Les barbares de 7 janvier 2015 ont appuyé sur la gachette.
Sont-ils coupables ? Certes...
Mais encore :
Le coupable des tueries passées et futures, c'est moi, le "gentil-français".
Ce français qui
accorda sa confiance à un colonel fermant, en 1962, les portes des migrations, pour ouvrir celles de l'immigration. Abandonnant 150 000 frères en Algérie, les vouant à une mort atroce,
autorise depuis 50 ans, l'invasion de mon pays par des hordes inassimilables,
encourage le communautarisme, le multiculturalisme,
permet le mélange des identités,
renie les valeurs de la société occidentale,
rejette le drapeau, l'hymne, l'histoire, le langage, les coutumes, la religion de ma cité,
fait repentance, au nom de vérités enseignées par de faux-prophètes,
accepte toutes les croyances, sans m'interroger,
s'inquiète de l'offense proférée à l'encontre d'une culture différente de la mienne,
privilégie le droit-du-sol, au droit-du-sang,
offre mes biens, afin de favoriser l'assistanat-perpétuel, la fraude, la tromperie,
refuse, égoïstement, de lire le triste avenir de ma descendance,
tolère qu'une justice différente de la mienne, accapare le droit de mes semblables,
offre mon domaine, aux mains de politicards incapables de le gérer,
outrage l'hospitalité en accueillant le loup dans la bergerie,
refuse d'appeler "un chat", "un chat",
pratique l'angélisme...et
finit en rasant les murs, par honte d'être français !
"L'absence de communauté nationale est facteur de guerre civile, tant que les citoyens ne partagent pas les mêmes valeurs de civilisation.Une cité ne se forme pas à partir de gens pris au hasard, et elle a besoin de temps pour se coaguler. C'est pourquoi, parmi ceux qui ont accepté des étrangers pour fonder une cité avec eux, et pour les intégrer à la cité, la plupart ont connu des guerres civiles. Par exemple, les tyrans de Syracuse, en ayant naturalisé les immigrés, ont dû subir des révoltes. Citoyens et étrangers en sont venus à se combattre".
Aristote, Politique, Livre V.
Jan Appelghem, 8 janvier 2015
A tous les articles concernant le massacre de Charlie je vais devoir ajouter “lisez mon livre des raisins trop verts” …
Bravo, et merci pour la citation d’Aristote!