L’affaire des Rohingyas : un « iceberg de désinformation »

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L’affaire des Rohingyas : un « iceberg de désinformation »

 

Dans un article publié en ligne le 16 septembre dernier, le site de réinformation Minurne s’interroge sur l’occultation par les médias de l’oligarchie d’un certain nombre d’éléments concernant l’affaire des Rohingyas

 

Pourquoi donc les Birmans s’en sont‑ils soudainement pris à ce petit peuple, immigré du Bangladesh, qu’ils toléraient depuis plus de deux cents ans ? Les Rohingyas y pratiquaient jusqu’à récemment un islam plutôt nonchalant, et cohabitaient très pacifiquement avec les bouddhistes. Et pourquoi donc les Rohingyas se sont‑ils tout à coup radicalisés ? Deux questions que les médias de l’oligarchie évitent soigneusement de poser.

 

Dès 2010, les Rohingyas sont travaillés par des missionnaires islamistes venus du Pakistan

 

Mais courant 2016, la situation prend un tour autrement plus dramatique. L’Etat islamique comprend en effet qu’en perdant la guerre en Syrie‑Irak, il perdait aussi les ressources pétrolières qui le finançaient, avec la complicité de la Turquie. Il a vu dans les champs pétroliers et gaziers, découverts en Birmanie dans l’Etat d’Arakan où vivent les Rohingyas, le moyen de se refaire une santé financière. Comment se les approprier ? En poussant les Rohingyas à réclamer au gouvernement birman la transformation de l’Etat d’Arakan en province islamique autonome. D’où l’explosion des assassinats de Birmans et des attaques meurtrières contre les forces de police. La réaction des autorités birmanes a été à la mesure de ces exactions.

 

Mais ces champs pétroliers et gaziers intéressent aussi la finance internationale ?

 

C’est en effet là qu’on retrouve un certain George Soros. Le « philanthrope » (sic) entend récupérer les Rohingyas à son profit. Avec le soutien de l’Arabie saoudite, Soros finance des achats d’armes pour les terroristes. Il lance, en 2017 le thème du « génocide du peuple Rohingya », amplement relayé par les médias de l’oligarchie. A ce propos, Aung San Suu Kyi a dénoncé, je cite : un « iceberg de désinformation ». But du milliardaire : une condamnation « internationale » du gouvernement birman sous l’égide de l’ONU et l’intervention militaire d’une coalition occidentale sur le modèle de ce qui a été fait en Irak, Syrie et Libye.

 

Source :  BULLETIN DE REINFORMATION DU VENDREDI 22 SEPTEMBRE 2017;  [email protected].

Autre article sur le sujet : https://www.polemia.com/rohingyas-ideologies-et-approche-victimaire/;

6 commentaires

  1. Posté par Spipou le

    J’ai lu l’article de Polemia donné en référence en bas de ce billet, je le conseille à tout le monde car c’est ce que j’ai pu lire de plus intéressant sur le sujet.

  2. Posté par Leu le

    Les Birmans ont un meilleur reflex et surtout sont plus intelligents que les Européens. Ils veulent tout simplement sauvegarder leur façon de vivre et leur culture. Ils ne veulent ni changer de religion, ni devenir des mécréants. Le sort qui est réservé aux Suédois, Anglais, Français et nous tous à moyen terme.

  3. Posté par Bussy le

    Toujours les mêmes boulets souvent extrêmement sanguinaires et toujours soutenus par nos bien-pensants… qu’en penser ?
    En tout cas, je suis Aung San Suu Kyi !

  4. Posté par Dupond le

    Depuis quelques jours il n’est question que de ces malheureux ROHINGYAS qui par dizaines de milliers se voient contraints de quitter « leur pays », la Birmanie, chassés par l’armée Myanmar Birman.

    C’est tout juste si on ne nous demande pas de les accueillir chez nous, en Europe, ces « pauvres musulmans » persécutés.

    Mais au fait, qui sont-ils très exactement ces Rohingyas ?

    Ce sont justement des « migrants » qui ont envahi la Birmanie au cours du XIXe siècle parce qu’ils étaient chassés du Bengale par les Anglais, qui les considéraient comme une minorité religieuse « très dangereuse, prédatrice et parasitaire », en quelques mots des « criminal tribes » (tribus criminelles).

    Depuis leur arrivée en Birmanie, il y a deux siècles, les Rohingyas vivent en communauté, refusent de s’intégrer, rejettent les traditions, la culture et le mode de vie birman, tout en revendiquant tous les avantages que leur accordait la citoyenneté birmane.

    Depuis le début de ce XXIe siècle et le développement mondial de l’islamisme, depuis le début de la guerre déclarée par l’État islamique au reste du monde, les Rohingyas du sud de la Birmanie se révoltent : ils saccagent les élevages de porcs et les restaurants qui en servent, ils veulent imposer la charia et leurs mœurs dans cette Birmanie dont la majorité de la population est bouddhiste.

    Ce dernier mois de ramadan, la violence, provoquée par le terrorisme islamiste, s’est accentuée : notamment une vingtaine de postes de police détruits par des djihadistes rohingyas dans la région de Rakhine, et la décision a été prise par les autorités birmanes d’y mettre un terme et d’expulser cette minorité rohingyas vers leur pays d’origine, le Bangladesh.

    Plus de deux cent mille clandestins rohingyas ont déjà été expulsés.

    Bien entendu tous les pays musulmans du monde crient au génocide (et qui mieux qu’eux peut en parler puisqu’ils le pratiquent depuis des siècles et des siècles) contre cette campagne antiterroriste, et au premier rang les organisations islamistes internationales, suivis par certains autres pays qui se veulent démocratiques, laïques, républicains, et soi-disant respectueux des droits de l’homme, comme par exemple la France et sa presse pro-musulmane, pro-chances pour la France !

    En revanche on se garde bien de vous informer sur la persécution permanente des chrétiens du Timor, en Indonésie, des coptes en Égypte, des Syriaques en Irak et des juifs, dans tous ces pays essentiellement musulmans.

    On passe sous silence les attentats répétés commis par une minorité musulmane islamiste, se revendiquant de l’État islamique, dans ce pays, les Philippines, à majorité chrétienne !

    Nos médias critiquent ouvertement le silence de Aung San Suu Kyi, l’actuelle chef du gouvernement birman, qu’il y a peu de temps encore était encensée pour le Prix Nobel de la Paix qui lui était décerné.

    Les pays qui, eux, sont parfaitement au courant de cette situation dramatique pour la Birmanie, comme l’Inde et la Chine, lui apportent un soutien inconditionnel.

    Gardons-nous de jeter la première pierre contre ces pays qui se défendent courageusement contre le terrorisme religieux islamique puisque nous sommes incapables d’y mettre un terme !

    Il est primordial que la population française soit informée sur ces événements par d’autres médias que ceux « subventionnés » pour la désinformer quotidiennement.

    Manuel Gomez

  5. Posté par poulbot le

    Partout ou il y a coup tordu pour ce faire des $$$$$$ ; on est certain que l’on vois la signature de ce rapace, de ce malfaisant qu’est SOROS .

Et vous, qu'en pensez vous ?

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