Cannes récompense l’apologie du lesbianisme avec une mineure

La vie d’Adèle, Chapitre 1 et 2, d’Abdellatif Kechiche, vient de remporter la Palme d’or du Festival de Cannes 2013. En plein débat français sur la dénaturation du mariage, qui suit lui-même une offensive commencée il y a plusieurs décennies pour banaliser et normaliser le comportement homosexuel, le jury que présidait cette année Steven Spielberg récompense donc un porno lesbien de trois heures mettant en scène une mineure (dans le film)

 

La vie d’Adèle, Chapitre 1 et 2, d’Abdellatif Kechiche, vient de remporter la Palme d’or du Festival de Cannes 2013. En plein débat français sur la dénaturation du mariage, qui suit lui-même une offensive commencée il y a plusieurs décennies pour banaliser et normaliser le comportement homosexuel, le jury que présidait cette année Steven Spielberg récompense donc un porno lesbien de trois heures mettant en scène une mineure (dans le film). Un hasard, sans aucun doute ! Quant au réalisateur franco-tunisien, il ose dédier son film à la jeunesse tunisienne. On espère pour la Tunisie qu’elle vaut un petit mieux que Léa Seydoux, qui a commencé en 2005 dans Mes Copines (l’histoire de lycéennes, mineures, obsédées par l’idée d’avoir… un orgasme) et qui a bien compris que montrer son c… est, au cinéma, encore plus efficace que coucher. Pas de doute, Adèle Exarchopoulos est à la bonne école ! Pour revenir à Abdellatif Kechiche, il a osé affirmer qu’« (il n’avait) pas eu envie de faire un film militant ou avec un discours sur un thème précis, ici en l’occurrence l’homosexualité ». Mais ajoute immédiatement après avoir voulu « raconter l’histoire d’un couple, du couple ». Étonnant quand on sait qu’un couple, sauf du point de vue des militants LGBT, c’est un homme et une femme ! « La problématique de l’homosexualité, je ne voyais pas pour quelles raisons je l’aborderais spécialement, car la meilleure façon, si je devais avoir un discours sur ce sujet, ce serait de ne pas en avoir, de filmer cela comme n’importe quelle histoire d’amour », affirme-t-il par ailleurs, à peine militant comme chacun peut constater… Le réalisateur a laissé des souvenirs mitigés à son équipe de tournage qui relève ses caprices, son manque d’organisation et de respect pour les techniciens ainsi que les règles du droit social français. Le tout Cannes a les yeux béats d’admiration.

Source article du 27 mai 2013 par Eric Martin, ndf.fr, Poing de vue

 

4 commentaires

  1. Posté par Géo le

    « Le tout Cannes a les yeux béats d’admiration. » Sans parler des critiques cinéma de la RTS, qui n’en peuvent plus, et qui s’en étonnera ? Cela dit, les commentaires de l’auteur de la BD mise en film, Julie Maroh, valent leur besant de graines de cigüe. Les scènes de sexe – six minutes sans commentaires…! – sont dignes du porno :
     » un étalage brutal et chirurgical, démonstratif et froid de sexe dit lesbien, qui tourne au porn et qui m’a mise très mal à l’aise… »

  2. Posté par Pierre-Henri Reymond le

    Je ne crois pas, Cain, qu’un lien puisse être établi entre homosexualité et pédophilie. Un religieux a fait scandale en affirmant que 95% des homosexuels éteint pervers. Il a omis l’essentiel! C’est que la perversité s’exprime dans toutes les expressions possibles de la sexualité. Cela dit la pédophilie, puisque on l’ainsi nomme, est une perversion. Les pères mangent les raisins verts!

  3. Posté par Pierre-Henri Reymond le

    Voici l’occasion d’aborder ce sujet, pointu! Cette engeance commence à me les briser menu! Quelle engeance? Pas ceux que je me refuse à étiqueter, non! Mais ceux qui fabriquent une cause désespérée au service de visées pour le moins obscures. Ceux qui me taxent de phobie coupable! Ceux qui, telle une péronnelle, affiche sa fierté d’assister au premier mariage OMO l’avenue blanc. Ceux qui affichent des « couples » niais, se bécotant comme des amoureux de Peney! Oui, cette engeance m’incite à la haine, à la détestation. Elle jette le discrédit sur des personnes que j’estime et affectionne!
    Mais je dois revenir sur ma dernière lecture, que j’ai mentionnée dans une autre rubrique. Celle « du monde d’hier » de Stefan Zweig. Lequel décrit une situation analogue à ce que nous vivons aujourd’hui! Ou les filles se flattaient de n’être plus vierges, ou de ressembler à des garçons. Et les garçons de ressembler aux filles. C’est effarant! C’était entre deux guerres. Hier?

  4. Posté par Cain_Marchenoir le

    Notez bien que cela permet de mettre en évidence le lien qui pourrait bien exister entre homosexualité et pédophilie…

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