A propos de l’article :
Le Matin est très soucieux d’éviter la stigmatisation des musulmans. En complément de l’article en question, il a publié un encadré intitulé « Un cas différent » :
« Âgée de 11 ans lorsque son père l’a embarquée en Algérie, Sofia*, une Genevoise qui a aujourd’hui 26 ans, a vécu une enfance heureuse. Si elle a désormais renoué les liens avec sa mère, ce n’était pas gagné d’avance. «Lorsque je suis rentrée à Genève, à l’aube de la vingtaine, j’avais du mal à trouver ma place, raconte Sofia. Les gens me regardaient comme si j’avais été maltraitée et on utilisait le mot «enlèvement» pour qualifier mon départ en Algérie. Mais je n’étais ni ligotée ni enfermée dans une cage. J’ai vécu des années épanouies là-bas.» Son plus grand regret? «Les démarches juridiques, lancées par ma mère et qui ont dégradé les relations familiales, assure la jeune femme. [...] C’était elle qui était partie du foyer familial dans un premier temps et je la tenais déjà responsable de la séparation. Le fait d’en discuter, plus tard, a apaisé les relations, heureusement. »
Les deux commentaires (après censure ?) sont également très équilibrés :
CRR : Une femme musulmane dans la plus part des cas , s’adapte facilement dans notre société, après un mariage avec un occidental, pour l'homme c'est très rare et 9 x sur 10 y a divorce et souvent enlèvement d'enfants avec pratiquement aucun espoir pour la mère de les récupérer.
FM : Propos sectaires non étayés de quelque façon que ce soit. Au lieu de faire une fixation sur les musulmans, pourriez-vous nous expliquer pourquoi cela arrive aussi avec des Suisses pur jus, des Dominicaines, des Thaïs, des Suédois etc.
Qu’en est-il en réalité ?
La majorité des enlèvements d’enfants concernent des pays musulmans.
Ceci provient du fait qu’un enfant né d’un parent musulman doit être élevé comme une fille/un fils d’Allah. Ces mariages sont souvent basés sur quatre éléments qui portent déjà en eux les germes du divorce :
1) Une personne sans permis fait un mariage « d’amour » pour régulariser sa situation.
2) L’autre personne s’engage dans cette relation faute de mieux parce qu’elle ne trouve pas de conjoint(e) dans son ethnie d’origine (âge, obésité, handicap...).
3) Soumission aux conditions du mariage, à savoir la conversion à l’islam pour le conjoint non musulman (homme ou femme).
4) Personne trop naïve, pas avisée de ce que cela comporte d’épouser un(e) musulman(e).
Et comme les musulmans mariés aux non musulmans ne donnent pas, la plupart du temps, un mariage heureux (perception différente du rôle de la femme/de l’homme, différences culturelles infranchissables, souvent violence conjugale de la part du conjoint musulman), les divorces sont fréquents.
Or, en cas de divorce, selon la charia, les enfants appartiennent au père. Pratiquant ou pas, c’est ancré dans la mentalité.
Voici l’avis d’un site spécialisé en la matière :
« Existe-t-il des facteurs de risques majeurs dans certaines situations ou avec certains pays? »
« Après avoir rappelé que n'importe quel parent, de n'importe quel pays peut être l'auteur d'un enlèvement d'enfant en cas de débâcle de son couple, il est bon de rappeler ici que dans nombre de cultures, la débâcle du couple est une atteinte à la capacité de mener sa famille vers les objectifs communautaires (religieux ou autres). Ce constat d'échec est alors une forme d'exclusion pour l'ensemble de la famille du kidnappeur.
L'enlèvement (l'appropriation) de l'enfant est une réparation due à la communauté. On peut se permettre de relever que dans les pays islamiques, où l'enfant, né d'un mariage mixte où le père est musulman appartient, selon la loi, à la religion islamique et au père, le risque de voir l'enfant enlevé vers ces pays augmente en cas de discorde au sein du couple, avec une quasi certitude de ne plus revoir l'enfant dans le pays qu'il a quitté.
Pire encore: Si elle n'arrive pas à obtenir une conciliation avec son ex-partenaire pour rendre visite à son enfant, la mère non islamique n'a pas le droit de voyager dans les pays islamiques sans l'autorisation du père de son enfant !
C'est valable pour l'Egypte, la Jordanie, l'Arabie saoudite, l'Iran, l'Algérie, le Koweit, la Lybie, le Maroc, la Syrie, la Tunisie, le Yemen, Bahrain, le Sultanat d'Oman, le quatar, le Soudan, la Turquie, Les Emirats Arabes Unis, le Pakistan, la Malaysie, l'Indonésie, l'Afghanistan, le Bengla Desh. Il est nécessaire de mentionner aussi que la règle est aussi valable dans tout noyau communautaire isolé.
Une tendance très actuelle, en Allemagne, consiste à retenir l'enfant d'un ex-couple binational et à changer son patronyme. L'Allemagne est un des pays occidentaux qui fait le plus souvent recours à l'article 13b) de la Convention de la Haye.
http://www.mariage-et-religion.com/la_garde_des_enfants.htm
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Voir aussi :
http://www.rts.ch/emissions/archives/faits-divers/1280449-rapt-parental.html
https://mail.yahoo.com/d/folders/1/messages/AJoJDNkAAD4lWe-3gARo6H--GLA
https://www.youtube.com/watch?v=Cqd_7akQZy0
Cenator, 25 octobre 2017
Epouser un musulman, c’est comme traverser le pont Bessieres debout sur la rambarde.
Que font tous ces aliens chez nous?
Comment se fait-il qu’ils peuvent- importer chez nous et nous imposer leurs coutumes barbares qui ne nous concernent aucunement, leurs violence, agressivité, barbarie, et criminalité?
Le peuple s’est déjà prononcé haut et fort à maintes reprises à ce sujet- on n’en veut pas, toute cette m…de ne nous concerne pas et n’a rien à faire chez nous, et il est plus que temps de renvoyer toutes cette smala, avec leurs soutiens locaux, chez eux. HOOOUUST!
Le mariage entre un homme et une femme de même race et de même religion est déjà un exercice qui peut s’avérer compliqué. Le mariage d’une femme caucasienne avec un muslim est comparable à la roulette russe: la femme a toujours une chance de s’en tirer. Mais pas ses enfants.
Cher Cenator, vous devriez envoyer votre article et ses références au Matin : une copie au jounaliste auteur de l’article et une copie à la direction. Certains ont besoin d’être aidés à voir la réalité en face, et vous êtes bien documenté.