Genève accueille massivement des jeunes frontaliers de France dans ses écoles et ploie sous le nombre

Le Conseil d’Etat veut limiter le nombre d’enfants non-résidents dans les écoles. Cette mesure lui permettra d'économiser 3,4 millions de francs.

Fin 2016, l'école primaire et le cycle (CO) accueillaient 1502 élèves résidant en France. En 2015, ils étaient 1393. Des chiffres en constante augmentation.

Des parents frontaliers nous ont expliqué avoir d'abord choisi la Suisse pour des questions pratiques, notamment de trajets. La distance entre le lycée et le domicile revient aussi, tout comme la qualité de l'enseignement, jugée par beaucoup meilleure en Suisse après 15 ans.

(...)

Source et article complet

 

13 commentaires

  1. Posté par Valérie le

    Etant Suissesse mais ne pouvant vivre en CH en raison de l’emploi de mon mari, je travaille néanmoins sur Genève et j’y paie mes impôts (impôts à la source pour la frontalière que je suis devenue). De coup je ne vois pas où est le problème et J’ESPERE vraiment pouvoir mettre mes enfants à l’école en CH à l’avenir!

  2. Posté par Socrate@LasVegas le

    Vivement la fin de Schengen qu’on y voit plus clair…ça suffit de vouloir gagner sur les 2 tableaux!

  3. Posté par Rault le

    Enfant français résident en France un des parents vie à geneve l enfant peut il aller à l école en Suisse même si sa résidence principale est en France

  4. Posté par JeanDa le

    Pourquoi manque-t-il les icônes du bon sens aux genevois ?

  5. Posté par hausmann. conrad le

    Encore une brillante idée sur le « grand-genève » faire payer le contribuable genevois ,l’école,le CEVA, les parking des frontarliers etc. C’est vrai Genève est dirigée par des Génies en économie!

  6. Posté par Fanny Flibustier le

    En tant que Suisses, nous avons fait construire en France, de braves frontaliers finalement avec des enfants scolarisés en France. Nous avons vendu notre maison il y a deux ans, sommes revenus à Genève, en grande partie pour la scolarité des deux ados. Pas de regret, la scolarité en tous les cas post-obligatoire est meilleure en Suisse, ce sont nos ados qui le disent donc de source fiable et directe. Aucun remord ni regret d’avoir quitté le pays voisin.

  7. Posté par Yolande C.H. le

    Logements trop chers et en nombre insuffisant à Genève (pas que): plus la demande est forte (les étrangers se pressent au portillon), plus les prix grimpent; à l’inverse, quand il y a trop de logements vacants, les prix baissent. C’est l’une des raisons de la cherté qui sévit dans notre pays: un bon nombre de « locaux » s’en sortent difficilement..

    L’argument pour ouvrir les portes aux frontaliers français, c’est qu’ils sont mieux formés et ont plus de compétences que les suisses; il est donc étrange d’apprendre que leurs écoles sont moins bonnes.

    « Ce sont toujours les frontaliers qui trinquent »: en principe, on utilise les structures sur le lieu où l’on paie ses impôts, soit le lieu de résidence. Et on peut rajouter que les « allocs » pour enfant en France sont généreuses.

  8. Posté par Marcassin le

    Si je ne m’abuse, les frontaliers suisses ou français paient l’impôt à la source et une partie est ristournée aux communes françaises de domicile. Alors où est le problème ?

  9. Posté par Mauron le

    La majorité des enfants dits « frontaliers » scolarisés à Genève proviennent soit de parents doubles-nationaux franco-suisses ou de Suisses résidant légalement sur terriroire français faute de trouver un logement à un prix abordable en Suisse. Pour exemple un appartement de 55m2 cuisine équipée au centre d’Annemasse, immeuble neuf, étages supérieurs, avec balcon, plein sud garage box sécurisé en sous-sol pour deux voitures se loue environ 850€-950€ mois charges comprises. Donc les résidents de nationalité Suisse en France voisine sont certainement plus de mille, sans compter ceux qui y ont construit leur maison ou acheté un appartement

  10. Posté par Maurice le

    @Xarofa – Si on enlève toutes les frontières, tout sera mis à plat, mais au plus petit dénominateur commun… comme ça, les écoles suisses deviendront médiocres et, vous avez raison, les Français, dont les écoles sont déjà devenues médiocres, ils le reconnaissent eux-mêmes, n’y mettront plus leurs enfants, ce qui nous fera des économies.

  11. Posté par Xarofa le

    Economiser 3,4 millions … pour les donner ensuite à l’UE ??? Quel grand cirque. Le système Suisse est tellement envié dans le reste du monde … Eh bien, que chaque pays reprenne celui-ci pour l’appliquer dans le reste du monde, y pas plus simple… au lieu de faire ses guéguerres à longueur de temps, c’est sans fin. IL FAUT ARRÊTER DE CROIRE QU’EN SUISSE C’EST LE NIRVANA (A PART POUR UNE POIGNEE DE NANTIS), FAITES PASSER LE MESSAGE DANS VOS PAYS RESPECTIFS, OU ENLEVONS TOUTES LES FRONTIERES POUR EVITER TOUTES CES JALOUSIES.

  12. Posté par Denise le

    Non mais…. ils sont complètement cons ces Genevois: une Genferei de plus! A ce stade il vaudrait mieux que Genève rejoigne la France: ça ferait beaucoup d’emmerdes en moins pour les Suisses!

  13. Posté par Aude le

    L’ecole Publique Suisse est payée par les contribuables suisses.
    Est-ce que les frontaliers paient des impôts en Suisse? Où dans leur lieu de résidence qui est francais?
    Si tel est le cas pourquoi peuvent-ils mettre leurs enfants dans les écoles suisses?
    Je ne comprend pas?

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.