Le délit de consultation de sites djihadistes a été censuré ce vendredi par le Conseil constitutionnel. Les Sages estiment qu’il portent une atteinte disproportionnée à la liberté de communication.
Pour la seconde fois en moins d’un an, le Conseil constitutionnel a censuré, ce vendredi, le texte de loi réprimant la consultation habituelle de sites djihadistes. Pour les Sages, cette mesure prise au nom de la lutte antiterroriste porte atteinte à la liberté de communication.
Le texte avait déjà été censuré une première fois par le Conseil constitutionnel le 10 février 2017 avant d’être rétabli dans la loi 18 jours plus tard par le Parlement dans une version modifiée.
L’article incriminé sanctionnait de « deux ans de prison et de 30 000 euros d’amende le fait de consulter de manière habituelle, sans motif légitime, un service de communication au public en ligne faisant l’apologie ou provoquant à la commission d’actes de terrorisme et comportant des images ou représentations d’atteintes volontaires à la vie ». (…)
www.lexpress.fr via Fdesouche.com
conseil constitutionnel de mes deux….. un site prônant le djihad ne doit pas pouvoir être consulté du tout .
Trop d’humanité finira par tuer l’humanité .
Comment peuvent-ils être aussi cons ?
A mon avis, une autopsie des membres de ce « conseil » permettrait de comprendre des choses et de faire avancer la science.
A mon avis c’est une bonne chose !!! ceux qui ont commis des meutres vont apparaitre sur toute la planete ….beaucoup vont devoir compter leurs abbatis (ne croyez pas que du coté de la syrie il n’y ait pas des freres et des parents pour crier vengeance et qui se serviront de ces sites pour les rechercher)
Et une trahison de plus ! Le conseil constitutionnel est islamo-collabo, ce n’est pas nouveau. Le gros problème est qu’en fait le Parlement n’a plus le pouvoir législatif, ce sont les scribouillards de l’officine non élue appelée conseil d’état qui la font et qui pilotent le conseil constitutionnel. Il faudra un jour dresser les bois de justice devant ces repaires de fascistes.
Bref : une victoire de plus pour l’ennemi, grâce aux traîtres.