Par Caroline Parmentier
Emmanuel Macron l’a annoncé : on étudie le retour en France des enfants de Daesh « au cas par cas ». Il paraît que c’est notre honneur. […]
On nous informe qu’il va falloir s’y préparer. On nous parle de « défi éthique, philosophique et éducatif ».
Le procureur de la République de Paris chargé des questions terroristes, François Molins, a mis en garde :
« Il faut se départir de toute naïveté. Il s’agit de ne pas confondre la déception, la désillusion et le repentir. Ils rentrent déçus mais pas repentis. Il faut faire attention : nous allons être confrontés à des mineurs ou à des femmes qui ont été souvent formés au maniement des armes. » […]
On ne parle pas de criminels de droit commun ici. Or la justice française au nom de la démocratie et des droits de l’homme, s’apprête à les juger comme tels. Sans jamais aucune remise en cause de l’islam. […]
Au nom du « tous victimes », on s’apprête à accueillir une armée de tueurs formés à égorger, à manier la kalach, à fabriquer des gilets d’explosifs et à s’en servir. Ceux-là mêmes qui ont contribué aux attentats en France. Ceux qui ont participé aux atrocités de Daesh et montré en exemple à leurs enfants les prisonniers brûlés vifs ou noyés dans des cages, les décapitations d’otages, les femmes lapidées, les chrétiens crucifiés, les homosexuels balancés du haut des immeubles. […]
Pas un seul de ces « enfants de Daesh » ne doit remettre un pied sur le sol français quel que soit son âge. […]
Source : Novopress
Article paru dans Présent daté du 22 novembre 2017
Au boulot les biologistes et autres généticiens : rassurez nous , l »éducation fait tout ?
Lionceaux ! Faut pas pousser ce sont de sales petites vermines qui ont appris à tuer sans état d’âmes, assez de s’attendrir sur ces mini pourritures ! Il faudra les supprimer un jour aussi!
Dronez-les, tous, petits ou grands… Ah, pardon, toutes-petites-grandes…
Le défi sécuritaire Macron connaît pas.
Les lions méritent notre respect, donc ne parlons pas de lionceaux mais de jeunes cafards !
Je cite : »Pas un seul de ces « enfants de Daesh » ne doit remettre un pied sur le sol français quel que soit son âge. Ils doivent rester avec leurs parents qui ont choisi la charia et l’Etat islamiste et doivent être jugés sur place. »
Dans un camp d’internement ou camp de rétention en Syrie ou en Libye avec des gardiens de prison (société privée). PAS de retour au pays.
Il faut bien comprendre le langage des politiciens. Au cas par cas = tout le monde. Exemple la régularisation des sans-papiers au cas par cas.