Par Pascal Titeux.
La nouvelle n’a pas fait la « une » des médias, et c’est pourtant un des événements les plus inquiétants de ce début de siècle. Le dernier masque de la démocratie représentative, dans sa version postmoderne et corrompue, vient en effet de tomber.
Pile je gagne, face tu perds. Cela me fait penser à nos socialos de service qui proposent d’invalider les initiatives fédérales qui ne leur plaisent pas. C’est cela Amarelle!
Pascal : Vous vous trompez de formulation. La phrase correcte est :
« Lorsqu’on en arrive à trouver des compromis pour éviter des élections anticipées qui ne sont de toute façon pas prévue dans le fonctionnement normal du système democratique en place. »
Votre désinformation est ridicule. Les citoyens peuvent de toute façon élirent qui ils veulent lors de chaque période électorale normale.
Les coups d’état étaient fait par les militaires!Maintenant,ils sont fait en catimini par les dirigeants pour lesquels le peuple a voté.Osons le mot POURRITURE!
Lorsqu’on en arrive à trouver des compromis pour empêcher un parti d’accéder au pouvoir, vous appelez ça comment antoine ? Pour moi, c’est bien un coup d’état. La mise en place d’une dictature, vu que les citoyens ne peuvent plus élire qui ils veulent.
Euh… avant de paniquer et de crier au coup d’état, une recherche google : http://www.hebdo.ch/news/politique/su%C3%A8de-pas-d%C3%A9lections-anticip%C3%A9es-accord-avec-lopposition
« M. Lofven avait annoncé la tenue d’élections législatives anticipées lorsque le projet de budget présenté par le gouvernement minoritaire qu’il dirige avait été rejeté au parlement début décembre.
L’accord entre le Parti social-démocrate du chef du gouvernement, les Verts, membres de la coalition, et les partis d’opposition de centre-droit de l’Alliance (les Modérés, le Parti du centre, les libéraux et les chrétiens-démocrates), prévoit que le Premier ministre devra appliquer le budget de l’opposition voté au parlement, avec la possibilité toutefois de le modifier au printemps.
L’Alliance s’abstiendra et ne votera pas contre les budgets du gouvernement, selon l’accord qui vaut jusqu’en 2022. Les deux parties ont également conclu de se coordonner sur les politiques de retraite, de défense et sur l’énergie. »
Donc, le parti qui gouverne (élu en septembre) accepte d’appliquer le budget proposé par l’opposition, l’opposition accepte de laisser le gouvernement tranquille jusqu’en 2022 sur la question des budgets, à condition d’être consulté sur les questions de retraites, défense et énergie. Point. Pas de « répartition des postes », pas de gouvernement décidé à l’avance « indépendamment des résultats », le gouvernement actuel peut toujours sauter sur une motion de censure, les prochaines élections peuvent très bien amener un autre gouvernement au pouvoir, etc, etc… C’est grosso modo le mode de fonctionnement de la social-démocratie Suédoise depuis une cinquantaine d’année : les partis de droite acceptent une certaine quantité de mesure sociales, les partis de gauche une certaine quatitié de mesure libérales. La seule chose différente cette fois ci ? Ces différents partis passent un accord pour empêcher l’accès au pouvoir à un parti d’extrême-droite, Les « Démocrates Suédois », que Contrepoints qualifie gentiment « d’atypiques ».
Les journalopes, les journaleux se taisent, … des lâches politiquement corrects comme toujours!
Heureusement que Mr Blocher, le tout grand Monsieur Blocher a été éjecté du CF, … vous imaginez un COURAGEUX ESPRIT LIBRE, SUPÉRIEUR (c’est pour cela qu’il était tellement haï) mettant de l’ordre en Suisse, on avait « notre Churchill », on a préféré des médiocres sans saveur ni talent alors que notre époque requiert des géants, visionnaires, tant les perspectives sont sombres face aux visions conquérantes de l’islam sur toute l’Europe occidentale.
Maudite lâcheté, vive nos BLOCHER, les GUILLAUME TELL d’aujourd’hui!
Ahurissant ! La caste politique peut faire un coup d’État en catimini, simplement pour empêcher le peuple de décider de son destin, et personne ne trouve à redire ! Une manœuvre de ce genre nous pend au nez, quelque jour, en France