Tweet anti-musulmans: Jean-Luc Addor fait recours

Le conseiller national UDC fait recours contre sa condamnation pour discrimination raciale, pour avoir écrit en 2014 "On en redemande !" sur ses comptes Twitter et Facebook.

tweet Jean-Luc Addor

Pour son avocat, Marc Bonnant "la décision de première instance est fausse et arbitraire", d'où ce recours.

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13 commentaires

  1. Posté par Roland le

    Il semble bien que le cancer que représente en France le syndicat de la magistrature a fini par métastaser et a malheureusement essaimé jusqu’en Suisse romande !

  2. Posté par Aude le

    C’est quoi :  » A trois cent francs l’unité » Une vente aux enchères ou un Souk?
    À Combien estiment-ils la radicalisation d’un jeune musulman due à Blanchot et &?
    Et les dégâts futurs?
    Résumons, il faut combattre l’UDC à défaut de combattre les fous d’Allah.
    C’est entendu pour la gauche, la priorité des priorités réside dans la lutte politique.
    Les islamiques ou futurs terroristes passant au second plan.
    On est bien barré.

  3. Posté par jean le

    On en re-demande, camarade.

  4. Posté par TonnerreGrondant le

    Non à cette inquisition

  5. Posté par Philippe le

    Il a raison de faire recours. C’est notre liberté d’expression à tous qui est en jeu.

  6. Posté par bigjames le

    Pour un UDC, tout est mis en oeuvre pour le faire taire, le ridiculiser, lui nuire un maximum.
    Pendant ce temps, les dealers africains courent nos rues, intoxicant notre jeunesse.
    Les priorités de notre justice de gauche est infâme.

  7. Posté par Loulou le

    Ce jugement sera balayé, ce dernier reposant sur du vent et de l’idéologie gauchiste. Une fois de plus la justice aura été occupée à des futilités. À croire qu’une certaine caste fait tout pour nourrir son petit business. La justice est devenue une machine, les trois niveaux étant systématiquement mis à contribution pour faire marcher le business. Comment expliquer cela (mon cas personnel): tout gagné en première instance, tout perdu en deuxième, tout regagné au TF. 50’000.- d’avocats…comment peut-on passer du blanc au noir, sans aucune nuance?

  8. Posté par Roland Marquis le

    Quel drôle de tribunal qui juge les cas sur l’aspect politique et non sur le pénal! Il est évident qu’il vous faut recourir, M. Addor! Et que ce « jugement » soit revu par des instances utiles.

  9. Posté par Cenator le

    Félicitations à J.-L. Addor pour sa combativité. Que la liberté de parole triomphe et que les jugements délirants cessent !

  10. Posté par wouly le

    Le droit de parole et de liberté d’expression ! C’est la base de notre démocratie (ou ce qu’il en reste !). Je ne serai pas surpris de la condamnation en appel de M. Addor. Nous sommes dans un système qui broie toute parole du  »politiquement pas correcte ». Ceci me choque beaucoup. J’espère qu’il y aura de  »véritables » juges …

  11. Posté par aldo le

    Ce recours n’est qu’une manœuvre de plus pour empoisonner la vie de Monsieur Addor. Ces juges ont fabriqué une interprétation d’une expression purement ironique. Comment juger impartialement ce « on en redemande » sans faire totalement crédit à son auteur de ce qu’il a bien voulu écrire, et quel sens il a voulu donner à cette ironique constatation. La justice en voulant lui imputer le 1er degré de cette expression, manifeste-t-elle ainsi sa crainte d’avoir trop de travail ? Pas du tout, vu la pléthore d’avocats, ce sont eux-mêmes qui diraient au 1er degré, « on en redemande ». Voilà donc peut-être la raison de ce jugement empreint d’une curieuses mauvaise foi un peu trop politiquement partisane pour être vraiment crédible.

  12. Posté par Derek Doppler le

    Être dans le top des assistés de la péréquation et aides diverses semble prédisposer à faire la leçon en permanence aux autres confédérés. Complexe d’infériorité impossible à surmonter?

  13. Posté par Fanfouet le

    Il a bien raison ! Être condamné pour ces 3 mots anodins est une attaque inqualifiable au droit de s’exprimer. Les juges qui ont prononcé cette condamnation sont totalement déconnectés de la réalité. Sur leur échelle des valeurs, les injures dont les policiers sont l’objet quasi quotidiennement devraient alors entraîner le bagne et la relégation, pour le moins… Chiche, les petits juges: on ne laisse plus rien passer, qu’on rigole un peu !

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