Carlo Sommaruga dénonce un complot judéo-radical

Plus horripilant que jamais, le Conseiller national socialiste genevois s’est insurgé contre l’offense faite à l’un des caciques du parti, le ci-devant Jean Ziegler.

C'est chaque jour un peu plus de ce masque de respectabilité qui s'effrite et qui tombe.

La Suisse entière est au courant, la droite parlementaire s'est opposée à ce que la candidature du plus grand Tartuffe helvétique du XXe siècle, dans une énième de ces officine des Nations-Unies lourdement pensionnées qu'il affectionne tant, passe comme une lettre à la poste. Ou, du moins comme la lettre de la mission suisse à l'ONU, laquelle présentait le sociologue à la retraite, âgé de 80 ans:

"Comme expert renommé avec une excellente connaissance des droits économiques, sociaux et culturels",

allant même jusqu'à ajouter:

"Le professeur Jean Ziegler a toujours démontré une réelle indépendance d'esprit. C'est une personnalité qui a la capacité de promouvoir activement les droits humains à la fois dans la société civile et la communauté internationale."

Il est absolument navrant que la Mission ait ignoré la polémique Wikileaks attachée à la personnalité dont elle fait si bien le dithyrambe. Ladite lettre reste néanmoins symptomatique d'un Etat qui n'a plus eu à faire à Jean Ziegler depuis son départ du Conseil national en 1999. Le directeur exécutif du Programme alimentaire mondial (PAM), James T. Morris, qui l'a pratiqué bien plus récemment, est d'un tout autre avis, qui parle de lourde incompétence, sinon de mauvaise volonté, voire de franche hostilité.

 

La défense du PS

Le pire réside moins dans la personnalité de Jean Ziegler que dans les arguments employés pour le défendre, et Carlo Sommaruga y illustre à merveille cette Weltanschauung socialiste, où la morale et l'exactitude des faits ne doivent servir qu'à corriger la droite et jamais à confronter la gauche. La gauche règne, triomphante, elle est juste, elle est droite par essence.

C'est ainsi, juché sur la chaire de ses certitudes, que ce père du peuple genevois aux petits pieds fustigera la droite réactionnaire avec une éloquence dont la confondante maladresse permet de s'interroger sincèrement sur l'opportunité de continuer à présenter un semblable individu à des élections populaires. Que l'on nous comprenne bien, à droite, avec de semblables arguments, le fauteur eût été renvoyé de son parti séance tenante et il y a fort à parier qu'une plainte pénale fût venue sanctionner la pensée et le propos. A gauche, tout cela n'existe pas, ce cirque n'est que pour les gens de droite.

 

- Histoire

Face à Christian Lüscher, sur le Forum de la RTS (dès 05:40), Carlo Sommaruga donnera toute la mesure de l'idéologie qui sous-tend son action et son être:

"Ce qui s'est passé aujourd'hui en commission était pathétique et ridicule. On nous a sorti des citations relatives, effectivement, à la deuxième guerre mondiale et des récits de Jean Ziegler sur la deuxième guerre mondiale, on nous a indiqué les condamnations qu'il a eues pour calomnies ou, je ne sais plus, pour atteinte à l'honneur dans ses livres, les premiers livres sur La Suisse lave plus blanc, ou je ne sais quel autre livre qu'il avait écrit à ce propos, alors même que, finalement, l'histoire lui a donné raison sur ces matières-là."

Le fait que la Suisse ait finalement cédé sous les coups de boutoirs d'une gauche insurgée contre toute idée de souveraineté bancaire ne saurait disculper Jean Ziegler des procédés hautement attentatoires publiés 23 ans avant les faits que nous vivons aujourd'hui. Pour ce qui est de la deuxième guerre, Jean Ziegler déclarait, en 1998, au Parlement:

"Nous [les Suisses, ndlr] avons refoulé 100 000 réfugiés juifs aux frontières de la Suisse, pour les envoyer directement à la mort."

En 2002, le rapport de la Commission Bergier ramenait ce chiffre à 24 000, soit quatre fois inférieur, et, en 2013, l’historien et président de la fédération des Fils et Filles de Déportés Juifs de France Serge Klarsfeld, qui semble être le premier à s'être inquiété de la nécessité de l'étude matérielle de sources historiques - méthodologie sciemment écartée par la Commission Bergier - annonçait le nombre de 3 000 refoulés, contestant en outre que ceux-ci aient tous été systématiquement "envoyés directement à la mort." Il semble alors que, contrairement à ce qu'affirme Carlo Sommaruga, l'histoire, la vraie, se soit employée à donner tort à M. Ziegler.

 

- Compétences

"Ce qui est important, continue Carlo Sommaruga, c'est qu'il n'y a eu aucune critique qui a pu être faite sur ses fonctions, que ce soit comme rapporteur spécial sur la faim dans le monde. D'ailleurs, il n'y a pas eu aujourd'hui, en commission, de critiques à ce propos et il n'y a pas eu non plus de critiques par rapport à sa fonction d'expert qu'il a déjà assumée pendant deux périodes au sein de ce comité consultatif."

A tout hasard, citons tout de même le câble confidentiel du directeur exécutif du Programme alimentaire mondial, James T. Morris, au secrétaire général Kofi Annan, révélé il y a peu par Wikileaks:

"Cher M. le secrétaire général, sachant à quel point votre temps est précieux, je regrette d'avoir à vous importuner avec cette question, mais depuis mon arrivée au Programme alimentaire mondial, j'ai suivi avec une certaine inquiétude les déclarations publiques de Jean Ziegler, rapporteur spécial sur le droit à l'alimentation.

J'ai été particulièrement troublé par la dépêche de l'agence Reuters qui donne l'impression que M. Ziegler parle au nom de l'organisation des Nations-Unies. Vous noterez, dans le texte, que M. Ziegler a attaqué la position des Nations-Unies et les vues du directeur général de l'Organisation mondiale de la santé sur les aliments génétiquement modifiés et qu'il l'a fait sans citer aucune autorité scientifique, étude ou rapport. L'équipe du Programme alimentaire mondial à Genève s'est assurée auprès de lui que la substance de la dépêche de l'agence Reuters était exacte et n'avait pas été tronquée. 

La dernière chose dont nous avons besoin maintenant en Afrique du sud [zone de mission du directeur Morris, ndlr] - ou où que ce soit d'autre - est bien d'une personne faisant usage de ses qualités de sociologue et de juriste pour se prononcer sur les compétences scientifiques de l'Organisation mondiale de la santé ou tout autre organisation de l'ONU qui a étudié la question des aliments OGM avec soin et continuera de le faire.

Il est particulièrement troublant que les médias associent directement ces points de vue avec les Nations-Unies. M. Ziegler pense-t-il sérieusement que, si les OGM sont exclus de l'aide alimentaire, plus personne ne souffrira de la faim, alors que près de 70% des aliments fournis à l'aide alimentaire globale vient de pays où le maïs et le soja sont très souvent des OGM et où 60 à 70% des aliments transformés contiennent des technologies biologiques (Biotech) ? 

Ce n'est pas la première déclaration publique de M. Ziegler à rendre les choses plus difficiles pour le Programme alimentaire mondial dans l'accomplissement de sa mission au service des Affamés et à celui de leur droit à l'alimentation en situation d'urgence. Mon prédécesseur, Mme Catherine Bertini, vous a déjà écrit quant à ses déclarations promouvant l'idée que laide alimentaire était détournée par l'armée, provoquant de fait le retrait de l'aide d'ONG, telles que Médecins sans frontières, de la Corée du nord parce que le gouvernement refusait d'accorder un accès complet de tout le territoire aux travailleurs humanitaires. Eh bien, nous convenons que le plein accès doit rester l'objectif commun de toutes les organisations humanitaires en Corée du nord, mais jouer sur la politique avec l'aide est profondément immoral. Suspendre l'approvisionnement de nourriture et de médicaments à des personnes dans le besoin en raison des actions d'un régime est inadmissible

La politique peut aider ou entraver les efforts consentis pour que les gens aient accès à la nourriture. Je dirais que la volonté clairement polémique de la manoeuvre politique jouée par M. Ziegler a eu un impact négatif sur la vie des Affamés. Les donateurs se sont certainement interrogés sur le Programme alimentaire mondial après ses interventions sur la Corée du nord et l'Afrique du sud. 

Dans les faits, comme vous le savez, nous continuons à avoir des difficultés à lever des fonds pour la Corée du nord et avons été récemment forcés de couper les rations de 3 millions d'enfants et de personnes âgées.

Je voudrais également attirer votre attention sur un autre communiqué de l'agence Interpress. Alors que nous avons apprécié son compliment au Programme alimentaire mondial et ne sommes pas en désaccord avec plusieurs points qu'expose ce communiqué, M. Ziegler croit-il que ses attaques répétées contre les institutions de Bretton Woods et les multinationales vont encourager celles-ci à coopérer avec les Nations-Unies pour promouvoir le droit à l'alimentation ? Ses prises de position publiques et les rapports qu'il a soumis à l'Assemblée générale font montre d'un manque sérieux de compréhension de l'économie et des détails de la situation alimentaire dans les domaines qu'il prétend analyser en lieu et place du Haut-commissaire

J'ai transmis copie de cette lettre au Haut commissaire Sergio de Mello pour examen. J'espère que vous voudrez bien considérer l'éventualité de discuter de cette question avec lui. Il y a tellement de personnes talentueuses, responsables, et humaines qui pourraient faire un excellent travail au poste de rapporteur spécial du droit à l'alimentation. L'institut de recherche alimentaire international et les grandes universités comptent nombre d'experts qui comprennent la complexité des questions de sécurité alimentaire et dont les carrières ont démontré un engagement - non pas à fins de publicité, mais pour trouver des solutions au problème chronique de la faim qui continue d'affliger la vie de tant de pauvres gens dans le monde. 

Sincèrement, James Morris, Directeur exécutif du PAM."

Le câble est encore accompagné de ce commentaire:

"Jean-Jacques Graisse, directeur exécutif adjoint du PAM a rencontré de manière informelle le Haut commissaire Sergio de Mello à propos du «problème» Ziegler. De Mello aurait exprimé sa considérable exaspération à l'endroit de Ziegler, disant que l'homme lui avait pris la moitié de son temps depuis son entrée en poste, à ne rien faire sinon blâmer les Etats membres pour l'avoir choisi lui [de Mello, ndlr]. La mission américaine souscrit pleinement à la position prise par le directeur exécutif cité ci-dessus."

N'en déplaise à M. Sommaruga, il s'agit bien d'une critique.

 

- Complot juif

Qu'à cela ne tienne, le socialiste continue:

"Au niveau extérieur, qu'est-ce qu'on constate ? On constate que la polémique est devenue publique à partir du moment où une organisation comme UN Watch, qui est une organisation, il faut le savoir, proche d'Israël et des Etats-Unis, a lancé la polémique là autour, relayée par le PLR, par Weiss et M. Lüscher."

Imaginons une seule seconde ce genre de propos et cette vision complotiste et paranoïaque dans la bouche d'un homme de droite, Freysinger par exemple, sa carrière serait finie; on est bien au-delà d'un drapeau de la marine de Guillaume II punaisé au plafond d'un carnotzet. Notez que Pierre Weiss n'a pas droit à la qualité de "Monsieur", il est l'ennemi.

 

- Divers

Le reste est du même tonneau, Carlo Sommaruga dénonce le fait que la Suisse soit si sensible aux pressions de l'extérieur. De la part d'un parti qui, ces dernières décennies, s'est pratiquement fait une religion de la critique des Etats étrangers et de la primauté du droit international comme principal outil de fracturation de la politique intérieure, la chose peut surprendre, sinon amuser.

Infatué de certitudes, il ira même jusqu'à reprocher à Christian Lüscher, "s'il me permet d'en placer une" (09:20), de chercher à faire une "tempête dans un verre d'eau":

"Parce que vous deviez occuper médiatiquement l'espace politique cet été."

C'est bien le comble, à ce tarif, M. Sommaruga devra nous expliquer ce qu'il faisait dans la Tribune de Genève pour raconter ses vacances dans les annexes de l'ambassade d'Equateur à Londres.

 

- Mémoire de gauche

Dernier point essentiel à la compréhension de l'esprit qui habite l'âme tourmentée du député socialiste, la qualification de la mémoire. Les erreurs, impénitentes, du passé ne sont la preuve de rien:

"Aujourd'hui, dans un esprit quelque peu revanchard, sur des arguments qui sont des arguments qui remontent à il y a trente, voire quarante ans, on a voulu sanctionner Jean Ziegler."

La transcription du câble ci-dessus tendrait plutôt à montrer que ses fautes les plus spectaculaires ne sont pas les plus anciennes, mais passons.

La surprise viendra du journaliste de garde qui, une fois n'est pas coutume, posera une question à contre-courant de la docilité qui prévaut d'ordinaire face à un représentant de la gauche politique:

"Si une personne s'était présentée, par exemple, et que cette personne avait, il y a une trentaine d'années, soutenu Pinochet ou Franco, est-ce que, là aussi, il y aurait un droit à l'oubli ? Parce que Mugabe, Khadafi, ose-t-il encore, c'est aussi un beau tableau de chasse."

Il eût été plus juste de parler, en l'occurrence, de joli carnet de bal. Bref, en d'autres termes, y a-t-il une équivalence à gauche de ce que l'on fait subir à la droite depuis la fin de la seconde guerre mondiale ? La question méritait d'être posée, elle l'aura été une fois, on peut mourir tranquille.

La réponse de Carlo Sommaruga est à graver dans le marbre, à l'époque... c'était juste:

"Je pense que la question c'est que les appuis qui ont été amenés par Ziegler, et qu'aujourd'hui on peut aussi contester, ce sont des appuis qui sont intervenus lorsque ces leaders, dans leur pays [...], étaient, à un moment donné, dans une perspective de décolonisation et autre. Ensuite, il y a eu des dérives autoritaires. Mais il y a aussi eu des critiques par rapport à ces leaders. Ce n'est pas parce que vous êtes, au début, un ami de leaders qui, ensuite, deviennent anti-démocratiques [interrompu par le journaliste]."

C'est vrai ça, comment imaginer un seul instant qu'un militaire professant des idées radicalement socialistes et promettant de passer ses opposants par le fil de l'épée, et qui s'exécute en effet pour se hisser au pouvoir sur des monceaux de cadavres, puisse s'avérer être un jour anti-démocratique ? Comme c'est facile, la décolonisation, une idée de gauche, justifiait tous les crimes. Quand, 40 années plus tard, la mémoire des victimes crie vers le ciel, on ne pouvait pas savoir, on n'est pas responsable, on ne l'est d'ailleurs jamais.

Quand Carlo Sommaruga, lors du coup d'Etat au Nicaragua, part se mettre au service des Brigades du travail de la junte militaire sandiniste, celle des escadrons de la mort et des 8 000 exécutions politiques durant les trois première années de la Révolution - au moment même où il est sur place - celle des 20 000 prisonniers politiques (1), celle du goulag de Las Tejas, des camps de la faim, des dissidents écorchés vifs avant leur exécution ou soumis au supplice de la corte de cruz, méthode qui consistait à leur trancher les membres et à les laisser se vider de leur sang (2), tout cela, forcément, est bel et bon.

Carlo Sommaruga n'a pas pu ne pas voir, ne pas savoir.

Mais il a fait un saut par Cuba avant de revenir en Suisse nous prêcher la bonne parole, tout cela était justifié par la décolonisation, il fallait combattre Reagan, l'impérialisme américain, etc. Comme toujours, ce n'est qu'après que la vérité a fait jour, pour Carlo Sommaruga, c'est le moment où la vérité a... "changé".

Toutes les références idéologiques de gauche sont à géométrie variable, la seule constante, c'est l'attaque de la droite, la seule vérité, la nécessité de l'instant. A gauche, la morale politique, c'est ça, rien d'autre.

 

Forum RTS 20.08.2013

 

(1) Pascal Fontaine, “Nicaragua: The Failure of a Totalitarian Project,” in The Black Book of Communism. Crimes, Terror, Repression, (London: Harvard University Press, 1999), pp. 665-675.

(2) Idem, p. 672 et J. Michael Waller, “Tropical Chekists: The Sandinista Secret Police Legacy in Nicaragua,” Demokratizatsiya: The Journal of Post-Soviet Democratization, (Summer 2004).

5 commentaires

  1. Posté par G. Vuilliomenet le

    APPEL URGENT – APPEL URGENT – APPEL URGENT

    Urgent : jeune palestinienne mise à mort – appel aux militants pro-palestiniens

    http://www.dreuz.info/2013/09/urgent-jeune-palestinienne-mise-a-mort-appel-aux-militants-pro-palestiniens/

    Tous les amis de la Palestine sont appelés à aider cette jeune fille à échapper à la mort.
    Je souhaite que carlo sommaruga se manifeste très rapidement, aussi rapidement que lorsque les Israéliens commettent des « crimes » à l’encontre des populations palestiniennes.

    MERCI D’AVANCE CARLO

  2. Posté par certeny le

    Comme vous le dites si bien… Carlo Sommaruga, …un attardé ! …triste constat.

  3. Posté par Le pragmatique le

    Moi, ce qui m’épate chez cet [censuré] intellectuel, c’est la façon dont une bonne partie de sa vie il a été payé par les administrations publiques pour systématiquement dénigrer la Suisse. Et ce qu’on pourrait à ce titre l’inscrire dans le guiness book ?
    Une consolation à 80 ans : nous avons un nuisible qui ne va pas tarder à se désactiver.

  4. Posté par G. Vuilliomenet le

    Voici une histoire qui va lui plaire et le faire rire … jaune surtout. Dommage que ce genre d’article ne paraît pas dans notre presse mainstream helvétique. Il serait temps que ceux qui votent pour ce personnage sache qui il est réellement.

    Il y a toujours cette question qui me taraude. Pourquoi notre charlot genevois ne voit aucun inconvénient à serrer les mains d’adeptes d’un islam radical, je pense entre autre à l’ineffable hani ramadan (Frère musulman soutenant ses Frères Musulmans d’Egypte), sans oublier un obscur parlementaire du Hamas qui, tout le monde le savait sauf charlot exceptionnellement, a dans sa charte un article appelant à la destruction de l’Etat d’Israël Pourtant, je suis persuadé qu’il connaissait le contenu de cette charte, et ses démentis ne me feront pas changer d’avis. Il serait étonnant que ce triste personnage n’ait jamais entendu parlé de ce détail, tout le monde serait au courant, sauf lui? A d’autres. Nous savons que ces frères musulmans, comme hani ramadan exècre la Démocratie et la Liberté, et combien de fois avons-nous pu l’entendre claironner qu’il ne reconnaissait que la loi d’allah? Peut-être que sieur sommaruga ne reconnaît également que la loi d’allah, à moins qu’il ne se serve de ses affinités pour l’étranger que par calcul électoral, tout en sachant que plus on accepte de pauvres dans ce pays, plus le PS peut avoir des soutiens.

    Je me demande pourquoi au PS, on continue de conserver un marxiste soixantehuitard attardé? Peut-être que finalement, il le vaut bien? 🙂

    Quant à JZ, nous sommes de plus en plus nombreux à savoir comment cet autre sinistre magouille l’Histoire, comme tout bon gauchiste digne de ce nom d’ailleurs. Dans un de ses derniers ouvrages, ce personnage a surtout montré ce qu’était la Civilisation occidentale et des « crimes » qu’elle a perpétué dans les territoires conquis, se gardant bien de cacher l’Histoire de ses petits amis et de leurs aïeux qui ont fait pire.

    Espérons juste que ce genre de personnages rejoindront les poubelles de l’Histoire.

Et vous, qu'en pensez vous ?

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