Communautarisme en Grande-Bretagne – Le racisme des violeurs de blanches

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En Grande-Bretagne, quand les médias évoquent des criminels ou des violeurs « d’origine asiatique », il s’agit généralement de gens d’origine pakistanaise ou bangladaise de confession ou au moins de culture musulmane. De tels gangs de violeurs de jeunes blanches ont été démantelés dans le passé dans les villes de Rochdale et Rotherham, où des groupes de Pakistanais avaient fait environ 1 200 victimes, dont de nombreuses mineures, face à une police qui refusait d’intervenir de peur d’être taxée de raciste ou d’islamophobe. D’autres gangs de musulmans, pas toujours d’origine asiatique, ont aussi sévi à l’encontre des jeunes blanches dans d’autres villes ces dernières années, même si c’était à une échelle moindre.

Cette semaine, la justice britannique a condamné 17 hommes d’origine « sud asiatique » (principalement d’origine pakistanaise et bangladaise) et un d’origine caucasienne dans une affaire de viols d’environ 700 jeunes filles de 14 à 22 ans qui étaient alcoolisées, droguées et également menacées, pour les forcer à entretenir des relations sexuelles avec leurs bourreaux. L’enquête, qui couvrait le grave phénomène d’exploitation sexuelle dans le Nord-Est (de l’Angleterre), a engagé 50 officiers de police et a duré trois ans et demi. Afin de démanteler le gang, les policiers britanniques ont même grassement payé un indicateur qui avait lui-même été condamné dans le passé pour viol sur mineure. Andrew Norfolk, un journaliste du Times qui a contribué à briser la loi du silence sur ces gangs musulmans violeurs de blanches a déclaré à la BBC que le problème existe depuis au moins deux décennies, même s’il n’a commencé à faire parler de lui qu’au début de la décennie actuelle.

Cependant, après ces nouvelles condamnations, des voix s’élèvent au Royaume-Uni pour protester contre l’attitude toujours politiquement correcte des tribunaux. En effet, alors que le caractère raciste des crimes commis est avéré, certains des violeurs en série ayant même ouvertement admis que leurs victimes étaient pour eux des « ordures blanches » uniquement bonnes à baiser, les condamnations ne reflètent pas cet élément aggravant. Des députés et des membres d’associations font donc pression sur le procureur général pour que celui-ci exige des sentences plus lourdes.

Pour Trevor Phillips, président de la commission britannique pour l’égalité et les droits de l’homme (EHRC) de 2003 à 2012, il faut cesser de parler de gangs pédocriminels « asiatiques » car il s’agit en réalité de gangs musulmans. « Ce que les auteurs de ces crimes ont en commun, c’est la foi qu’ils proclament. Ils sont musulmans et beaucoup vous diraient même qu’ils sont pratiquants. Ce n’est pas être islamophobe que de le dire, de même que ce ne serait pas être raciste que de pointer du doigt le fait que la plupart des persécuteurs des LGBT viennent de pays où la plupart des gens sont, comme moi, noirs », écrivait Trevor Phillips dans le Daily Telegraph le 10 août.

La chape de plomb du politiquement correct serait-elle enfin sur le point de sauter outre-Manche ? Mieux vaut tard que jamais…

En photo : Trevor Phillips met les pieds dans le plat en désignant ces gangs comme musulmans.

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Un commentaire

  1. Posté par colt seavers le

    le phénomène n est pas nouveau , c est aussi dans le coran , celui ci est obéi par les muzz a la lettre , un homme muzz peut violer une infidèle qu’ils considèrent comme une sous femme …

Et vous, qu'en pensez vous ?

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