Médias. Pas de demi-mesure, la RTS doit disparaître totalement !

Le 13 septembre, l’émisson Forum de la RSR a consacré un débat à l’initiative dite NO BILLAG (contre la redevance radio-TV obligatoire) et au contre-projet de l’UDC.

Voici un résumé du débat, suivi de notre commentaire.

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Un contre-projet à l'initiative No Billag a été demandé, lors du travail en commission, pour diminuer de moitié la redevance. Débat entre Manfred Bühler, conseiller national (UDC/BE), et Géraldine Savary, conseillère aux Etats (PS/VD).

https://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/le-debat-sur-linitiative-no-billag-reprend-jeudi-au-conseil-national?id=8896753

La journaliste remet en question d’emblée la raison d’être du contre-projet à l’initiative No Billag, car le Parlement prévoit déjà une discussion sur les médias. L’UDC soutient le contre projet à l’initiative No Billag.

Manfred Bühler : Ce contre-projet est le meilleur moyen d’empêcher que l’initiative No Billag soit acceptée, car j’ai quelques craintes qu’elle le soit. Je ne suis pas un véritable fan de l’initiative No Billag, ni du statu quo, donc, un contre-projet me paraît la meilleure chose.

Journaliste : S’il n’y avait pas le contre-projet, certains élus UDC auraient soutenu l’initiative No Billag, est-ce que ce serait votre cas ?

Manfred Bühler : Sans le contre-projet, c’est un dilemme car le statu quo me paraît difficilement acceptable. J’aurais un cas de conscience, je ne sais pas si je soutiendrais l’initiative.

La journaliste à Géraldine Savary (adversaire du contre-projet) : Est-ce qu’il ne vaudrait pas mieux effectivement avoir un contre-projet, qui montrerait que la SSR fait un effort, plutôt que de risquer le tout pour le tout, soit l’initiative No Billag  devant le peuple?

Savary répond sans rougir qu’on ne fait pas de contre-projet sur un mauvais projet : quand le projet est mauvais, eh bien, on considère qu’il est mauvais et on prend les décisions qui s’imposent. C’est le cas avec cette initiative No Billag, qui est une mauvaise réponse, d’ailleurs pour un problème qui n’existe pas vraiment. C’est le Conseil fédéral qui fixe la redevance, c’est bien comme ça. Ça garantit l’indépendance du média de service public. Ça garantit aussi son développement, sa survie, ça garantit son cadre aussi. Et puis, une loi sur les médias électroniques sera discutée et dans ce cadre-là on définira au fond le paysage médiatique qu’on souhaite. Mais qu’un parlement, comme c’est le cas avec l’initiative No Billag, voie ensuite la population se prononcer sur le montant d’une redevance, c’est véritablement alors mettre sous tutelle un média dont l’indépendance et l’impartialité est garantie dans la constitution.

La journaliste à Manfred Bühler : Ce n’est pas mettre la charrue avant les bœufs ? Définir l’enveloppe budgétaire avant de définir ce qu’on veut comme paysage audio-visuel en suisse ?

Manfred Bühler : Non, je ne crois pas. Cela fait des mois que l’UDC demande un débat sur la SSR, sur le paysage médiatique suisse. Ça a été promis lors de la votation sur la LRTV […] Il y a un véritable problème avec cette redevance, ce système de perception, en particulier dans la sensibilité alémanique et je crois qu’ignorer ce problème ou faire comme s’il n’y avait pas de problème, comme le fait ma collègue Savary, c’est un petit peu dangereux parce que ce mécontentement pourrait encore grandir s’il n’y a pas de mouvement du côté de la SSR.

Géraldine Savary : […] Faire respecter les minorités, ça a un prix et ce prix passe en particulier par la redevance. On sait très bien que nous Romands, ou les cantons dans lesquels on parle français, on paie moins que ce qu’on reçoit, et cette réalité, c’est la force du système des médias de service public. Ça n’empêche pas, évidemment, de réfléchir à la manière dont cet argent est affecté, à la discussion comment faire vivre un paysage médiatique, avec la presse écrite qui est en crise. Moi, je suis prête à discuter de tout ça, évidemment, et avec l’UDC qui mène une campagne, une offensive contre le service public de façon à mon avis irresponsable, je trouve qu’on devrait se mettre autour de la table et réfléchir à un paysage médiatique diversifié. Mais cette initiative No Billag, et un contre-projet a fortiori, sont dans les deux cas des mauvaises idées, des mauvaises directions.

La journaliste la ramène sur le sujet des minorités linguistiques en interpellant Manfred Bühler.  « Berne a une minorité francophone, vous faites partie de ceux qui la défendez, ça vous pose pas problème, effectivement ? »

Manfred Bühler : On fait un faux procès aux intentions des tenants d’un contre-projet. Nous avons dit aussi  en commission que nous n’avions pas l’intention de démanteler le service public de manière totale, le service public a un rôle fondamental à jouer pour la cohésion de ce pays, ça n’a jamais été contesté sur le fond. La seule question, c’est de savoir, est-ce que le service public doit tout faire ce qu’il fait aujourd’hui ? Je suis d’avis que non. Il peut en faire moins sans remettre en question de rôle et sans remettre en question la redistribution qui va de la Suisse alémanique vers la Suisse romande, et la Suisse romanche ou italienne.

Géraldine Savary : On entend ça : il faut réduire, il faut dégraisser le mammouth, etc. Option Musique va-t-elle passer à la trappe alors qu’elle ne coûte pas cher ? Donc de facto, vous voulez en réalité dire que la SSR, le service public doit se réduire à des tâches de « service minimum », c'est-à-dire un peu de politique, un peu de religion, un peu de culture. Offrir ce type de prestation et tout le reste est transféré aux radios, télévisions privées et au marché rentable.

Journaliste à Manfred Bühler : A l’UDC il n’y a plus grand monde pour soutenir No Billag, la suppression de la redevance. Vous utilisez cette initiative comme moyen de pression pour arriver à votre projet à vous, c'est-à-dire une SSR avec un mandat réduit.

Manfred Bühler est sur la défensive : L’initiative n’a pas été déposée par l’UDC, on ne peut pas nous reprocher de l’utiliser comme moyen de pression. C’est une réalité politique, on devra voter à ce sujet. Ça me paraît important que la SSR fasse un certain nombre de pas dans la direction de notre groupe politique, qui souhaite que certaines tâches soient laissées davantage aux privés.

Géraldine Savary (l’interrompt) : A qui ? A M. Blocher et à ses journaux ?

Manfred Bühler : Absolument pas. M. Blocher a acheté des journaux, c’est son droit, en Suisse orientale, mais ici on parle de médias électroniques, de radio, de télévision, c’est totalement autre chose.

Géraldine Savary (l’interrompt) : La Basler Zeitung, je ne dirais pas que c’est en Suisse orientale, c’est pourtant dans le giron de Blocher. C’est maintenant tous les petits journaux, il a une télévision aussi. D’ailleurs, je trouve que, voilà, il a une certaine volonté de sauver ou de s’emparer du paysage ou de certains médias, voilà, c’est un rôle qu’il souhaite jouer. Cela ne veut pas dire pour autant que quand on a un service public dont les tâches sont garanties par la Constitution, qu’il faille céder cet espace de démocratie à des milieux privés et en particulier à des personnes comme M. Blocher.

Manfred Bühler : Ce n’est absolument pas de ça dont il s’agit. Une émission comme celle que nous faisons en ce moment n’est pas du tout concernée par cette réduction de la taille du mammouth SSR.

Et Manfred Bühler rassure encore la journaliste et Géraldine Savary: « Il ne faut pas agiter la peur d’un démantèlement total. »

Journaliste à Géraldine Savary : On voit des concentrations, des rachats de titres. Si la SSR continue d’être soutenue massivement, cela risque de faire un écart encore plus grand avec la presse écrite ?

Géraldine Savary : Oui, en effet, je ne vois pas, à terme, de survie des médias privés sans une contribution des collectivités publiques. Que ce soit des cantons ou de la Confédération. Cette contribution pourrait par exemple passer par une redevance, qui serait une redevance aux médias et plus seulement une redevance à la SSR. Donc, d’abord une redevance identique à celle qu’on a maintenant et une partie de cette redevance pourrait être affectée à la diversité des médias en matière de presse écrite. C’est une piste, qu’on devrait pouvoir discuter. Et avec ce type d’initiative ou de contre-projet que l’UDC dépose, l’espace de discussion devient impossible parce que du coup, chacun se retranche sur ses positions. Vous aurez une SSR avec une redevance à 200 francs, donc impossible de faire survivre la SSR de cette manière-là, et du coup, un paysage médiatique exsangue.

Journaliste à Manfred Bühler : Une aide, une partie de la redevance pour la presse, pour d’autres médias ? Ça vous plaît ?

Manfred Bühler : Ça peut paraître séduisant au premier abord : renvoyer des journalistes, ça ne fait plaisir à personne. Mais c’est dangereux. On se retrouverait vite en train de subventionner des groupes comme Tamedia qui font de très grands bénéfices avec d’autres canaux, électroniques notamment. Les mêmes personnes, à gauche, diraient c’est un scandale, on donne de l’argent public à des groupes qui font des bénéfices.

En conclusion, Manfred Bühler conseille de laisser le privé se débrouiller et s’adapter au marché.

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Décryptons les déclarations de ces deux politiciens.

Géraldine Savary est évidemment satisfaite de la situation actuelle. Très sûre d’elle, elle campe sur ses positions, sachant que la gauche jouit d’une situation tellement privilégiée que tout changement ne peut que lui être défavorable.

Elle est tellement satisfaite du statu quo qu’elle ose même proposer de subventionner la presse de gauche moribonde. Oui, un(e) socialiste, ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît !

Quant à l’UDC Manfred Bühler, sa stratégie est préoccupante : que veut-il exactement ?

Plus généralement, quelle stratégie faut-il adopter pour ne pas répéter l’erreur qui a abouti au rejet de l’initiative ECOPOP et au flop de la mise en œuvre de l’initiative du 9 février ?

Si l’électorat UDC est divisé, une partie faisant campagne pour NO BILLAG et l’autre pour le contre-projet, le résultat risque d’être un rejet de tous les deux, à la grande joie de Géraldine Savary et de « la gauche » … et des employés, bien payés, du mammouth de la RTS.

En prenant du recul, quel est le problème fondamental causé par ce mammouth en Suisse romande ?

Ce n’est pas sa prétendue nécessité fondamentale pour permettre  aux Romands d’être informés « objectivement » par un média au-dessus de la mêlée et des pouvoirs de l’argent. En effet, ce mammouth n’est en rien « au-dessus de la mêlée et des pouvoirs de l’argent ». Au contraire, il est orienté de la pire manière qui soit, à savoir qu’il penche tellement systématiquement du côté du « politiquement correct » et de la « gauche », tout en prétendant à la meilleure objectivité possible, tant et si bien que beaucoup de consommateurs du mammouth en viennent à trouver objectif ce biais politiquement correct et de gauche omniprésent.

Cela concerne tous les domaines, le politiquement correct règne en maître, il s’agit véritablement d’une censure non reconnue

Cette horreur à tendance unique qu’est la RTS DOIT DISPARAITRE TOTALEMENT, ses journalistes sont irrécupérables, il n’y a rien à sauver de cet organe trop souvent de propagande politique à sens unique . Il n’y a rien que le privé ne puisse faire, et sans subventions. Les Suisses n’ont pas à financer la propagande de la gauche et de la bien-pensance, ils l’ont fait durant des décennies et les rares esprits encore libres voient les résultats catastrophiques de ce véritable lavage de cerveau dans tous les domaines de la vie en Suisse.

Les personnes ayant vécu sous la domination soviétique peuvent témoigner que l’information diffusée sous ce totalitarisme commence à ressembler à ce qui se passe actuellement dans les médias de la Suisse Romande. Toute la population est gravement désinformée et ceux qui ne cherchent pas à se renseigner sur les sites de réinformation votent « politiquement correct à gauche » à cause de ce lavage de cerveau omniprésent dont une des très importantes facettes est la diabolisation de l’UDC.

Cette censure non reconnue est un véritable cancer de l’esprit de type orwellien : certaines choses doivent être dites, d’autres tues, certaines choses doivent être aimées, d’autres diabolisées, certains leviers doivent êtres utilisés (haine de soi, culpabilisation de «l’homme blanc et encore davantage du Suisse blanc,  riche par nature, qui n’en fait jamais assez pour les Autres, victimes par nature, etc.), pendant que d’autres doivent être méprisés, ridiculisés (patriotisme, amour de la famille traditionnelle, des racines chrétiennes de l’Occident, etc.).

Les adversaires résolus de NO BILLAG souhaitent augmenter encore la taille du mammouth, en aucun cas la réduire. Par ailleurs, Géraldine Savary (GS) avance l’idée qu’il faudrait subventionner la presse, tout cela au nom de la pluralité et de la diversité des médias, alors que cela favoriserait en réalité la pensée unique, puisque ces médias diffusent tous, grosso modo, la même sauce politiquement correcte assaisonnée à la gauche.  Ce n’est qu’avec la victoire de NO BILLAG que la gauche devra enfin financer elle-même sa propagande. Pour GS, si le peuple avait son mot à dire sur la redistribution du financement, ce serait une mise sous tutelle des médias. Mais lorsque les médias sont sous la tutelle des socialistes, cela doit être considéré comme démocratique ! Avec le culot d’un seigneur assuré de sa toute -puissance, GS affirme même que la RTS est indépendante, impartiale, « car ceci est garanti dans la Constitution » !

Ce mammouth, de gauche qu’est la RTS, ennemi des patriotes suisses, dispose d’une telle puissance dans l’orientation de la pensée de ceux qui consomment ses productions que l’avenir de la Suisse va se jouer, pour une bonne part, dans le sort réservé à NO BILLAG.

 

Cenator, 15 septembre 2017

9 commentaires

  1. Posté par farjon thierry le

    Je n’ai JAMAIS payé la redevance car je n’ai JAMAIS eu de télé ni de radio. Payer pour se faire avillir par de la pub, de la désinformation, des mensonges etc etc etc.
    Toute fois faudrait mettre en avant les radios sans publicité genre Couleur 3, option musique…
    je suis pour la suppression de cette arnaque orchestré par Billag, que j’ai envoyé, avec un grand plaisir, que je déguste encore aujourd’hui, sur les roses a plusieurs reprises!

  2. Posté par Goupil mains rouges le

    On peut critiquer la RTS, avec raison sur beaucoup de points, mais les émissions de télé ne sont de loin pas pires que celles de la France. Quant à la radio, je suis sans doute un vieux ronchon, mais j’écoute volontiers Option Musique, car il n’y a pas de pub et aucune émission politique. Les nouvelles de la RTS sont diffusées toutes les heures. Internet me permet de consulter plusieurs médias pour me faire une idée de l’actualité. Personne, même pas la présente publication, n’informe avec impartialité.

  3. Posté par Peter K le

    La tsr doit disparaitre, mais avant il faudra faire un audit general des comptes, salaires, retraites, etc…ces parasites se sont gavés depuis trop longtemps sur notre dos! Quand a l’udc, ses atermoiements, bottages en touche, novlangue, sur toutes les causes primordiales pour notre futur montrent aux patriotes que ce parti n’est plus qu’un groupe de bourgeois bien repus, cf. les deux nains de jardin a Berne, ils ont tout en main pour casser la spirale de l’invasion de notre pays, via l’asile, etc… et ne font RIEN, voir leur absence de reaction apres le meeting du 11.9 de la cfr, sont comme le fn en France, captent les votent patriotes, mais sont des usurpateurs, a qq exceptions que nous n’entendons plus d’ailleurs.

  4. Posté par JeanDa le

    L’UDC, EN DIVISANT LES OPPOSANTS A LA SSR PAR SON CONTRRE-PROJET, VA CONFIRMER LE STATU QUO et mettre à terre tous les efforts visant à contester la situation actuelle.
    L’UDC TRAVAILLE POUR LA GAUCHE !!!! C’EST UN COMBLE !!!! ARRÊTEZ DONC VOS CRÉTINERIES ET RÉFLÉCHISSEZ !!!!
    NON TOTAL ET DÉFINITIF A BILLAG !

  5. Posté par Hervé le

    Si la SSR était « fondamentale », les audiences dépasseraient le 1/3. Ce ne pas le cas, 2/3 des téléspectateurs/auditeurs n’en ont que faire. (Cela doit être pire sans les événements sportifs et les radios laissées par défaut.)
    Si la SSR apportait de la « diversité », chaque région linguistique regardait autre chose que dans leur langue régionale. Ce n’est pas le cas, ce qui est évident quand on sait que 95% de la population ne parle qu’une langue nationale.

    La gauche caviar a peur, et ils savent très bien pourquoi. Sans la protection du média sur-subventionné, ils devraient vendre leurs idées dans un marché qui n’a que faire de leurs petits copains politiciens. Tu vends ce que le public veut, ou tu n’existe pas. La presse écrite romande fait exactement l’inverse, de la politique plutôt que du journaliste. Ils crèvent tous à petit feu.

    Il n’y a plus RIEN que la SSR puisse apporter au « service public », les temps de la télé en noir et blanc sont révolus. La propre confédération peut communiquer directement avec le citoyen désormais, il n’y a plus besoin de relais audio-visuel ou écrit. On n’a pas besoin de la SSR pour suivre un débat parlementaire. On n’a pas besoin de la SSR pour lire un communiqué. On n’a pas besoin de la SSR pour nous interpréter la politique à sa sauce. Tout ce que propose la SSR, on peut l’avoir directement à la source pour un coût dérisoire. Pour tout ce qui est divertissement ou culturel, chacun est assez grand pour chercher ses centes d’intérêts. Vous ne me payez pas mes livres, je ne vous paierai pas vos séries américaines à la con. Ou vous voulez comme Savary une redevance pour tous les types de « culture » pour traiter tout le monde équitablement?

  6. Posté par Nolan le

    Bravo ! Bravo ! Bravo !

    Une baisse d’impôts mes ouailles apprécieront c’est certain !

  7. Posté par bigjames le

    L’UDC fait fausse route avec un contre projet.
    Ils vont nous planter. Comme pour Ecopop.
    Ils répètent chaque fois les mêmes erreurs. C’est consternant.
    Du demi truc, du demi machin, et c’est les gauchistes qui en profitent.
    Ils vont bientôt comprendre ?

  8. Posté par coocool le

    Je vais placer mon bulletin avec délectation !

  9. Posté par Fleeps le

    « L’indépendance des services publics » n’importe quoi!

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