Nous utilisons des technologies telles que les cookies pour stocker et/ou accéder aux informations relatives aux appareils. Nous le faisons pour améliorer l’expérience de navigation et pour afficher des publicités (non-)personnalisées. Consentir à ces technologies nous autorisera à traiter des données telles que le comportement de navigation ou les ID uniques sur ce site. Le fait de ne pas consentir ou de retirer son consentement peut avoir un effet négatif sur certaines fonctonnalités et caractéristiques.
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’internaute, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou la personne utilisant le service.
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques.
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’internautes afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’internaute sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Buisson défonce une porte ouverte. On sait, depuis les travaux de l’historien Reynald Secher (voir par exemple « La Vendée-Vengé ») que la Vendée a été un laboratoire de la convention (pas de majuscule pour cette abomination) pour expérimenter des techniques de génocide en masse. On a longtemps essayé de taire les faits, les « républiques » évitaient soigneusement d’en parler, et Thiers fut le fondateur de l’école admirative de la Terreur. Même lors de la ridicule célébration du bicentenaire, en 1989, il avait été décidé de taire l’ethnocide vendéen. Quant à Clemenceau, le « père la victoire » qui a saboté le Traité de Versailles (on en a vu les conséquences par la suite !) il braillait à la tribune : » que nous le voulions ou non, que cela nous plaise ou que cela nous choque, la Révolution française est un bloc… un bloc dont on ne peut rien distraire… parce que la vérité historique ne le permet pas. » La révolution a du sang sur les mains. Lénine, grand exterminateur, n’eut de cesse de s’y référer. Ce fut réellement un laboratoire pour tous les régimes totalitaires ethnocidaires du XXe siècle. S’il y a quelque chose dont la mémoire collective devrait avoir honte, ce ne sont ni des Croisades, ni de la Traite, ni de la Colonisation, c’est de la convention et de son cortège sanglant. Heureusement, malgré le soin porté à détruire les documents, il en subsiste suffisamment pour porter les monstres du comité de salut public devant le tribunal de l’Histoire.