« Maman s’occupe d’un migrant alors qu’elle ne s’est jamais occupée de nous »

Le témoignage poignant d’un jeune homme

14/12/2017 – 05h45 Vannes (Breizh-info.com) – C’est un témoignage poignant que nous vous livrons ci-dessous, suite à notre conversation avec Antoine (prénom modifié car il souhaite conserver l’anonymat et ne pas mettre encore plus de tension dans sa famille). Ce dernier, dans une longue conversation que nous avons eue avec lui, révèle toute la fracture qu’il peut exister entre la jeune génération d’aujourd’hui et celle de ses parents, notamment sur la question des migrants.

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14 commentaires

  1. Posté par Dupond le

    J’ai connu ça avec la mienne ……Ce sont des grosses salopes ,et ce qui les interesse ce n’est pas l’amour maternel c’est la bite . La mienne veut recoler les morceaux car elle a bouffer avec les clandos ce que ses parents lui avaient laissé et ma réponse a été cinglante « c’est quand j’avai cinq ans que j’avai besoin de toi …mais là tu cherchais le marlou ;alors bye »

  2. Posté par Marie-France le

    « Tel philosophe aime les Tartares pour être dispensé d’aimer ses voisins »

  3. Posté par Charles Alexis le

    Et si tout ce bla-bla humanitaire de soixante-huitarde n’était qu’un prétexte et cachait, en réalité, de bien moins avouables envies, autant turgescentes que migrantes ?
    On suppose la réponse :
    « Oui, c’est bien possible …… mais pas Maman ! »

  4. Posté par leu fro le

    D’abord elle est partie pour obtenir du gili gili, elle n’en obtenait pas assez ici. Et maintenant elle fait partie des mondialistes qui detruisent notre continent à vitesse grand V.

  5. Posté par PETIT madeleine le

    je plains sincèrement ce jeune homme…née en 1950, 18 ans en mai 68, fille d’un ouvrier et d’une femme de ménage, mon enfance n’a pas été toujours rose, mais je n’ai pas adhéré aux idées de mai 68 ; j’ai assisté en tant que spectatrice à des manifestations très violentes aux portes des usine PEUGEOT à SOCHAUX, et ce que j’ai vu m’a dégoûté de la Gauche :
    des CRS impassibles ruisselants sous les crachats d’une multitude de voyous de la région , on dirait maintenant « défavorablement connus des services de police » , auxquels se mêlaient des fils de bourges , convaincus de leur impunité « car papa fréquente le député » !!
    Sa mère représente le summum de l’imbécilité , qu’il s’en éloigne définitivement , il s’en portera mieux …

  6. Posté par Daniel le

    Bon courage jeune homme! On apprend parfois bien des choses de ses malheurs et on peut même en sortir plus grand. Je pense que ce garçon devrait penser dorénavant à son avenir et bien se rendre compte qu’il n’est en rien définis par ses parents. Je crois que l’on est tous plus ou moins nostalgiques d’un passé ou d’une enfance qu’on aurait désirés autrement. C’est normal. Dans la vie il faut éviter les gens radioactifs. Ne vous approchez jamais d’eux et coupez tous les ponts si nécessaire. Ils sont une perte de temps et d’énergie considérable. Même si ce sont vos parents. Construisez un futur avec des gens qui en valent vraiment la peine, ne pas jeter ses perles aux cochons a été une règle d’or dans ma vie et je me suis évité bien des problèmes et surtout de perdre du temps inutilement.

  7. Posté par Claire le

    La bobo-gaucho soixante huitarde dans toute sa splendeur, qui a donné naissance à la doxa actuelle: « les autres avant les nôtres ». La haine de la famille, la haine de soi, de sa culture, de sa civilisation, de la religion qui a forgé son propre pays même si on n’y adhère pas forcément, tout cela en faveur de l’allogène de préférence africain et musulman. Cette femme est une vraie caricature. Heureusement mai 1968 a aussi eu pour effet de produire de fortes réactions contre cette idéologie vantée par la caste politico-médiatique. Il semblerait que le vent commence à tourner, même s’il est bien tard.

  8. Posté par Marcassin le

    Elle a bien appris la leçon : les autres avant les nôtres.

  9. Posté par hausmann. conrad le

    Pure supposition :Une Dame de forte taille qui aime à se faire reluire par des migrants. Je connais plusieurs femmes qui vont en Afrique dans ce but. Alors si l’Afrique vient ici c’est encore plus simple!

  10. Posté par Sergio le

    Décidément, l’idéologie de gauche fait les mêmes ravages que l’islam, elle rend fou.

  11. Posté par Hexgradior le

    Voilà le résultat de l’idéologie progressiste où tout a été fait pour briser les familles. Madame préfère s’occuper des exotiques plutôt que de ses propres enfants et bien que cette afro-centriste retourne en Afrique et que surtout elle y reste…

  12. Posté par Aude le

    C’est un cas qui relève de la psychiatrie. Une génitrice sur le tard qui abandonne la chair de sa chair pour faire de l’humanitaire, sans blague.
    Elle a fui ses problèmes le plus loin possible. Elle n’est pas Mère Theresa, loin du compte.
    Et qui plus est, certains de ces humanitaires sont très bien payés (argent du pays d’origine) dépensent très peu sur place ( différence du coût de vie) ont des retraites cousues et reviennent au pays en VIP.
    Très dommage pour les enfants néanmoins ils sauront construire une famille aimante.
    Quand à la triste bécasse elle risque de vivre une vieillesse en solitaire et réclamera de ses propres enfants ce qu’elle n’a pas su donner. Elle aura alors la monnaie de sa pièce.
    Ce comportement est pure frustration ou narcissisme sans borne.

  13. Posté par Antoine le

    Le Monde et la Vie sont sans pitié !
    Des personnes très bien éduquées et bien dans leur peau peuvent tout à coup avoir des lubies.
    Mai ’68 a pour moi, des relents de gaz lacrymogènes, de grèves et de mouvements contestataires. Avec le recul, cela a permis quelques améliorations sensibles dans la vie des femmes.

  14. Posté par Vautrin le

    Triste ! Et bien révélateur de la pourriture idéologique de cette génération de soixante-huitards décadents. Tous ceux de cette génération, je veux dire par l’année de naissance, ne sont heureusement pas comme cela. Né en 1949, l’an 68 n’a pour moi duré qu’un mois, le temps de comprendre que c’était une absurdité et d’en combattre les idées. Il en va de même pour beaucoup de mes condisciples d’alors. Mais il est indubitable qu’il s’est constitué une caste de minus habens intellectuels qui ont été combattants de toutes les mauvaises causes, révérant l’Autre Suprême sans voir sa paresse, ses turpitudes, ses mœurs indéfendables, sa dangerosité. Cette caste continue à méfaire, et même s’il est de la génération suivante, l’ersatz de Jupiter qui sévit à l’Élysée est empoisonné par cette idéologie.
    Je plains ce garçon qui a conté à Breizh-Info son malheur. Il a eu une génitrice tardive, mais il a été privé de mère.

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