Malthus avait raison, comme Solon avant lui

Thomas Mazzone
Enseignant, écrivain
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L’initiative Ecopop est basée sur la sagesse antique et ce sont ses adversaires qui utilisent la peur.

 

L’article de Francis Richard sur Ecopop ne fut pas une surprise. De même, on pouvait s’attendre à ce qu’il n’ait pas lu ou compris les arguments développés par nos soins sur l’initiative. De fait, la réponse à ses réflexions se trouve anticipée dans nos articles et on ne peut que lui recommander de les lire, et le sommer de répondre, plutôt que de faire ainsi l’autruche. Pour résumer et pour répondre à son accusation de “sophisme”, on peut synthétiser les choses ainsi: beaucoup de bonnes volontés circulent dans les dires et les initiatives de la “droite économique” de même que dans les diverses idéologies d’écologie planétaire, mais on constate qu’il s’agit bien souvent de chamailleries politiciennes qui n’entravent pas la décomposition du pays par la pression socialiste hors sol. Ecopop donne un message clair et dont on ne pourra justifier aucun contournement. Réduire l’immigration drastiquement pour ne pas avoir à la subir plus tard. Réduire le solde migratoire, parce que notre territoire est limité et parce que le multi-culturalisme est démontré comme nuisible par les frasques de l’évolution du Système scolaire, lequel ne fait que s’adapter à l’internationalisme économico-social en se nivelant par le bas.

 

Nous aimerions particulièrement attirer l’attention de M. Richard sur l’article suivant, lequel montre que malgré les raisons certes discutables qui animent le comité Ecopop, notamment le malthusianisme, cette initiative est une aubaine et une véritable occasion de préserver la Suisse d’un désastre culturel et démographique sur le long terme. Plus que cela, c’est le peuple suisse et les fondements du pays, son beau paysage et son espace vital qui sont menacés ; cela au profit d’une vue technocratique presque entièrement dirigée par des normes et des stratégies étrangères. Si, pour un chrétien, l’aspect “contrôle des naissances” semble inacceptable, notons cependant que le texte est suffisamment souple à ce niveau pour lui éviter de devenir eugéniste.

 

Selon F.R. , “la natalité et la mortalité peuvent jouer un rôle sur l’évolution de la population résidente et donc sur le bétonnage, la dégradation de la nature et de l’infrastructure.” N’est-ce pas souligner une analyse peu profonde? La mortalité étant une variable d’ajustement, son chiffre n’influe pas sur une analyse à long terme. En revanche, la natalité est effectivement un autre facteur. Cependant, avec 1.4, on est bien loin du taux de remplacement à 2.1. Si l’on critique le “contrôle des naissances” et la Chine communiste, on ne peut pas, en même temps, exiger d’une initiative qu’elle s’en charge. Si le problème était existant et que les Suisses étaient immatures face à celui-ci, peut-être nous proposerait-on alors une autre initiative, mais force est de constater que le problème ne s’est encore jamais posé et que l’immaturité, pour l’instant, vient bien plus de la part des autorités. En fait, cette double position indique où se trouve le vrai sophisme: on invalide une perspective en se servant d’un argument qu’on a utilisé en sens inverse pour en critiquer une autre. Si les cours de logique commencent aussi à manquer dans les écoles, l’article “Non à l’initiative d’Ecopop” tend à en démontrer une nécessité globale. De même, taxer l’initiative elle-même de malthusianisme, c’est lui faire un procès d’intention, car il y a entre l’idéologie malthusienne ou néo-malthusienne du “Club de Rome” et la proposition d’Ecologie et Population des différences fondamentales.

 

Pourtant, même à compter d’ici, essentiellement, c’est Malthus qui avait raison. Il est évident que les chiffres annoncés par Malthus paraissent risibles aujourd’hui, mais notons tout de même qu’un demi-siècle après son “Essai sur le principe de population”, advint la Grande Famine en Irlande. Malthus lui-même ne s’est pas contenté de faire des prédictions globales et d’émettre des principes généraux. Thomas Malthus, qui était un prêtre anglican, décrivait la situation irlandaise comme “sans espoir”, attribuant au péché la mauvaise gestion de leur territoire. C’est, avant tout, cela que l’initiative Ecopop veut considérer. Bien loin de vouloir créer une réforme eugéniste mondiale, on souhaite humblement faire quelque chose à un niveau réaliste d’action sur le plan de la légalité et des volontés. Si les révolutions alimentaires pourraient parfois infirmer une prédiction chiffrée, c’est Lavoisier qui l’a suggéré, on ne peut pas inventer de la matière! A la fin, dans les principes généraux, que ce soit à l’échelle d’un pays ou de l’Univers, la quantité de ressources et d’espace disponible est limitée ou plus ou moins accessible. Si Malthus n’a pas eu tout juste, il n’avait pas tort sur le principal. La croissance économique est un mythe qui est alimenté par la spéculation et la sélection avantageuse des données considérées. Dans la réalité, elle n’a pas de fondement ; pas plus que la décroissance, dont il n’est ni fait état par Ecopop, et dont il n’y a aucune garantie qu’elle serait subséquente à l’initiative. Il s’agit d’une peur presque irrationnelle, car il n’y aurait que l’immigration qui serait alors limitée.

 

Il est monnaie courante de voir tout chiffrer et évaluer, mais le bon sens commun a précédé Malthus. Depuis au moins l’Antiquité, on sait qu’il faut agir avec raison et parcimonie en tant que sédentaires. Sagesse héritée de la Grèce de l’Age du Bronze, transmise aux Egyptiens, selon Platon, puis récupérée par Solon qui l’aurait alors enseignée à Critias (cf. Critias de Platon), il était autrefois question d’usage du sol, de tremblements de terre et de maintenir une population régulée ; cela dans le seul but de la prospérité de la Cité. Ainsi, disait Solon, à Athènes, “[on veillait] soigneusement à ce que [le] nombre, tant d’hommes que de femmes, déjà en état ou encore en état de porter les armes, fût, autant que possible, constamment le même, c’est-à-dire environ vingt mille.” C’est si simple et évident qu’à chaque siècle, il existe au moins un prophète de l’harmonie écologique, qu’elle soit démographique, agraire ou sauvage.

 

Par peur, on s’imagine souvent que ne rien faire, c’est ne pas prendre risque inconsidéré, que c’est ne pas inscrire de fausses options dans la Constitution. Or, l’usage récent des initiants en tout genre (qu’il est fait de ce droit populaire qu’est l’initiative) montre souvent bien plus d’urgence et de spontanéité que le texte “Halte à la surpopulation - Oui à la préservation durable des ressources naturelles”. Si, dans une vingtaine d’années, il se trouvait que la situation était assainie, on pourrait imaginer de réformer cet article. Si, au contraire, dans cinquante ans, l’augmentation de la population que générerait un solde même de 0.2%, suppléé par une hausse des naissances, finissait par devenir lui aussi insupportable par notre petit territoire déjà si dense, il faudrait alors le réduire encore. Pour l’instant, c’est l’urgence qui parle et la peur est du côté de ceux qui souhaiteraient attendre pour voir, des “tièdes” comme disait Jésus Christ, qui, pour ne pas faire d’erreur, préfèrent se terrer dans leur fauteuil. “Quel désastre pour l’économie”, nous menace-t-on! “Et les Bilatérales”, entend-on! “Et nos valeurs sur le droit d’asile! Et le danger d’isolement!”, murmurent les associations immigrationnistes qui font même un travail de sape impressionnant quant à l’application du Droit et qui se rendent bien compte que les pouvoirs économiques sont de leur côté, eux qui n’hésitent pas à dénoncer les “inégalités sociales” en fustigeant les “riches” et les “patrons”. Contradiction flagrante, deux milieux opposés sont main dans la main, par peur ou par intérêt, par crainte de l’identité et de la culture dans le monde de demain, parce que, précisément, ils ne portent plus rien de cela en eux, parce que, précisément, ils préfèrent ne pas choisir et rester au chaud dans un confortable cocon, ne rien apprendre, ne rien savoir et ne rien déduire. C’est bien plus commode et bien moins risqué!

 

Thomas Mazzone, le 3 novembre 2014

Solon

10 commentaires

  1. Posté par René GILLOT le

    Surtout a l’adresse du sieur Geo qu’il me permette de lui dire qu’étant moi même protestant, je n’ai jamais remarqué, le connaissant depuis cinquante ans, être méprisé par Francis Richard qui, accessoirement, est également le parrain de l’une de mes filles. Quand à la proposition d’Ecopop non seulement je la trouve inique mais d’une mise en application proche de l’usine à gaz… qui pour certains fut un moyen de régulé le populations

  2. Posté par Géo le

    Richard est l’essence même du site « les Observateurs », tenu par les cathos fachos français les plus réactionnaires. Ces gens qui quand ils sont médecins ne vous donnent aucun analgésique parce que c’est Dieu, leur dieu à eux auquel vous ne croyez pas, Dieu qui a décidé que vous devez souffrir jusqu’au bout. Donc le suicide assisté est un crime effroyable. On peut tolérer l’euthanasie, parce que c’est un médecin, donc un Être Supérieur qui opère. Relisez leurs articles…
    Je vous rappelle que nous Suisses nous sommes plutôt protestants, donc des êtres méprisables aux yeux des Richard et autres qui ont mis la main sur ce site.

    NDR. Ridicule et bête.

  3. Posté par Anne Lauwaert le

    Oui Pierre, vous avez raison : il faut aller vers la dé-croissance dans tous les domaines : décroissance de la population mondiale, des pollutions, des catastrophes naturelles, des consommations, de tout.
    Ou bien on va le faire “avec les bonnes” ou bien on va le faire “avec les mauvaises” comme on dit en italien.
    Si la température de la Méditerranée a 2°C de plus que la normale et produit des tornades au-dessus du sud de la France et que à Montpellier il y a 4 tornades en 3 semaines avec 2m50 d’eau dans les maisons non seulement les gens vont déménager et s’accumuler tous dans des endroits plus sûrs, mais aussi les assurances ne vont plus pouvoir suivre. En France, comme dans toute l’Europe, cette année les inondations ont été constantes, avec des tornades qui ont arraché les toits en emporté des maisons. Mais pas seulement cela, ce mauvais temps détruit les récoltes. On peut se passer des vignobles mais pas du blé ni des patates. Or ces tornades se produisent dans le monde entier et de plus en plus. Cela signifie que de plus en plus de gens quittent leurs habitations pour chercher des régions plus sûres et que parallèlement il y a de moins en moins de production de nourriture, au niveau planétaire.
    Nous vivons actuellement avec une économie complètement artificielle et inutile qui ne sert à rien d’autre qu’à donner du travail aux gens. Exemple: les jeux vidéo, la téléphonie tout ça ne sert à rien, votre GPS dans votre voiture c’est un jouet complètement inutile mais qui est parmi les causes des guerres en Afrique autour des minerais rares et ces guerres causent la faim, les migrations qui arrivent chez nous où nous ne savons pas quoi faire de ces malheureux qui s’ajoutent aux autres chômeurs. Etc. etc.
    Oui Pierre, vous avez raison on doit dé-croître , dans tous les domaines. Il y a une loi de la nature que les chasseurs connaissent bien: quand dans une espèce animale il y a surpopulation, il survient une maladie qui tue 95% des effectifs et ensuite les 5% qui ont survécu recommencent. Les humains sont en surpopulation, voulons-nous attendre que la nature élimine 95%?
    La nature n’a pas de problèmes, les dinosaures ont disparu, les humains peuvent disparaître le monde n’en finira pas de tourner.
    Nous avons le choix: ou bien nous décroissons volontairement “en douce” ou bien nous ne regardons pas la réalité en face et c’est la réalité qui va s’occuper de nous avec des guerres, des famines, des catastrophes naturelles etc. (demandez l’avis des habitants de Montpellier… )
    Déjà dans les années 60, quand j’étais au Lycée nous parlions des pollutions et des changements climatiques et nos profs nous expliquaient qu’une fois une certaine limite dépassée, le mouvement était enclenché et devenait irréversible…
    Pourquoi ne fait-on rien? Parce que les vendeurs de voitures ont intérêt à vendre des voitures, les vendeurs de bricoles électroniques ont intérêt à vendre, les vendeurs de vacances ont intérêt à faire voyager etc. Aucun de ceux qui font du commerce n’a intérêt à dire : restez chez vous, cultivez votre potager, cessez de gaspiller, économisez l’énergie, devenez indépendants du système. Non, au contraire ils ont tous intérêt à inciter au contraire.
    Mais tous nous allons dans le mur alors qu’il suffirait d’en prendre conscience et de faire demi tour. Il nous suffirait de ne plus acheter les choses qui ne sont pas indispensables cela causerait la révolution dans l’économie et obligerait nos autorités à prendre des mesures. Nous pouvons le faire, Gandhi l’a fait, je le fais, je pourrais même le faire encore plus rigoureusement.
    Tout cela a été abondement dit, écrit, répété depuis des années entr’autres par le rapport annuel du Worldwatch Institute – lisez le rapport de 1995 tout ça, changements climatiques, surpopulation, famines, migrations s’y trouve déjà ! On le sait.
    La presse belge répète que 33% de la population est touchée par le cancer et qu’on prévoit une augmentation de 75% d’ici 2030 … Qui va payer tout ça? Comment faire face à ce taux de population immobilisée dans les hôpitaux, qui ne sera plus productive mais dont les soins coutent de plus en plus cher…
    C’est la fuite en avant : on cherche des remèdes pour guérir le cancer au lieu de supprimer les causes du cancer. Et c’est ce qu’on fait dans tous les domaines: on essaye de soigner les conséquences au lieu d’attaquer les causes. On éponge avec tous les robinets ouverts… Eh bien, un jour ou l’autre on ne va plus savoir suivre et on va se noyer… alors qu’on aurait pu fermer les robinets.
    Ce que je trouve effarant c’est que les jeunes ne prennent pas les choses en main pour défendre leur futur.

  4. Posté par tmazzone le

    Cher Pierre,
    Je constate que vous n’avez pas lu attentivement l’article. Le problème de la population face à un espace vital relève du bon sens antique. Malthus n’a rien inventé à ce sujet. Vous nous suggérez de voter pour la décroissance. Là encore, vous n’avez pas lu l’article et comment, selon vous, décrète-t-on politiquement la décroissance? Que ferez-vous si vous limitez les importations et réduisez la production, mais que des migrants continuent à venir, comme en France, malgré la baisse claire du pouvoir d’achat? Ecopop est la seule option réaliste et les enjeux économiques sur le long terme ne sauraient être justifiés par l’économisme volatile. Que cela arrange aussi les « xéno-phobes » n’est pas un argument et la peur, il me semble qu’elle est surtout dans le camp des opposants! Quel désastre pour notre économie, nous dit-on! Tout au plus, nous sommes des patriotes cultivés, et la culture, c’est la seule vraie nourriture de l’homme d’esprit, pour le reste, il se contentera de ce qu’il a, du moment qu’on ne le pousse pas à l’absurde. Et l’absurde, c’est précisément prendre l’économie pour une fin en soi et, la limitation de l’immigration pour un désastre planétaire. Pour approfondir sur le sujet, je vous suggère cet article:
    http://www.lesobservateurs.ch/2014/10/23/mythologie-economique-quon-tentera-dopposer-ecopop/

    Bien à vous.

  5. Posté par Pierre le

    Vous êtes de sacrés illuminés en tout cas. Ce bon vieux Malthus. Non mais sérieux! A l’échelle du globe la suisse est minuscule. Vous voulez changer quelque chose qui ne peut l’être qu’à l’échelle globale. Voter oui ne nous sauvera pas. Vos idéaux moraux discutables au relent démagogique et limite xénophobes font peine à voir. Votons alors clairement sur la décroissance. Parce qu’en réalité c’est la conséquence de ce vote. Êtes-vous bien tous prêt à vivre avec moins? Pas sûr que tout le monde ici maitrise bien les enjeux. En terme économique en tout cas les conséquences seront très importantes. Mais bon peut-être faudra-t-il que des gens comme vous se brûlent les doigts pour comprendre. Je peine vraiment à conprendre où sont vos intérêts…

  6. Posté par Anne Lauwaert le

    C’est quand même pas sorcier: si 1 machine fait le travail de 100 personnes, il faut 100 personnes en moins. Or 1 seul ordinateur fait le travail de milliers de personnes , il faut donc des milliers de personnes en moins. En plus arrivent les robots ! d’ici à 2025 ils vont coûter 3 000 000 d’emplois en France
    et en plus il faut que l’économie dé-croisse et en plus arrivent des centaines de migrants

  7. Posté par Denis Garnier le

    L’association francophone Démographie Responsable soutient cette initiative pour plusieurs raisons.
    D’une part, la Suisse a déjà une densité de population (brute) quasiment du double de celle de la France. De plus, si l’on exclut du calcul les zones montagneuses inhabitables et inexploitables (sauf avec des stations de ski énergivores), et bien on passe aux alentours de 400 hab/km² ! La question du nombre de personnes appelées à vivre en Suisse doit donc être posée et ce 0,2% semble tout-à-fait raisonnable, puisque par comparaison cela ferait 128.000 personnes de plus par an pour la France.
    D’autre part, la proposition de l’affectation de 10% de l’aide suisse au développement à la Planification Familiale volontaire est une excellente chose. Elle figure d’ailleurs dans notre programme pour un pourcentage encore supérieur…
    http://demographie-responsable.org/

  8. Posté par Anne Lauwaert le

    Attention : il est possible que les adeptes des religions qui sont basées sur la bible soient contre la limitation des naissances (tout comme le Pape d’ailleurs) parce que il y a 5000 ans l’auteur de la Genèse a écrit « allez, soyez féconds, multipliez-vous et remplissez la terre »…

  9. Posté par john Simpson le

    Francis Richard devrait en prendre de la graine, il n’a de toute évidence pas le niveau…Bravo Monsieur Mazzone!

  10. Posté par Palador le

    Excellent article, tout est dit. Ne pas casser la machine comme l’a dit un élu PDC. Cette machine qui se résume à cette phrase simpliste: tant que je gagne je joue. Même si elle surchauffe, même si tout le monde sait qu’elle va fatalement exploser et que les dégâts seront énormes, on préfère ne rien changer. C’est dans l’esprit humain de vivre dans le présent et de se contenter d’une chose qui fonctionne, un peu comme le réchauffement climatique que plus personne ne peut nier, mais que la plupart des dirigeants de la planète ne veulent pas admettre ou feignent de l’ignorer. Le manque d’anticipation pour les politiques est souvent flagrant, on pourrait y voire comme une forme d’égoïsme vis à vis des générations futures. Moyenne d’âges des « maîtres du monde » plus de 60 ans. Jusqu’ ici tout va bien et si ça pète dans 20 ou 30 ans c’est pas mon problème je serais plus là. Après moi le déluge 🙂

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