#BalanceTonPorc, mais pas n’importe lequel

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Un déchaînement médiatique sur le harcèlement sexuel très soudain et très sectateur Après avoir produit l’œuvre très romantique Shakespeare in love, Harvey Weinstein se trouve tête d’affiche d’un film qu’il aurait préféré ne pas produire. Pas moins d’une cinquantaine d’artistes sont subitement venues se plaindre des ardeurs ce grand hardeur qui relaie notre DSK franchouillard au …

 

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2 commentaires

  1. Posté par JEAN le

    Ce truc du BalanceTonPorc n’est rien d’autre qu’un os que l’on jette au peuple pour l’occuper, pendant ce temps les politiques peuvent tranquillement affiner leurs projets diaboliques, je suis très déçu de voir que cette stupidité marche bien, les gens en parlent partout le peuple est stupide

  2. Posté par Christian le

    Il faut pourchasser et punir les violeurs, les pédophiles, les prédateurs sexuels sans trembler! Mais confier la justice aux réseaux sociaux est le début d’un « état totalitaire autogéré »… Le pire cauchemar qui puisse arriver ! Celles qui vantaient la mixité épanouie sur les terrasses des cafés mitraillés par les islamistes voient deux ans plus tard des cochons partout. Si on entend mettre sous le terme de « harcèlement » tous les regards trop pesants, toutes les exhibitions honteuses mais aussi toutes les tentatives maladroites, toutes les remarques grossières, toutes les dragues lourdingues on établira un infect climat de méfiance . Hommes et femmes se regarderont en chiens de faïence. C’est peut être ce que désirent quelques névrosées, mais pas la majorité des gens. Nous aurons alors ce que disait A. de Vigny :
     » La Femme aura Gomorrhe et l’Homme aura Sodome,
    Et se jetant de loin un regard irrité
    Les deux sexes mourront chacun de leur côté… »

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