6 commentaires

  1. Posté par Humour Humour le

    Et moi je combat la grossophilie ! Cessez de vous goinfrer , merde ! Y en a qui crèvent de faim !

  2. Posté par Renaud le

    Je suis phobophobophobe.
    Plus clairement, j’ai peur de ceux qui ont peur des phobies.
    Notre drame de Paris peut faire quelque chose pour moi ou je dois m’adresser à Lourdes?

  3. Posté par Panache l'Écureuil le

    « grossophobie »: ils ont vraiment dû se surpasser pour trouver le mot le plus laid possible.
    A la place, Vautrin propose à juste titre le mot « stéatophobie ». On peut aussi suggérer le synonyme « lipophobie » (<gr. lipos = graisse).

    Jean Bouffartigue & Anne-Marie Delrieu:
    Trésors des racines grecques
    # éditions Belin, collection "Le français retrouvé".
    En 4ème de couverture:
    "Connaître les racines grecques, c'est posséder un trésor, c'est pénétrer aux sources d'une multitude de mots du français courant ou spécialisé. C'est aussi comprendre COMMENT SE CRÉENT LES MOTS NOUVEAUX QUI ENRICHISSENT chaque jour notre vocabulaire".
    Dans la même collection on trouve quelques dizaines d'autres livres. Par exemple:
    Trésors des racines latines * Les mots latins du français * Aux sources des chansons populaires * Les expressions bibliques et mythologiques * Les mots de la religion chrétienne * Dictons des bêtes, des plantes et des saisons * etc, etc.

  4. Posté par Gabrielle le

    Fallait trouver une occupation mentale pour les « sans-dents » peuplant Paris… Bingo ! après « balance ton porc » (mais pas musulman car si c’est le cas c’est du racisme, hein…) la grossophobie ! De quoi occuper l’esprit des très cons…tribuables pendant que les revendications, agressions et invasions islamistes poursuivent le plan accepté et défendu par l’association de malfaiteurs islamo-gauchistes. Bordel !!! Personne pour sonner le réveil ???

  5. Posté par Vautrin le

    Une fois de plus, les propagandistes de Hidalgo sont des ignorants. Ce n’est pas de « grossophobie » qu’il s’agit -leur « mot » est une idiotie linguistique- mais de « stéatophobie ». Et puis qui a peur des gros (-phobia) ? Ridicule ! Il est vrai qu’à l’ère de l’écrÉTINure incluvise, les monstres linguistiques pullulent. Maintenant, il est vrai que les canons d’une esthétique mercantile évitent les personnes corpulentes : ça ne fait pas vendre. On préfère les androgynes anorexiques. Au XIXe siècle, l’embonpoint était une marque de richesse. Aujourd’hui, c’est une marque de mal-bouffe, mais ça on ne le dit pas, ce n’est pas politiquement correct. Bref : tout fait ventre.

  6. Posté par Nicolas le

    A Paris, on lustre les trottoirs pour les moukères.

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