère Ubu invente une nouvelle loi socialiste « contre la santé »

Thierry-Ferjeux MICHAUD-NERARD
Médecin, Pédopsychiatre

Encore et toujours dans le déni de réalité et du bon sens, l'idéologie socialiste faussée de la pseudo-science des députés socialistes soutient la lutte droit-de-l'hommiste contre toutes les formes de discrimination.

On sait que les homosexuels n'ont pas le droit de donner leur sang en France depuis 1983, en raison d'un "risque accru de contamination par le virus du sida". Les députés socialistes votent contre la réalité de la "nécessaire prévention du sida", en refusant le principe de l'exclusion des homosexuels du don du sang.

L'amendement du député UDI, Arnaud Richard, a reçu un avis favorable de Mère Ubu, qui a détaillé la position du gouvernement ainsi : "[Il s'agit de] lever les discriminations relatives à l'orientation sexuelle, et de leur substituer un critère de comportement sexuel s'appliquant à l'ensemble des donneurs potentiels".

Comment comprendre ce que peut signifier : "substituer un critère de comportement homosexuel pour lever les discriminations homosexuelles" ? Mère Ubu "a annoncé avoir reçu "les préconisations" d'experts du Comité consultatif national d'éthique (CCNE) sur les risques. Le CCNE a estimé que l'exclusion permanente des homosexuels du don du sang devait être maintenue"… rapporte Le Monde.

Déformer la réalité, déconstruire et divertir, ce sont les missions assignées aux députés socialistes. Et tout cela n'a aucun sens sur l'avenir de la santé en France. Les vrais problèmes de santé publique ne relèvent pas de l'idéologie droit-de-l'hommiste. La nouvelle conception du pouvoir socialiste est purement idéologique.

Le jeu de la mobilisation socialiste de l'idéologie égalitariste de Mère Ubu est de prôner l'asile illimité.

La colère des médecins, qui se limitent à mettre en avant des faits, est inutile face à l'idéologie droit-de-l'hommiste. Cette loi droit-de-l'hommiste anti-discrimination de Mère Ubu est absurde, contre-productive et dangereuse ! La signification de la folie des lois socialistes invente le "déni de la prévention" par une nouvelle loi droit-de-l'hommiste anti-discrimination. Bientôt, une loi socialiste autorisera les aveugles à être des pilotes de ligne et les pédophiles à être des éducateurs de proximité. Autant d'objectifs que Mère Ubu devra tenir.

Car la question de la non-discrimination des métiers à risques pour la santé est devenue centrale. Le sida, consommé par voie de transfusion sanguine, est une manière de prôner "l'égalité du sida pour tous".

C'est sûrement une grande et belle chose que de penser une nouvelle loi droit-de-l'hommiste "anti-discrimination", pour trouver un public prédisposé à accepter une loi de rattrapage de "l'égalité pour tous".

Actrice privilégiée de ce Theatrum politicum, Mère Ubu met en scène la folie droit-de-l'hommiste qui repose sur l'absence de preuve de l'innocuité de la transfusion sanguine par des homosexuels pratiquants.

Cet amendement, qui va contre toutes les règles de la "prévention-sécurité sanitaire" va justifier le refus des usagers de la "santé socialiste contaminée" de devoir "subir les risques de la transfusion sanguine".

De plus, cet amendement socialiste va raréfier, en toute logique, les autres donneurs de sang, qui savent qu'ils vont ainsi participer aux "risques de contamination", du fait que leur sang sera mélangé au sang des homosexuels. Les matins gris de l'intolérance, et du refus du réel, de Mère Ubu inventent le "supplice de la vérité", en ce qui concerne les vraies question en matière de "prévention-sécurité sanitaire".

L'idéologie droit-de-l'hommiste de Mère Ubu invente la "nouvelle religion socialiste" de la prévention-santé, appelée mensonge, propagande homosexuelle et déni de réalité.

Yohan Blavignat écrit dans Le Monde : saisi par la ministre de la santé, sur l'autorisation du don du sang par des homosexuels, le Comité consultatif national d'éthique préconise de maintenir l'interdiction : "Lever la contre-indication pourrait entraîner une augmentation du risque de transmission du VIH pour le receveur", explique Jean-Claude Ameisen, président du comité "qui a rendu son avis à la quasi-unanimité".

C'est sûrement "l'esprit d'une loi socialiste sans esprit" qui domine un monde socialiste sans esprit.

Mère Ubu est une Mère très aimante, qui a créé le délit d'incitation à l'anorexie, dans l'esprit du délit de racolage. La loi de Mère Ubu crée un nouveau délit : "le fait de provoquer une personne à rechercher une maigreur excessive en encourageant des restrictions alimentaires prolongées ayant pour effet de l'exposer à un danger de mort ou de compromettre directement sa santé". La loi de Mère Ubu ignore que c'est l'obésité qui a pour effet d'exposer les populations à un danger de mort ou de compromettre directement la santé.

Mère Ubu ne veut pas légiférer, pour protéger les populations les plus pauvres, des délits d'incitation à l'obésité des industries agro-alimentaires, qui détruisent délibérément la santé de nos enfants. Le lobby de la mal-bouffe a encore de beaux jours devant lui. Mère Ubu est une idéologue de la "déraison d'État".

La "bureaucratie socialiste sans esprit" exprime le néant irresponsable de "la pensée de personne".

Désormais, la loi de l'insécurité sanitaire droit-de-l'hommiste de Mère Ubu est au-dessus des lois de la réalité et de la prévention en matière de politique de santé désidéologisée.

La signification de la folie des lois socialistes de Mère Ubu en matière de santé confine à l'horreur incomparable des lois Taubira et à l'horreur de la grisâtre normalité du président normal. C'est pourquoi Mère Ubu invente la politique droit-de-l'hommiste totalitaire, contre la "politique de sécurité sanitaire".

L'évolution de la notion de comportement dangereux, selon les lois socialistes, se retourne contre la vie des gens normaux. Il est devenu anormal d'être normal, selon les lois socialistes totalitaires de Mère Ubu.

La police politique de la pensée est mise en perspective par les lois totalitaires de Mère Ubu.

L'absence d'objectifs à long terme des lois opportunistes de la "politique sanitaire totalitaire" de Mère Ubu est un signe de faiblesse. C'est pourquoi Mère Ubu nous promet les bienfaits socialistes de l'asile illimité "pour tous", avant que ne se lèvent les nouveaux chefs mythiques de la révolte contre la tyrannie idéologique de l'État-PS. C'est aussi la révolte nécessaire contre la tyrannie de la propagande homosexuelle, bi-, trans-, du lobby GOF-LGBT, qui veut mettre fin à la logique du bon sens dans les lois de la république.

Ayant pris conscience de cette volonté de destruction socialiste de la logique du bon sens dans les lois de la république, le peuple est contraint de se révolter contre l'inhumanité de l'État-PS !

Pour toutes ces raisons, les classes moyennes peuvent et doivent s'affranchir "par elles-mêmes et en conscience" de cette tyrannie de la propagande socialo-populiste égalitariste du déclin pour tous de l'État-PS.

Dr Thierry-Ferjeux MICHAUD-NÉRARD, 4 avril 2015

4 commentaires

  1. Posté par patrick le

    Eh oui détruire la famille, banaliser l’homosexualité, affaiblir la République, détruire le prestige de la France, détruire son indépendance militaire, semble le seul but de ce gouvernement de fantoches et pantins.

  2. Posté par JeanDa le

    La seule issue consiste à NE PLUS VOTER SSOCIALISTE NI ELIRE DE SSOCIALAUDS !
    Boutons-les dehors !

  3. Posté par Coquecigrue le

    J’imagine que cette « directive » ne provient pas d’une réflexion ni d’arguments scientifiques, mais comme toujours, d’une directive UE-USA ?

  4. Posté par Vautrin le

    Il ne se passe pas un jour sans que cette clique socialiste commette une forfaiture, une vilenie ou un acte tyrannique. Donc cela s’ajoute à une liste qui, déployée, baliserait une route de Dunkerque à Dakar.
    La bien surnommée « mère Ubu », Marissol fille d’un sociologue gauchiste (quelle surprise !) se souvient certainement de l’affaire dite « du sang contaminé » où périrent plusieurs transfusés pour cause d’inoculation du sida. Un jugement inique avait dit : « responsables, mais pas coupables ». En effet : responsables, légalement ils l’étaient, mais ils n’ont pas été punis pour autant. Alors pourquoi se gêner maintenant ? Coupables, ils ne pouvaient l’être, parce que pour éprouver de la culpabilité, il faut être capable d’éthique; or ils sont psychopathes, ces gauchistes.
    Il y a aussi, je crois, un « principe de précaution » qu’un dénommé Chirac a fait inscrire dans la Constitution. On l’invoque lorsqu’il faut -pour des raisons souvent douteuses- bloquer un projet technique ou scientifique, mais jamais quand il s’agit de cet ignoble « human engineering » auquel se livrent les gauchistes de tout poil. Exemple : le mariage pour tous, la GPA autorisée etc… Alors, même s’il est avéré que les homos, par leurs mœurs dissolues, leurs changements fréquents de partenaires, et pour les plus riches le tourisme sexuel, présentent une probabilité de risque plus grande que la population normale, qu’importe, puisqu’il faut les banaliser, voire leur faire des adeptes, et surtout ne pas les stigmatiser. Les déviants sont des gens comme les autres, on vous dit ! Alors le principe de précaution ? Pffffrrrrtttt ! Que périsse la nation plutôt que périsse une idée, comme disait Saint-Injuste.
    Ce n’est pas avec une « alternance » à la Sarko que ces « lois » et règlements seront abrogés. La preuve : l’amendement a été présenté par un député UDI, la formation du marais alliée pour le moment à l’UMP. Quand un député de droite propose une mesure recevant l’aval d’un gouvernement de gauche, on peut être sûr que c’est une idiotie ou une infamie. Les socialistes travaillent pour un avenir bien à eux : décadence, maladie, pauvreté. Mais qui donc a eu l’idée saugrenue d’inventer un « ministère de la santé » dont nous avions autant besoin que les Touareg ont besoin d’un ministère de la Marine ?

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