Le Collectif R dénonce un renvoi anormal

Cenator: Ce qui est « kafkaïen » ne se trouve pas dans la procédure d'asile de ce parasite, mais, d’une part, dans le fait qu'il soit encore sur notre sol et, d’autre part, et surtout, que ce multiple fraudeur puisse encore faire des recours alors qu’il devrait être réexpédié en Italie à grands coups de pompes…

Ce parasite a déjà coûté, durant deux ans, un saladier aux contribuables.

Si, par malheur, il finit par obtenir un permis de résidence en Suisse, il va :

– vivre aux crochets de la collectivité en passant ses journées avec ses potes au bistrot,

– faire des enfants en les faisant entretenir par la collectivité,

– faire venir toute sa smala restée au pays, également au frais de la collectivité.

Cela, sous le regard complice et attendri des élus rouges-roses-verts de Lausanne qui ont déjà réussi à endetter la ville à hauteur de 2,6 milliards, à faire exploser le nombre des assistés, à remporter la palme nationale en terme d'impôts et de taxes.

Nous pouvons rêver et souhaiter qu'un jour, ils seront jugés pour ce désastre.

**************

Le Collectif R dénonce un renvoi anormal

Asile : Les défenseurs des migrants constatent un changement abrupt de pratique.

[Image : à ne pas manquer, ici]

Erythréen de 34 ans, A. est toujours menacé de renvoi malgré qu’il est entré en Suisse en mai 2015, il y a vingt-huit mois déjà. Le Collectif R de défense des droits des migrants, qui a déjà réussi à intégrer 330 personnes dans la procédure d’asile avec une soixantaine de permis B et provisoires à la clé, ne comprend pas comment il est possible qu’un tel délai soit encore en vigueur alors que le règlement des Accords de Dublin impose un temps de transfert de dix-huit mois au maximum.

[...] Les traits tirés, le jeune homme explique en anglais qu’il lui sera bientôt impossible de continuer comme ça. Arrivé en Suisse après avoir transité par l’Italie, il a déposé une demande d’asile pour ne pas avoir à retourner dans la dictature érythréenne.

[...] Il tente alors sa chance en Hollande pour échapper à un transfert forcé en Italie et se voit notifier la même conclusion. Retour en Suisse en avril 2016, nouvelle demande d’asile. Réponse du SEM: la décision de renvoi vers l’Italie demeure valable et le «délai de transfert», après lequel sa demande devra obligatoirement être examinée par la Suisse, court jusqu’au 8 mars 2017. «Jusque-là, note Pierre Kohler, du Collectif R, tout est normal.»

En mars 2017, A., qui entre-temps s’est réfugié dans la clandestinité [...]

A Lausanne, le Service d’aide juridique aux exilés (SAJE) reprend le mandat et s’oppose au principe peu clair invoqué par le SEM. Il juge en outre «choquant» que la requête de A. soit enregistrée comme une nouvelle demande d’asile et non comme un réexamen puisqu’une première demande avait été déposée en 2016.

Saisi de ce cas, le Tribunal administratif fédéral (TAF) a confirmé que le SEM n’aurait pas dû traiter la demande d’asile d’A. [...] une nouvelle décision de renvoi vers l’Italie avec un délai de transfert courant jusqu’en décembre de cette année. Ce délai pourra être prolongé de douze mois supplémentaires, soit jusqu’en décembre 2018.

[...]

Pour le SAJE et le Collectif R, il y a «déni de justice». Les défenseurs des migrants dénoncent un système devenu «kafkaïen» et redoutent que cette pratique du SEM jugée anormale ne se généralise .

Vaud et le SEM se justifient

Le Service cantonal de la population dit ne pas pouvoir se prononcer sur une décision qui appartient au Secrétariat d’Etat aux migrations (SEM).

A cause de la protection des données, un cas individuel ne sera en outre pas commenté publiquement. Quant au SEM, il fait valoir que «lorsque la personne sous le coup d’une décision de transfert quitte le pays tenu de la transférer et dépose une nouvelle demande d’asile dans un autre Etat, ce dernier peut initier une nouvelle procédure Dublin et, après acceptation, rendre une nouvelle décision de transfert.

Le délai dont ce dernier Etat dispose pour effectuer le transfert est initialement de six mois et peut être prolongé. Lorsqu’une personne dépose des demandes d’asile dans plusieurs Etats [...].»

Source : https://www.24heures.ch/vaud-regions/collectif-r-denonce-renvoi-anormal/story/10204373

Voir aussi:

http://www.lacote.ch/articles/regions/vaud/refugies-le-domicile-de-l-elue-verte-leonore-porchet-perquisitionne-579751

https://www.rts.ch/info/regions/vaud/8387977-perquisition-chez-un-depute-vaudois-hebergeant-un-refugie-afghan.html

4 commentaires

  1. Posté par Antoine le

    Journaux gratuits : du papier  »Q »
    Les ONG et/ou autres organisations soit disant d’entre-aide : Complices
    En se renseignant sur des sites de réinformations, on apprend que ces hordes issus de l’immigration de masse seront admises à rester toute leur vie sur notre territoire, à vider nos caisses et à glander et nous narguer ! C’est INTOLÉRABLE !
    Tout cela basé sur de FAUSSES informations ! De l’enfumage.
    Mme S. Sommaruga, il y a du boulot ! REMIGRATION !

  2. Posté par Sam R. le

    @aux observateurs
    Avez-vous lu cet article ?
    http://www.20min.ch/ro/news/suisse/story/11970933
    « Incité à abuser de l’asile par une oeuvre d’entraide? »

    La personne concernée par cet article s’est vu refuser l’asile parce qu’elle n’était pas persécutée par les autorités de son pays d’origine et le journaliste reproche à l’ONG de l’avoir incitée à déposer une nouvelle demande d’asile.
    Accepteriez-vous de poster une news en posant cette question toute simple:
    A votre avis?, quelles conditions objectives doivent être remplies pour qu’un journal publie le nom complet (!) d’une personne qui se présente comme un opposant politique au risque de justifier par cette seule diffusion de données personnelles l’octroi de l’asile à un requérant débouté ? (acquisition a posteriori d’une notoriété susceptible de rendre vraisemblable des motifs d’asile qui n’existaient pas jusqu’à la diffusion de l’article)

    Parce qu’au final, qui prend les paris que la personne concernée obtiendra l’asile en Suisse exclusivement grâce à cet article ? et que l’ONG sera blanchie par la justice pénale parce que celle-ci constatera que le requérant débouté a obtenu l’asile (grâce à l’article).

  3. Posté par Sertorius le

    ‘Nous pouvons rêver et souhaiter qu’un jour, ils seront jugés pour ce désastre.’

    Avec les migrants bien sur. Je rêve aussi qu’un jour on aura plus ce système «kafkaïen» d’asile et que les choses se simplifient pour tout le monde.

    https://www.youtube.com/watch?v=9knToyK-wUs

  4. Posté par chantal le

    dommage que les générations futures ne soient pas déjà nées pour faire un procès contre leurs géniteurs collaborateurs issus de ce genre de collectif de dégénérés inconscients et collaborateurs consentants de leur propre destruction. Ont-ils tous été soumis au lavage de cerveau ? à la psychotronique ?

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.