Christian Hofer: L'islam est tellement tolérant que notre pays doit se mettre en quatre pour palier aux problèmes de violences. Et cela alors même que les musulmans représentent moins de 6% de notre population.
Je vous laisse imaginer l'étendue du problème lorsque le taux de musulmans oscillera à plus de 15% au nom "du multiculturalisme" à sens unique cher à Sommaruga.
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La Confédération et les cantons planchent donc sur un plan d'action national visant à mieux prévenir la radicalisation des jeunes, révèle la «SonntagsZeitung». Le projet, qui sera présenté à la fin de l'année, comprend 26 mesures de toutes sortes.
Les universités devront proposer une formation pour les accompagnants religieux, par exemple dans les prisons. Chaque canton devra se doter d'un centre de conseil pour les personnes soupçonnant une radicalisation. Un centre national est également à l'étude. Des informations sur l’extrémisme violent seront par ailleurs publiées sur internet.
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Statistiquement, dès qu’une population musulmane établie dans un État de droit atteint 5%, les revendications communautaristes deviennent de plus en plus agressives et multiples ; l’État se voit mis en demeure de légiférer en faveur de « lois coraniques ». Le pire dans cette dynamique revendicative est qu’elle émane de « bons musulmans » dits intégrés, soucieux de préserver leurs libertés religieuses et la pudeur de leurs femmes et filles. L’Islam de par la corrosion sociale qui en découle doit être soumis en Suisse à des cotas ainsi qu’à des contrôles très restrictifs ; notre paix sociale est à ce prix.
Devoir mettre en place autant de « centres de conseil » et faire appel aux universités pour une FORMATION A LA SURVEILLANCE non seulement des adultes mais également des enfants, augmenter les capacités du services de renseignements et les effectifs de police démontre que la menace a remplacé la citoyenneté suisse, une qualité admirée et qui faisait force de notre pays.
QUEL DESASTRE !
Cher Leone @
Merci pour votre message de soutien.
En effet, les mesures contre la » radicalisation » ( à quelle religion au fait?) me font penser à quelqu’un qui nourrirait des rats, et qui se plaindrait ensuite du fait que sa maison en soit envahie.
La seule mesure efficace contre la radicalisation serait…. de moins en faire entrer sur notre territoire.
D’accord avec vous Tommy
A Leone@
Il n’y a pas de » bons » musulmans.
Il n’y a que des musulmans
» dormants ».
A l’instar des socialistes, qui sont des communistes » modérés « .
Résultat des courses:
1. Cela va coûter un saladier au contribuable suisse à qui on ne va bien sûr pas demander son avis. Les bénéficiaires d’une rente AVS vont bientôt la sentir passer.
2. Ceux qui ne seront pas soupçonnés de radicalisation seront classés dans les « bons » musulmans à qui on peut faire confiance. Le cancer ne pourra que mieux développer ses métastases. Quand la CEDH a décrété que l’islam n’était pas compatible avec les lois européennes elle parlait de tout l’islam et pas uniquement de l’islam radical.
3. La Confédération ne va évidemment pas se mouiller en délégant le sâle boulot aux Cantons.
Parcouru en diagonale, ça ressemble surtout à la fumisterie habituelle de nos incompétents à Berne.
Ce que l’on perçoit, c’est que grace à cette saloperie de système totalitaire se cachant dans les guenilles de la religion, c’est le coût de toutes ces mesures. C’est cela l’apport de l’islam, secte de tolérance et de paix.
– formation pour les accompagnants religieux, par exemple dans les prisons.
– centre de conseil pour les personnes soupçonnant une radicalisation dans chaque canton
– centre national est également à l’étude
– informations sur l’extrémisme violent publiées sur internet (il faut du personnel pour ça)
Et tout est à l’avenant de la même manière. Est-ce que les abrutis qui prônent ces mesures se rendent compte du coût prohibitif que cela entraînera, tout cela, comme l’a rappelé Christian Hofer, pour se garder des problèmes de violence d’une « religion » de tolérance et de paix.
Ces politocards nous prennent vraiment pour des cons.