Naturalisations : la Suisse doit rester très exigeante (suite de l’ EclairageUW du 30.12.2014 )

Uli Windisch
Rédacteur en chef

NDLR. Rediffusion à l’occasion de la discussion au Parlement fédéral sur la naturalisation facilitée des enfants de la troisième génération ce mercredi 11 mars 2015. En rappelant que la naturalisation doit résulter d’une volonté clairement manifestée de s’identifier réellement et profondément à notre pays, qui donne beaucoup de droits très enviés dans bien d’autres pays, et d’incorporer nos valeurs fondamentales, valeurs qui sont en contradiction totale avec par exemple le renfermement dans une logique communautaire de par leur exigence d’une citoyenneté active et participative.
Le laxisme et la naïveté qui ont eu tendance à s’installer en la matière ne peuvent plus avoir court à la suite du retournement complet qui peut aller maintenant jusqu’à refus actif de nos valeurs, voire à leur contestation ou même à la volonté de les détruire par la violence. Même s’il ne s’agit là encore que d’un phénomène minoritaire dans notre pays, contrairement à d’autres pays.

 

En premier lieu, il faut souligner que l’acquisition de la nationalité est un symbole et  un concentré matérialisé de l’identité nationale, du patriotisme et de l’attachement à la patrie. Depuis plusieurs dizaines d’années maintenant l’identité nationale et la naturalisation font l’objet de débats, de dissensions, de polémiques, et sont créatrices de camps totalement opposés, manichéens.

D’un côté, il y a ceux qui attachent une grande importance à la nationalité et qui estiment que la naturalisation doit se mériter, qu’elle a une grande valeur, qu’elle doit répondre à de nombreux critères et qu’elle ne doit en aucun cas être accordée trop facilement.

A l’opposé, il y a ceux  qui veulent constamment faciliter cette naturalisation en étant de moins en moins exigeants et qui lui attachent une importance toute relative. Ce processus de facilitation et de relativisation de l’acquisition de la nationalité est en cours depuis plusieurs décennies.

La naturalisation pouvait coûter très cher il y a peu encore et faisait l’objet d’analyses minutieuses, voire pointilleuses. Ces analyses ont même fait l’objet d’un film célèbre : Les Faiseurs de Suisses ( Die  Schweizermacher).

On rit de plus en plus facilement de ce processus de la naturalisation ; certains, surtout à gauche, ridiculisent aussi ceux qui y attachent malgré tout encore une importance certaine. Sous l’effet de ce courant de critiques, moqueries et dénigrements, le processus de facilitation est peu à peu entré dans les esprits et a obtenu quelques résultats, cela bien sûr avec l’appui plus général des nombreux esprits et intellectuels critiques de la Suisse qui font depuis de nombreuses années dans l’antisuissisme primaire, et un large appui de la part des médias, eux aussi massivement de gauche et submergés par le politiquement correct. Il suffit qu’une naturalisation soit refusée, pour des raisons compréhensibles ou non, pour que les médias en fassent des événements et trouvent là une occasion rituelle de moqueries. Nous avons déjà rédigé plusieurs articles à propos de cette mode du dénigrement de la Suisse en général et de la naturalisation en particulier. Il faut vraiment prendre connaissance de certains de ces propos pour réaliser la profondeur et la généralité de ces moqueries, de cette autoflagellation qui n’a de cesse, pour se rendre compte qu’il ne s’agit nullement d’exceptions et de propos de quelques rares esprits égarés, agités, voire perturbés.

Encore plus surprenant, souvent ce sont des jeunes étrangers naturalisés qui ont réussi à faire des carrières très intéressantes et prestigieuses en Suisse, qu’ils n’auraient jamais pu obtenir dans leur pays d’origine, qui, une fois naturalisés, militent à gauche pour le socialisme, voire  le communisme. Ils occupent même des fonctions politiques importantes et deviennent parmi les plus critiques de la Suisse et s’activent pour obtenir des facilitations supplémentaires pour la naturalisation. Un tel phénomène ne s’explique pas aisément mais surprend tout de même, et révulse bien des citoyens ordinaires.

Nous n’allons pas reprendre les exemples de ce type déjà cités, si ce n’est un seul pour montrer que le fait de profiter complètement et très avantageusement des atouts du nouveau pays n’empêche pas ce criticisme pavlovien que d’aucuns qualifieraient de maladif. Ainsi, le Chilien d’origine Antonio Hodgers,  qui a eu la vie sauve grâce à la Suisse,  est même devenu membre du gouvernement genevois. Cela ne l’a pas empêché de déclarer au Parlement suisse qui discutait précisément  de la politique de naturalisation : « Le corps politique, à l’image du corps économique, a besoin de ce sang frais », sang frais fait d’étrangers à naturaliser évidemment, vite et facilement. On remarquera que de tels propos ne sont pas très éloignés de la thèse du Remplacement de population défendue par certains auteurs qui affirment que l’immigration de masse que subissent certains pays occidentaux va finir par un remplacement des  populations nationales par ces populations  immigrées et par une désintégration généralisée puisqu’il semble difficile d’intégrer des populations immigrées aussi massives et qui en plus ont des systèmes de valeurs de plus en plus différents, voire incompatibles avec le nôtre. De plus en plus nombreux sont en effet les immigrés qui ne manifestent même plus un désir d’intégration, et veulent poursuivre avec leur propre système de valeurs et créer par conséquent des communautés séparées à l’intérieur de la communauté nationale. L’étape suivante de ce refus d’intégration étant la volonté d’imposer carrément  leur propre système de valeurs de manière plus large au pays d’accueil. D’où les prévisions de nouveaux et graves conflits intercommunautaires, voire de guerres civiles, de la part des auteurs les plus pessimistes, et qui n’ont peut-être pas tout tort.

Des aspects précurseurs de cette vision pessimiste sont d’ailleurs déjà en train de se profiler. Pensons au cas des USA où le président Obama veut régulariser 5 à 6 millions ( on parle bien de millions) de clandestins. Ce qui signifie qu’une fois régularisés ces millions de personnes pourront très facilement et très vite devenir des nationaux en vertu du droit du sol, de même bien sûr que leurs enfants. Au-delà des problèmes d’intégration, de telles mesures de facilitation ont bien sûr des visées politiques, idéologiques et électorales, soit le calcul que ces nouveaux citoyens voteront massivement dans le sens du parti politique du président qui a permis que des clandestins soient non seulement régularisés mais deviennent en plus des nationaux.

Un même phénomène est en cours en France et depuis peu en Italie ; en France, également pour des raisons politiques et électorales, les socialistes veulent donner le droit de vote aux immigrés et en Italie le pouvoir actuel veut régulariser les clandestins arrivés même très  récemment  et  instaurer le droit du sol à la place du droit du sang, et donc faciliter des  naturalisations rapides, même pour des personnes guère intégrées.

De tels projets purement politiques et opportunistes peuvent s’avérer d’une grande irresponsabilité et engendrer des conflits que leurs auteurs ne semblent même pas entrevoir. Or l’une des fonctions du pouvoir n’est-il pas d’anticiper les problèmes et de chercher à les éviter ?

Nous évoquons ces situations pour montrer à quel point le fait de prendre à la légère, voire de se moquer de la naturalisation, est d’une grave et totale irresponsabilité et que le fait de se complaire pour le moment dans cette attitude stupide entraînera des conflits que certains ont encore de la peine à envisager, aveuglés qu’ils sont par une bien-pensance de gauche dont les effets seront à coup sûr et rapidement dévastateurs.

Il n’est nullement scandaleux de vouloir contrôler l’immigration et de faire en sorte que ces immigrés aux distances culturelles de plus en plus grandes,  ne puissent se constituer en communautés séparées, voire en contre-sociétés conflictuelles. Cela ne signifie pas que ces nouveaux immigrés doivent abandonner complètement leurs particularités culturelles, mais en restant totalement étrangers à la culture et aux valeurs de la société nouvellement pénétrée, ces immigrés seront notamment incapables d’aider leurs enfants à l’école, ce qui va développer un cerce vicieux de non intégration et de marginalisation avec tout ce que cela peut entraîner comme phénomènes destructeurs.

On devrait pouvoir comprendre les raisons pour lesquelles nous affirmons qu’une naturalisation exigeante, même très exigeante, nous l’affirmons sans gêne, est la meilleure garantie pour maintenir une société aussi harmonieuse que possible et offrir un maximum de chances à tout immigré.

Dans les discussions politiques sur les critères de la naturalisation on passe beaucoup de temps à chipoter et à faire des calculs d’épiciers sur chaque critère. Cela aussi est irresponsable. Pense-t-on un instant à l’avenir concret de ces immigrés et surtout à celui de leurs enfants.

Au-delà de la question de la durée nécessaire pour obtenir une naturalisation( 8, 10 ou 12 ans), ce qu’il faut absolument c’est que les immigrés apprennent au plus vite la langue du pays d’accueil, tant orale qu’écrite (on devrait même exiger de telles connaissances avant leur arrivée, comme l’exigent déjà certains pays), qu’ils s’intègrent à tous les domaines de la nouvelle société et surtout ne pas accepter qu’ils perpétuent des valeurs diamétralement opposées aux nôtres et souvent contraires aux droits de l’homme ; pire, qu’ils dénigrent et combattent nos propres valeurs.

La plus grande naïveté et irresponsabilité en matière d’immigration a certainement été le fait de prôner activement, sans limites et de manière inconditionnellement positive et valorisée le multiculturalisme, tout en dénigrant et moquant simultanément tout ceux qui avertissaient des dangers qu’une telle  politique allait engendrer.

Il s’agit bien d’une politique de déconstruction, d’une sorte de néo-nihilisme ignorant totalement ce qu’est constitutivement une société et ce qu’elle suppose pour fonctionner avec un minimum de tensions et de conflits. L’idéalisme naïf, ignorant, dit généreux et ouvert, est en fait hors-sol et entraîne tôt ou tard des effets pervers insoupçonnés.

Ensuite il y a le fait qu’une grande partie des citoyens autochtones sont très attachés à leur pays, à l’identité nationale et à leur patrie. On ne joue pas avec de tels attachements et encore moins en les moquant et en les dénigrant constamment et rituellement.

Pour une grande partie des citoyens, l’identité nationale est une identité incorporée, charnelle ; ils font corps avec la patrie et sont physiquement éprouvés lorsque la patrie est attaquée, ridiculisée. En attaquant la patrie c’est eux que l’on touche personnellement et dans ce qu’ils ont de plus cher. L’identité nationale  est une réalité culturelle, anthropologique.

Il n’est pas nécessaire d’être anthropologue pour savoir qu’une culture donnée n’est pas disposée à se saborder et à laisser ses valeurs, coutumes et traditions contestées, voire remplacées par des cultures de nouveaux arrivants !

Pourquoi ce qui paraît évident pour d’autres cultures ne le serait-il pas pour la nôtre ? Même si une culture comme la nôtre est faite de diverses sous-cultures ; sauf que toutes partagent des valeurs essentielles communes et qu’il n’est pas question de céder sur ce socle commun. Unité dans la diversité, oui, mais dans la mesure où les diversités ne mettent pas en cause ce socle commun qui a permis l’unité.

Sur toutes ces questions d’identité, devenues très sensibles et conflictuelles,  il faudrait certainement davantage tenir compte de ce que nous dit l’anthropologie et la sociologie plutôt que de jubiler en mettant constamment le bâton dans la fourmilière très organisée que constitue une Société.

Un exemple typique de ce genre de vision abstraite, désincarnée et hors sol, susceptible d’avoir les mêmes effets qu’une idéologie totalitaire, est le prétendu « patriotisme constitutionnel» qui devrait  remplacer les identités nationales, le patriotisme et par conséquent à la naturalisation. Ainsi en va-t-il donc de l’UE qui voudrait remplacer les souverainetés nationales par une souveraineté supra-nationale, et les patriotismes nationaux par un « patriotisme constitutionnel », soit un attachement commun à une abstraction représentée par la Constitution européenne ! Constitution déjà refusée par plusieurs pays et néanmoins imposée contre leur gré. Un patriotisme constitutionnel en plusimposé autoritairement…

Il y a là un exemple typique de l’incompréhension totale de ce que représente une identité nationale, historique, partagée, incorporée et vécue par des nationaux depuis des siècles. C’est une autre manifestation du déconstructivisme et du nihilisme contemporain appliqués à la réalité historique séculaire des nations.

Il en va de même avec la naturalisation et les effets que peut entraîner sa sous-estimation, pire le fait de la moquer, de la ridiculiser et de vouloir l’annihiler.

Ce n’est pas par conservatisme borné et butté que la naturalisation doit rester exigeante ( NB : le  passé c’est ce qui ne passe pas même quand beaucoup de choses changent) mais à cause de ce qu’est en réalité et constitutivement une SOCIETE, une NATION, un PAYS,  une PATRIE, une IDENTITE NATIONALE, une NATIONALITE.

PS.Quel lien entre les critères de la naturalisation et notre refus d’une Suisse socialiste? Les socialistes sont d’abord internationalistes, européistes, etc ; ils ne sont ni n’aiment le patriotisme; les patriotes et l’identité nationale, contrairement à ce qu’ils prétendent en permanence, en disant par exemple que eux « aiment autrement », ils s’en moquent et font dans le dénigrement, constamment ; ils sont prêts à remplacer notre patriotisme et identité nationale par cette foutaise qu’est précisément le « patriotisme constitutionnel » ; ils aiment tellement et inconditionnellement et indistinctement  les étrangers, les requérants d’asile, vrais ou faux, et les clandestins qu’ils sont prêts à les régulariser et ensuite et à les naturaliser le plus facilement possible. C’est aussi cela le socialisme. Que nous ne voulons pas.

Uli Windisch, 4 janvier 2015

 

 

 

 

 

34 commentaires

  1. Posté par bigjames le

    @Lafayette
    pour la suisse….
    Avec un S majuscule svp.
    La Suisse mérite une majuscule, quand on l’aime et la respecte.
    732

  2. Posté par Lafayette le

    @Etienne
    Nous parlons de personnes intégrées, non du premier venu qui passe par là. Arrêtez de croire que l’on peut afficher un pourcentage d’étranger en suisse plus élevé que nos voisins , juste parce que l’on n’est pas d’accord de les intégrer après tout ce qu’ils font pour la suisse.

  3. Posté par Etienne le

    @ Lafayette. Des soldats n’ayant pas d’attachement à la patrie et de sentiment d’identité national pour défendre un pays. Encore un de vos commentaires sans sens aucun !

  4. Posté par Lafayette le

    Pour tenir une armée nationale en ayant une forte natalité étrangère, il faudra bien passer par la naturalisation.

  5. Posté par Jac Etter le

    Merci M. Windisch pour votre patience infinie à transmettre et partager ce respect de nous-mêmes au travers de cet amour de notre mère : la terre, incarnée par la nation Helvetica. Utérus protecteur et nourricier, de nous, pauvre homme tellement inachevé et en formation d’un être peut-être un jour pleinement réalisé. Et malheureusement vous avez raison, ça commence à sentir sérieusement le roussi. Certains de ces politiciens et idéologues n’ont rien compris. Ces tomates OGM poussées hors sol à l’ADN dégénéré et aux gênes mutés se pensent évoluées, éclairées et se moquent des «toyets » de souche. Mais ils n’ont pas compris qu’un pays fonctionne comme un être humain : son égrégore est son corps émotionnel, ses sentiments sont donc aujourd’hui ses réalisations de demain. Et les œuvres riches, nombreuses, fertiles, généreuses, ouvertes accomplies à ce jour l’ont été grâce à ces facultés exceptionnelles d’exprimer la vérité, le courage, le sens de la responsabilité, la simplicité, l’honnêteté, la justesse, le sens du sacrifice, le partage, l’amour, la conscience du bon et du bien, le respect de la vie, de l’intelligence pure, de la recherche perpétuelle de l’amélioration que nous retrouvons dans l’égrégore émotionnel helvétique, chez chacun de nos frères d’âmes, arrivés parfois de l’extérieur, chez ces « toyets » qui dérangent tellement cette clique socialo-écolo-de la bien-pensance . Et que l’on ne vienne pas nous faire la leçon sur l’ignorance de l’autre et la fermeture pusillanime au changement : c’est justement pour être sortie longtemps et beaucoup à l’étranger que j’apprécie et comprends qui sont mes frères.
    L’ouverture béante des frontières, liée à la naturalisation frénétique, change totalement l’égrégore du pays. Le plus terrible n’étant pas l’enfer semé de guerres civiles que cette oligarchie nous réserve ainsi, mais probablement dans ce que nous aurons manqué d’être : ces hommes et ces femmes se contemplant dans l’équilibre, s’aimant dans l’harmonie, créateurs d’un monde mature à la conscience éveillée et aux enfants accomplis. Merci les tomates hors-sol, grâce à l’application de vos principes mortifères, il va nous falloir attendre encore un siècle ou deux, noyés au milieu des barbares. Parfois il me vient des envies irrépressibles de cuisiner du coulis !

  6. Posté par C. Donal le

    « être humain et dénoncer le pillage des pays du Sud laissés à la misère et à la famine, ou vivre dans le monde des bisounours consommateurs en se barricadant face aux personnes issues des pays qu’on exploite en propageant sur eux les clichés les plus lamentables qui soient par commodité grassouillette? »
    « …une angélique qui pousse sur cette terre que vous rêvez stérile. »
    « Côtoyer des … ou des … ou autres ne vous dérange pas? »
    C’est de l’arrogance crasse et c’est de vous.
    « je crois ressentir »
    Ressentir vous fourvoie. J’espère que vous ne votez pas au pendule.

  7. Posté par Pascal le

    La petite clique nantie a certainement quelque chose de plus que le 99.9 % de la population. Sinon, elle ne serait pas là où elle est.

    N’écoutez pas Piketty et ses fumeuses théories fausses et mensongères. La plupart des milliardaires d’aujourd’hui ne sont pas des héritiers. Ils ont construit leur fortune sur leur talent et leur travail. Et, du moins dans les pays anglo-saxons, ils « ristournent » la grande partie de leur fortune à la société, qui en créant des fondations pour aider les jeunes qui n’ont pas les moyens de suivre des études ou de progresser dans la branche où ils sont talentueux, qui en faisant des dons pour la recherche (hier encore, B. et M. Gates ont versé 750k $ pour lutter contre la tuberculose),

    Vos théories marxistes (« … qui pour ce faire pille les ressources de la planète et les forces vives d’une population qui ne verra jamais la couleur de sa sueur qui lui est pompée … ») sont complètement à côté de la plaque. Le communisme (et donc le socialisme) n’a fait que rendre les pays pauvres et les mener à la ruine. Seul le capitalisme peut enrichir les ouvriers. C’est grâce aux capitalistes industriels que l’on peut vivre correctement dans nos pays civilisés. Au contraire des pays socialistes. Le capital de tout-un-chacun ne peut que progresser dans les pays libéraux, jamais dans le socialisme.

    Quant à la nationalité, elle se mérite. C’est normal qu’elle ne s’obtienne pas gratuitement et sans effort. Celui qui se sent suisse acceptera de patienter le temps qu’il faut pour obtenir la nationalité. Il acceptera également le fait que cela ait un coût financier non négligeable.

  8. Posté par KANDEL le

    Bravo Pascal!

  9. Posté par Pascal le

    Mais personne ne refuse de les naturaliser. S’ils en font la demande, ils deviendront suisse, sans aucun problème. Ce n’est pas à la Suisse de brader sa nationalité, mais c’est bien à l’étranger de la demander.

    Perso, j’ai bcp de peine avec ces gens qui disent : je suis né ici, j’ai fait toutes mes écoles ici, je suis presque suisse ………. mais je ne veux pas perdre la nationalité de mes parents, alors je veux être bi-national.

    Cette bi-nationalité devrait être bannie. Si on devient suisse, on perd d’office sa nationalité d’origine. C’est un choix à faire et seuls les gens bien intégrés feront ce choix.

    (Je précise que mon père étant français, je suis né français. Né en Suisse, jamais vécu en France, j’ai du choisir à 18 ans le pays dont je voulais me revendiquer. Le choix a été vite fait.)

  10. Posté par Ecce Homo le

    Addolorata MARRA est l’exemple typique d’une suissesse sur papier ; elle n’aime pas la Suisse de 1291, elle œuvre à la destruction de ce qu’il en reste, elle cherche à attirer toujours plus d’attention sur sa petite personne, sur son socialo-gauchisme qui infeste et domine partout nos institutions, nos médias, nos églises, nos hôpitaux, nos systèmes d’enseignements…..

    Mais quand est-ce que le peuple se réveillera enfin ???

  11. Posté par Ecce Homo le

    Addolorata MARRA (prétentieuse, pourrie, stupide +++, qui a honte de son prénom véritable) fait toute une page dans LeMatin de ce jour pour vendre sa saleté de mépris socialo des véritables Suisses dont elle ne fait pas partie.
    Elle dit : »Il faut arrêter de fabriquer des étrangers qui n’en sont pas ».
    Mais le bon sens dit qu’il faut arrêter de fabriquer des Suisses qui n’en sont pas. Les criminels qui remplissent nos prisons, les assistés professionnels, les musulmans inadaptés, ceux qui ne parlent pas une langue nationale, les analphabètes….
    Tous ces faux Suisses.
    Il faut cesser de dilapider la nationalité Suisse !

  12. Posté par KANDEL le

    Cher Monsieur Windisch,

    En plein dans le mille, merci, merci infiniment.

    Pour ma part, j’irais encore plus loin que vous, nos « élites intellectuelles » nihilistes souhaitent consciemment la mort de la civilisation Occidentale.
    Cet amour de la mort n’a rien de nouveau pour ce genre d’individus … et ce genre de nihilistes ne se satisfait pas de la mort de soi-même, il souhaite entraîner toute la société dans laquelle il vit dans un suicide collectif (preuve supplémentaire de son manque de courage).

    Le livre d’Igor Chafarévitch « Le phénomène socialiste » expose très clairement cela, résumé en deux mots cela donne : le socialisme c’est l’amour de la mort, le capitalisme c’est l’amour de la vie.

    Par ailleurs, il est toujours bon de rappeler cette citation criante de vérité.
    Georges Bernanos : « L’intellectuel est si souvent imbécile que nous devrions toujours le tenir pour tel jusqu’à ce qu’il nous ait prouvé le contraire. »

    Je vous cite : « De tels projets purement politiques et opportunistes peuvent s’avérer d’une grande irresponsabilité et engendrer des conflits que leurs auteurs ne semblent même pas entrevoir. Or l’une des fonctions du pouvoir n’est-il pas d’anticiper les problèmes et de chercher à les éviter ?
    Nous évoquons ces situations pour montrer à quel point le fait de prendre à la légère, voire de se moquer de la naturalisation, est d’une grave et totale irresponsabilité et que le fait de se complaire pour le moment dans cette attitude stupide entraînera des conflits que certains ont encore de la peine à envisager, aveuglés qu’ils sont par une bien-pensance de gauche dont les effets seront à coup sûr et rapidement dévastateurs.
    Il n’est nullement scandaleux de vouloir contrôler l’immigration et de faire en sorte que ces immigrés aux distances culturelles de plus en plus grandes, ne puissent se constituer en communautés séparées, voire en contre-sociétés conflictuelles. Cela ne signifie pas que ces nouveaux immigrés doivent abandonner complètement leurs particularités culturelles, mais en restant totalement étrangers à la culture et aux valeurs de la société nouvellement pénétrée, ces immigrés seront notamment incapables d’aider leurs enfants à l’école, ce qui va développer un cerce vicieux de non intégration et de marginalisation avec tout ce que cela peut entraîner comme phénomènes destructeurs.
    On devrait pouvoir comprendre les raisons pour lesquelles nous affirmons qu’une naturalisation exigeante, même très exigeante, nous l’affirmons sans gêne, est la meilleure garantie pour maintenir une société aussi harmonieuse que possible et offrir un maximum de chances à tout immigré.
    Dans les discussions politiques sur les critères de la naturalisation on passe beaucoup de temps à chipoter et à faire des calculs d’épiciers sur chaque critère. Cela aussi est irresponsable. Pense-t-on un instant à l’avenir concret de ces immigrés et surtout à celui de leurs enfants.
    Au-delà de la question de la durée nécessaire pour obtenir une naturalisation( 8, 10 ou 12 ans), ce qu’il faut absolument c’est que les immigrés apprennent au plus vite la langue du pays d’accueil, tant orale qu’écrite (on devrait même exiger de telles connaissances avant leur arrivée, comme l’exigent déjà certains pays), qu’ils s’intègrent à tous les domaines de la nouvelle société et surtout ne pas accepter qu’ils perpétuent des valeurs diamétralement opposées aux nôtres et souvent contraires aux droits de l’homme ; pire, qu’ils dénigrent et combattent nos propres valeurs.
    La plus grande naïveté et irresponsabilité en matière d’immigration a certainement été le fait de prôner activement, sans limites et de manière inconditionnellement positive et valorisée le multiculturalisme, tout en dénigrant et moquant simultanément tout ceux qui avertissaient des dangers qu’une telle politique allait engendrer.
    Il s’agit bien d’une politique de déconstruction, d’une sorte de néo-nihilisme ignorant totalement ce qu’est constitutivement une société et ce qu’elle suppose pour fonctionner avec un minimum de tensions et de conflits. L’idéalisme naïf, ignorant, dit généreux et ouvert, est en fait hors-sol et entraîne tôt ou tard des effets pervers insoupçonnés. »

    Monsieur Windisch, nos élites nihilistes aiment et souhaitent ce que vous craignez et redoutez, … et ces petits lâches salopards prendront probablement, au dernier moment, un avion pour les USA lorsque l’Europe sera à feux et à sang par leurs fautes.

    Merci aussi pour ces deux commentaires (il y en a tellement d’excellents que je me limite+++):

    « Posté par Jac Etter le 5 janvier 2015 à 16h37
    Bravo M. Windisch, dénonciation propre en ordre de tout le processus maladif mise en place, avec toute la dégénérescence en découlant, par l’idéologie gaucho-écolo-socio-marxiste. »[…]

    Posté par Rolf Zwicky le 5 janvier 2015 à 17h18
    […] L’article conclut en précisant que l’on peut obtenir des renseignements complémentaires auprès de la « déléguée à l’intégration » (sic !).
    On peut donc se demander ce que signifie le contraire d’ « intégration », soit le mot «DÉSINTÉGRATION».

  13. Posté par Ecce Homo le

    http://www.24heures.ch/suisse/Les-etrangers-vivent-plus-vieux-que-les-Suisses/story/26839462
    Les étrangers vivent plus vieux que les Suisses
    Un démographe de l’UNIGE a mis au jour des données détonantes: les migrants vivent plus longtemps que les Suisses.
    Les clichés prennent un sacré coup de vieux. Dans une thèse soutenue à l’Université de Genève en fin d’année, le jeune démographe Jonathan Zufferey, affilié au Pôle de recherche national LIVES, est parvenu à une conclusion qui bouscule les certitudes: à Genève, comme en Suisse, les migrants ont une espérance de vie plus élevée que les autochtones. En d’autres termes, les étrangers vivent plus longtemps que les Suisses. … Suite : ……….
    http://www.24heures.ch/suisse/Les-etrangers-vivent-plus-vieux-que-les-Suisses/story/26839462

    Hormis les explications qui se trouvent dans cet article, je voudrais que mon hypothèse soit également prise en considération.
    En effet, une bonne majorité de ces migrants vivent, au crochet des contribuables, une vie de rentier de rêve. Ils n’ont vraiment pas de raison de se stresser, peuvent dormir chaque matin à leur guise alors que les couillons se stressent dans la circulation infernale en se rendant au travail pour se stresser encore…..
    De l’autre côté, pas de stress, pas de souci (primes d’assurance maladie subventionnées, idem pour les frais dentaires, le loyer, …), les autres triment à leur place et se tuent à petit feu….
    TOUT CELA DOIT PRENDRE FIN SANS QUOI NOUS COURRONS VERS L’EFFONDREMENT DE NOTRE CIVILISATION.
    C’est une forme D’ESCLAVAGE basée sur la culpabilisation de l’homme blanc, la haine de soi et les idéologies de gauche, idéologies qui profitent à une minorité d’élus et une majorité de parasites.
    Je ne crois pas que tout cela puisse se résoudre par les urnes.

  14. Posté par Etienne le

    @ Patricia No-zone. Vous aimeriez changer la réalité. Nous sommes le résultat de notre origine, histoire, rencontres. La liberté est un leurre. Prenez garde que le désire de fusion ne vous engloutisse et servez-vous une bonne tasse de lait chaud avec du miel. Comme chez maman.

  15. Posté par Pierre H. le

    Les citoyens du Monde sont les pires. L’unicité et l’uniformité. Tout ce qui est contre nature, en fait. Ils prennent souvent exemple sur le monde animal (quand ça les arrange), alors que les animaux sont extrêmement différents les uns des autres, se dévorent entre eux, ont des territoires et ne se mélangent pas.

  16. Posté par Pierre H. le

    « Les gens de gauche ont rarement de grands projets. Ils font de la démagogie et se servent des mouvements d’opinions. La gauche tire le haut de la société vers le bas, par idéal d’égalitarisme. C’est comme ça qu’on a fini dans l’abîme en 1940… Les socialistes sont d’éternels utopistes, des déphasés, des apatrides mentaux… Ils gaspillent toujours la plus grande partie des crédits. On ne les a jamais vu dépenser efficacement les crédits… Je n’aime pas les socialistes car ils ne sont pas socialistes… Parce qu’ils sont incapables, ils sont dangereux… «

    Général Charles de Gaulle

  17. Posté par Menoux Claude le

    Ce qu’il faut savoir et agir en conséquence!
    Chez les dirigeants du PS et du PDC le vrai patriote n’existe pas !!

    Les preuves..

    Tiré de l’ouvrage le « Vatican contre l’Europe » Edmond Paris, p.348
     
    Au XVII siècle, le Général des Jésuites J. Nickel écrivait : « Oublions notre patrie ….. La Compagnie de Jésus ne peut subsister si l’esprit national n’est pas entièrement déraciné »
     
    Léon Trotski
    Le prolétaire n’a pas de patrie

     Christiane Brunner, Ancienne Présidente du parti socialiste suisse
     En conclusion d’un débat sur la SF1, question posée aux participants en fin d’émission, qu’est ce pour vous le patriotisme ?
     Réponse de Mme Brunner : Notre patriotisme n’a pas de frontière !
     C’est aussi ce que veulent l’internationale socialiste  et la DC (PDC)

     Rappelons q’un congrès du parti socialiste, sous la Présidence
    de Mme Brunner, se termine par le chant de l’Internationale avec
    le point levé !
     « Du passé faisons table rase » évoque une chanson révolutionnaire de sinistre mémoire.

    Période de la commune à Paris

    La Mistoufe, journal communiste à Marseille fin 19 ème siècle
    Epigraphe : L’Anarchie est l’avenir de l’humanité. Notre partie est la terre entière.

    L’internationale socialiste et l’internationale démocrate chrétienne sont la main dans la main. D’où un nouvel emblème la croix et le marteau !
    Louis Powel,Figaro Magazin

     

    Comment devenir citoyens américains
     
    Le serment d’allégeance
     
    « Je fais serment d’abandonner et d’abjurer toute allégeance et fidélité à quelque prince étranger, potentat d’état ou souveraineté dont j’ai été précédemment le sujet ou le citoyen ; de soutenir et de défendre la Constitution et les lois des Etats-Unis d’Amérique contre tous les ennemis, étrangers ou intérieurs ; de rester fidèle à ces mêmes engagements ; de porter les armes au nom des Etats-Unis quand la loi l’exigera ; d’accomplir une tâche d’intérêt national sous administration civile dans les forces armées des Etats-Unis quand la loi l’exigera  ; et je souscris librement à cette obligeance sans réserve ni intention de fuite ; que Dieu m’aide » 

  18. Posté par SilvanaC le

    « Dans le temps » celui qui voulait vraiment avoir la nationalité Suisse, faisait de tout ce qu’il fallait pour l’avoir.Certaines difficultés n’ont jamais empêché une personne vraiment motivée d’obtenir notre nationalité. A mon avis, la gauche veut faciliter les naturalisation seulement pour élargir leur électorat, car ce sont surtout les étrangers qui voteraient en masse leurs initiatives (destructrices à long terme, voire à cour terme) et si l’on dit citoyen Suisse, on dit éligible. Devinez pour quel parti?????

  19. Posté par Nicolas le

    Personnellement confronté à une « Genevoise » qui cherchait par simulation à bénéficier d’une rente AI complète, ce qui aurait représenté dans son pays d’origine un revenu de ministre, elle était accompagnée d’une traductrice car elle ne comprenait pas un traître mot de français. Certes une histoire de chasse, cette personne ne mettant pas à elle seule notre assurance sociale en péril, mais tout de même très représentative de l’incroyable légèreté dans l’octroi du passeport Suisse par certaines administrations.

  20. Posté par Pierre H. le

    @ Vermot Petit Outhenin Fabian
    Excellente description et analyse de votre personne que vous faites ! Apatride mental, arrogant, donneur de leçons, moulé pensée unique, probablement pour l’avortement à outrance mais contre la peine de mort pour les ordures… Même mentalité que les oligarques du nouvel ordre mondial.

  21. Posté par Eddie Mabillard le

    @Vermot Petit Outhenin Fabian vous savez quand vous allez dans un pays pour quelque temps les gens sont chaleureux et avenants surtout si le premier mot que vous apprenez est merci, mais restez-y plus longtemps et essayez d’imposer votre culture au mieux on rira de vous sous cape au pire l’on vous mettra sans ménagement à la porte, essayez de présenter un livre sur, par exemple Jésus, dans un pays musulman et votre VIE sera en jeu.
    @ Dan Grisel Elena vous avez tout à fait raison, si l’on donnait un questionnaire à beaucoup de Suisse ce serait lamentable, vous êtes-vous demandé pourquoi ? eh bien je vous le dis c’est parce que l’école a subi l’influence des gauchistes, en gros les points suivants en sont leur crédo : pas de par cœur cela traumatise ces pauvres petits, plus d’histoire de notre pays, car le patriotisme c’est de l’indécence crasse, la géographie a aussi subi des coups de boutoir, par contre l’on passe un temps fou pour des stupidités sans nom, des sujets qui seront très vite obsolètes et d’autant plus que les élèves peuvent acquérir après l’école obligatoire si par exemple une profession l’exige.
    Je vous donne encore un autre exemple : notre hymne national, presque personne ne connait les paroles, et maintenant comble de la stupidité l’on voudrait changer les paroles, mais ce sera le même problème, car la gauche ne veut pas que l’on enseigne à l’école, chaque fois qu’une initiative veut l’enseigner les gauchistes mettent les pieds au mur ou freine de quatre fers, en arguant le fallacieux prétexte que cela stigmatiserait les non suisses et nos autorités marchent dans cette ineptie, alors comment peut-on s’étonner que personne n’en connait les paroles. Mais ces gauchistes je ne sais pas comment ils font quand ils vont aux USA par exemple, car toutes les manifestations commencent par l’hymne national, les gens se lèvent et le 95% ont la main sur le cœur. Quand je vois ici au premier août on reste assis et ne prête aucun respect, je suis choqué.
    En conclusion vive les gauchistes qui dénigrent notre Patrie et pratiquent l’autoflagellation, je dis non et suis fier de mon merveilleux pays.

  22. Posté par Eddie Mabillard le

    Je souris chaque fois qu’une personne revient d’Amérique du Sud avec son bonnet de laine et se pavane avec une flute en bandoulière, il vante le folklore de cet endroit, mais crache sur le nôtre alors qu’il ne connait pas le b a ba. Ou de cet autre qui revient de l’Inde avec un sari et un nouveau nom, bon il fut allégé de quelques fourmis en payant un gourou pour le faire « transcender ».
    En conclusion quand l’on se rend dans un endroit l’on respecte l’hôte, ses lois, ses us et coutumes, donc nous avons dans Notre Patrie le droit de ne pas accepter ce multiculturalisme à tout vent.

  23. Posté par Vermot Petit Outhenin Fabian le

    Le plus difficile est de devoir cotoyer ces intolérents qui n’acceptent pas d’autres valeurs et mode de vie, je me sens citoyen du Monde et me sens délivré chaque fois que je visite un pays et cotoient ses habitants, l’Europe est le continent le plus raciste et intolérent , on ressent cela surtout dans les sois disant pays riche dont ceux sans matières premières seront les pauvres de demain , nous sommes tous globaux, glocaux et esclaves de l’économie et sans identités et religions, les riches de demain nous aiderons dans la descente et la misère, donc apprenons les divers dialectes Chinois ! Les Suisses allemands comptétement serviles et esclaves de ces maitres et du fric l’ont compris ! Comment faites vous pour mettre un Suisse a genoux, mettez lui un billet de mille francs sous le nez, il jubilera !

  24. Posté par Leb le

    Voici le fond de commerce de nos socialopes :
    « Naturalisation facilitée: bientôt aussi pour la 3e génération »
    Le Conseil fédéral soutient le projet relancé par le Parlement d’accorder plus facilement le passeport suisse aux jeunes étrangers de 3e génération, en adoptant une réglementation uniforme à l’échelle nationale.
    http://www.lematin.ch/suisse/naturalisation-facilitee-bientot-3e-generation/story/29309992

    Et voici les commentaires les plus appréciés :
    cedric haufman
    En clair, le Cf démontre non seulement qu’il se fiche de notre vote mais soutient encore le projet d’une socialiste dont le mépris de la Suisse n’est plus à démontrer. Nous n’avons plus aucune décision de droite dans ce gouvernement? Par contre, lorsqu’il s’agit de bloquer l’expulsion des criminels étrangers, aucun problème…
    Frank moSchaefer
    Quand y s’ agit de naturalisation Ada Marra sort de son terrier! Mais pour toute l’ actu de ces jours bouche cousue!!!

  25. Posté par Lori le

    Je vous invite à voir, pour ceux qui l’auraient loupé sur Arte, l’excellent documentaire fait sur les musulmans en Europe. Il y est montré comment, en Suède qui distribue sa nationalité sans sourcillier dès qu’il s’agit d’immigrants Gazaouis, Irakiens et autres, ces gens détestent leur pays d’acceuil. Idem en Belgique, France etc. Un refus total d’intégration et la stratégie de la reproduction en masse (8 à 12 enfants par famille, voire plus).
    Muslims in Europe – documentary: http://youtu.be/hR7REARFFpQ Ne nous fourvoyons pas, en Suisse ce se passe aussi, mais de façon plus silencieuse. C’est une bombe à retardement qui va pas mettre long à nous exploser à la figure. Alors, ce sera trop tard pour agir. Nous verrons une nette augmentation du taux d’émigration des Suisses et la Suisse ne sera plus la Suisse.
    Je vous mets un petit film supplémentaire fait par l’organisation musulman en Suisse. Ils demandent la tolérance, mais veulent la puissance.
    Five Years after the Minaret Ban: The Muslims of Switzerland: http://youtu.be/46DVrVGP9nw
    Lori

  26. Posté par berset georges le

    Franchement vous voyez un jour le préambule de notre constitution commencer par:au nom d’Allah le tout puissant le miséricordieu.Dieu n’a pas de religion,IL EST TOUT-PUISSANT.Quant on sait que les religions sont censées relier les hommes à DIEU,les derniers évènements relèvent de l’ignorance .Si Dieu existe(ce que je sens)alors selon une certaine religion,ce serait un Dieu sadique,tueur,élitiste,misogynies,haineux,enfanticide,lapidateur et j’en passe.
    Non,seuls des ignorants peuvent choisir un tel Dieu.Que ceux qui ne croient pas en Dieu n’y croient pas,et,que celui qui y croit sache que Dieu est bon.

  27. Posté par Economico le

    200% d’accord avec Jac Etter. Il a pointé du doigt le coeur du problème.

  28. Posté par Rolf Zwicky le

    On relève dans cette courageuse prise de position que son auteur souligne que « De plus en plus nombreux sont en effet les immigrés qui ne manifestent même plus un désir d’intégration… ). C’est certainement correct, mais encore faudrait-il que le pays d’accueil (nous) manifeste clairement, lui aussi, son désir de voir ces immigrés s’intégrer. Or, habitant à Yverdon-les-Bains, je lis dans BONJOUR, le journal communal officiel publié par l’administration locale (No 70 de novembre 2014, p. 7) l’information suivante : « Dans le cadre des cours de langue et de culture d’origine, la ville met à disposition des salles de classe pour permettre l’enseignement des langues maternelles telles que l’albanais, l’arabe, le chinois, l’espagnol, l’italien, le macédonien, le tamoul, le tigrinya, le somalien et (…) le russe ». On ajoute, visiblement avec une certaine fierté, que (ces cours) « … représentent une contribution importante à la promotion du plurilinguisme et améliore la réussite scolaire des enfants en renforçant leur identité pluriculturelle dans une société caractérisée par toujours plus de diversité. »
    L’article conclut en précisant que l’on peut obtenir des renseignements complémentaires auprès de la « déléguée à l’intégration » (sic !).
    On peut donc se demander ce que signifie le contraire d’ « intégration », soit le mot «désintégration». Une définition en est « perte de la cohésion intime, de la personnalité profonde ». On est dès lors en droit de se demander si, par leur soutien et leur mise en valeur d’aspects divers des cultures d’origines de ces étrangers, et non de la Suisse et de ses valeurs vers lesquelles les étrangers voulant rester chez nous devraient se tourner, certaines de nos administrations ne manifestent pas précisément une volonté de désintégration de notre pays en détruisant sa personnalité profonde par un soutien à des éléments culturels étrangers afin de dénaturer progressivement et surement notre société. Comment, avec de tels soutiens, les immigrés pourraient-ils être amenés à vouloir s’intégrer, et à quoi ?

  29. Posté par Jac Etter le

    Bravo M. Windisch, dénonciation propre en ordre de tout le processus maladif mise en place, avec toute la dégénérescence en découlant, par l’idéologie gaucho-écolo-socio-marxiste. Par ailleurs les mauvaises langues, dont je fais allégrement partie, les soupçonnent fortement d’instaurer cette politique mortifère afin de maintenir un réservoir électoral suffisant au maintien de leurs positions dans les sphères dirigeantes. Car le peuple de souche, à leur grand dam, devient intelligent. Oui oui, les consciences s’éveillent. Nous, citoyens n’en pouvons plus de ces prédateurs déguisés en Calimero, donneurs de leçons et suceurs de sang dans notre sommeil. Alors évidemment, s’ils peuvent nous étouffer dans une masse d’inconscience, ils le feront en naturalisant à tout va. Mais l’époque larmoyante et infantilisante du « c’est vraiment trop injuste » arrive à sa fin.

  30. Posté par Dan Grisel Elena le

    Je suis d’accord que la naturalisation ne soit pas accordée à la légère ni en Suisse, ni dans d’autres pays. D’autre part on ne peut pas réclamer aux candidats à la naturalisation des connaissances que de nombreux Suisses n’ont pas. Lancez un questionnaire sur le nombre et le nom de cantons, ou sur la géographie de la Suisse, vous aurez des surprises parmi les suisses de souche. Le patriotisme devrait se manifester par le respect des droits et des obligations. Malheureusement le droit de vote n’est pas observé par les citoyens suisses, l’absentéisme est trop grand. A quoi sert la démocratie directe si le taux de participation aux votations se situe entre 20% et 30%, éventuellement 40%? Le résultat peut-il être représentatif pour le peuple suisse?

  31. Posté par Economico le

    Je suis d’accord, on doit rendre plus sévère les critères de la naturalisation. 20 ans de résidence – 10 ans pour le regroupement familial.

  32. Posté par Charles le

    Je soutiens parfaitement que la naturalisation doit être accordée sur des critères sévères et que devenir Suisse est l’acceptation de nos coutumes, traditions et implication dans notre société. Antonio Hodgers, devrait se rappeler pourquoi il a choisi de devenir Suisse. S’il a un problème avec ce pays, rien ne l’empêche de renoncer à son passeport. La proportion des étrangers en pourcentage de la population suisse est une des plus élevée, si ce n’est la plus élevée du monde. La Suisse est l’exemple de la tolérance et pour y vivre, il faut accepter les règles et non imposer les siennes. Partout où on a essayé de lisser le patriotisme en vu de sa disparition, marginalisation, le VRAI peuple, celui qui reconnait son appartenance, son essence, s’est toujours senti grandi.

  33. Posté par Patrick Stocco le

    Je vous suis sur toute la ligne M. Windisch. Et j’ajoute que la gauche ferait bien d’apprendre à compter: de quelles ressources, territoriales ou financières par exemple, disposons-nous réellement ? Pour quelle croissance modérée et pour combien de temps ces ressources suffisent-elles ? Compte tenu de ce que nous pouvons déjà observer aujourd’hui, j’imagine aisément la société infernale dans laquelle vivraient nos enfants dans vingt ou trente ans si la Suisse devait alors compter quinze ou vingt millions d’habitants…

  34. Posté par Etienne le

    C’est un des remparts à protéger et renforcer.
    Les prochaines déferlantes toucheront le domaine du droit de vote et le domaine de la liberté d’expression dans les réseaux sociaux en interdisant pour commencer le droit à l’anonymat.

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