Malaria en Italie. Pièces à conviction détruites et excuses du procureur
Le cas de la petite Sofia morte de malaria dans un hôpital dans lequel était hospitalisée une famille revenant du Burkina Faso contaminée par cette maladie continue à faire couler beaucoup d'encre. Le procureur de Trento s'est excusé d'avoir mis sous séquestre le corps de la fillette sans en avoir averti la famille et l'on a découvert que les échantillons biologiques qui auraient pu révéler si la fillette a été contaminée à l'hôpital ont été détruits. L'enquête continue et est suivie avec intérêt, car entretemps ont été signalés d'autres cas de maladies importées par les immigrés, comme la malaria, la chikunguya et la méningite du type du Nil supérieur.
https://www.pressreader.com/italy/corriere-della-sera/20170909/281943133039264
Traduction (Claude Haenggli): Les parents de la victime ont exprimé leur rage concernant la façon dont ils ont été traités par les autorités : "Etre malade en Italie n'est pas considéré comme une malchance, mais comme un délit."
Claude Haenggli, 10.9.2017
Vous voulez faire avancer votre dossier , amis italiens ? Faites parler la poudre (pas d’escampette) .
Partout en Europe, c’est la même idéologie gauchiste qui est imposée : surtout ne pas dire que les épidémies arrivent avec les migrants, que les violences arrivent avec les migrants. Des policiers et des citoyens sont poursuivis pour avoir dit la vérité. Qu’importe, les autorités ne peuvent museler le Peuple, tout de même , quel plaisir quand l’un de ces » grands » goûte au plaisir du vivre ensemble. les maladies migratoires finiront bien par les attraper aussi et ce ne serait que justice ( immanente ? )
Et sur la liste ajoutez EBOLA
Italiens, continuez à voter à gauche.