Italie. Naples : 8 jeunes migrants africains ont séquestré et menacé le responsable du centre qui les hébergeait

Accueillis dans un centre pour les migrants mineurs isolés, huit jeunes hommes, tous âgés de 17 ans et originaires de la Gambie et de la Guinée, ont séquestré Ciro Cristiano le responsable du centre.

Les migrants ont bloqué l’entrée du centre avec des meubles. Ils ont séquestré le responsable dans son bureau, et lui ont ordonné de leur remettre de l’argent et leurs documents personnels sinon ils mettront le feu au centre.

La police est intervenu et a libéré le responsable puis a arrêté

Il Gazzettino via Fdesouche.com

9 commentaires

  1. Posté par miranda le

    LE CANADA ET L’AUSTRALIE ONT LE DROIT D’ETRE SELECTIFS.

    MAIS PAS L’EUROPE. SELON LA VOLONTE DE MR SOROS ET DE LA SPHERE MONDIALISTE. Plan Kalergigantesque « oblige ».

    Donc nous devons accueillir tout le tiers-monde y compris la racaille de ces pays, dont ils sont d’ailleurs contents de se débarrasser.

  2. Posté par Jiff le

    Je trouve les commentaires précédents durs, violents et mesquins ! Comment pouvez-vous dire du mal de ces pauvres petits qui se donnent tant de mal pour parfaitement s’intégrer à l’économie de leur pays d’hébergement !?!

    Regardez les efforts qu’ils ont fait: d’abord, ils se sont groupés entre nationalités différentes, ce qui n’est pas si facile que cela, puis ils ont créé un cercle de qualité afin de décider de l’orientation principale que prendrait leur association, ensuite, joignant l’action à l’idée, ils ont exécuté les résultats de leurs supputations avec un certain succès; enfin, par leur dynamisme, ils ont attiré, par leur actions réfléchies et posées, certainement l’attention de la camora qui leur réserve un travail bien payé à leur sortie de prison. Ils méritent bien le prix des jeunes entrepreneurs, non ? ;-p)

  3. Posté par colt seavers le

    Bien fait pour lui , va peut être comprendre maintenant que ces envahisseurs sont inassimilable dans nos sociétés , si il lui faut sa pour comprendre alors …bien fait pour lui

  4. Posté par Claire le

    Les animaux ont la reconnaissance du ventre, eux.

  5. Posté par Ludovic le

    Voilà ce qui arrive quand on accueille toutes les raclures du monde et quand on accepte de se laisser envahir par n’importe qui, sans aucune réaction. Et ce n’est que le début…

  6. Posté par Tonnerre Grondant le

    Attention à ces dégénérés , le temps de la guerre du Rwanda n’est pas si loin
    massacre à la machette on se souvient ?
    oui vous faites entrer les mêmes sauvages!

  7. Posté par Michel le

    Ces pôvres jeunes sont tellement pressés de s’intégrer à la population, qu’ils veulent sauter les étapes , que nous sales occidentaux , avons jugées nécessaires de leur imposer par des lois ou directives. Il faut bien comprendre que ce n’est pas l »élite de ces pays qui débarque mais pour la plupart, des délinquants venus profiter de la bonne soupe Européenne . Donc nos lois, ils s’en foutent…
    Le bobo-directeur à échappé au pneus enflammés, il s’en tire sans bobos ? Ainsi cette « belle âme » pourra continuer à collaborer à notre destruction..Et à la sienne…

  8. Posté par Carole le

    Un pied au c…à tous ces fainéants qui viennent piquer dans la caisse et condamner ansi les retraites futures de nos jeunes… une honte à ces politiciens complices. Leur politique à tous ces migrants…donne donne donne, la main tendue et si tu ne donnes pas, c’est le poing qui se forme…

    Silence s.v.p. – le gouvernement dort!

    par Adrian Amstutz, conseiller national,
    Chef du Groupe UDC, Sigriswil (BE)
    Tous les jours des Africains débarquent sur les côtes italiennes après avoir traversé la Méditerranée. Ce ne sont pas des réfugiés au sens du droit d’asile national et international, ce sont tout simplement des hommes et des femmes qui répondent aux offres largement diffusées via internet de politiciens européens de la bien-pensance comme Angela Merkel et Simonetta Sommaruga.

    Ces gens tenteront tôt ou tard de parvenir dans les pays européens qui sont sujets de cette publicité – principalement l’Allemagne, l’Autriche et la Suisse – et où l’Etat social leur garantit une vie sans souci. Un approvisionnement et des soins complets dont seuls quelques rares privilégiés peuvent jouir en Afrique, une existence financièrement garantie toute la vie, un logement, des soins médicaux, le dentiste, une liberté de mouvement, la gratuité des transports publics, de bonnes écoles pour les enfants, bref un confort tout compris leur sera garanti par une efficace industrie d’accueil. Si nous ne réagissons pas enfin rigoureusement, il ne faudra plus attendre très longtemps pour que notre généreux Etats social s’effondre définitivement sous le poids des migrants sociaux arrivant toujours plus nombreux.

    Mission impossible
    Les impôts et taxes grevant la population laborieuse augmenteront, mais les prestations des principales institutions sociales et de l’Etat social baisseront pour tous – pour celles et ceux qui financent le système et qui en attendent à juste titre une contrepartie, pour les habitants du pays auxquels le filet social est destiné, mais aussi pour les personnes qui viennent d’Afrique pour précisément en profiter. La mission est impossible parce que l’ampleur de la tâche est tout simplement irréalisable ! Des dizaines de millions d’individus se pressent aux portes de l’Europe. Ils comptent tous sur les généreuses prestations dont bon nombre d’entre eux profitent déjà ici. Les nouveaux arrivants exigeront les mêmes avantages. Ou alors la majorité du Conseil envisage-t-elle de refuser ces prestations au-delà d’un certain nombre de nouveaux arrivants? La majorité du Conseil fédéral veut-elle vraiment accueillir ces millions de migrants sociaux? Silence radio. Cette majorité ne se sent plus concernée par ces questions.

    Blocage systématique
    Ladite Délégation pour la sécurité, qui réunit Simonetta Sommaruga, ministre de l’asile, Didier Burkhaler, ministre des affaires étrangères, et Guy Parmelin, ministre de la défense, ne voit pas la nécessité de mieux protéger des frontières suisses excessivement perméables. Les deux ministres UDC n’ont aucune chance avec leur proposition d’engager l’armée pour renforcer le Corps des gardes-frontière. Toutes les propositions dans ce sens ont été systématiquement bloquées par la majorité de centre-gauche, soit le PLR, le PDC et le PS, qui fait la loi au Parlement.
    Comment l’Etat social peut-il être sauvegardé pour nos enfants et petits-enfants face à cet afflux d’Africains? Silence s.v.p.

    Comment financer le nombre énorme de migrants sociaux? Silence s.v.p.

    Comment, dans ces conditions, sauvegarder la paix et la cohésion sociales? Silence s.v.p.
    Où les terroristes de l’EI se réfugient-ils?
    Et c’est sans parler des nombreux terroristes de l’Etat islamique qui, camouflés comme demandeurs d’asile, affluent ou réaffluent en Europe. Où les criminels IS se réfugieront-ils après les défaites militaires dudit Etat islamique? En Europe et en Suisse, bien entendu, où sous le couvert du droit d’asile ils franchissent sans encombre des frontières passoires et où les attend une vie confortable. Comment la majorité du Parlement et du Conseil fédéral entend-elle protéger la population suisse contre ces malfaiteurs?

    En enlevant des douzaines d’agents de police aux cantons pour les envoyer à la frontière méridionale? Certainement pas. Ce procédé provoque dans le dispositif de sécurité des cantons de grosses lacunes dont les criminels savent parfaitement profiter. En fait, il ne reste que l’engagement d’unités spécialisées de l’armée aux frontières.

    Berne permet aux requérants renvoyés de passer leurs vacances en Suisse
    C’est à un rythme presque quotidien que nous parviennent des révélations incommensurables du chaos régnant au département Sommaruga. Voilà que l’on admet dans la procédure d’asile un ancien membre d’un gouvernement africain (qui a sans doute du sang sur les mains) et qu’on le transfère au canton d’accueil sans informer ce dernier. Et voilà aussi que nous apprenons que le Secrétariat d’Etat aux migrations du département Sommaruga autorise des criminels renvoyés et des personnes sous le coup d’une interdiction d’entrer en Suisse à « passer leurs vacances en Suisse ». Cela s’appelle une « suspension de l’interdiction d’entrer », avons-nous appris dans la presse. Mais la Berne fédérale affirme qu’elle ne sait pas combien de personnes profitent de cette aubaine. Comme il s’agissait de 64 personnes le jour de la publication de l’article, il faut partir d’un chiffre annuel beaucoup plus élevé.

    Le Secrétariat d’Etat aux migrations du département Sommaruga est-il complètement aveugle? Pourquoi le PLR et le PDC restent-ils les bras croisés alors que la Suisse se ridiculise par une politique absurde à l’égard des étrangers? Quand la majorité politique de la Berne fédérale décidera-t-elle enfin d’agir? Juste avant les prochaines élections?

    Silence s.v.p. – le gouvernement dort.

  9. Posté par Claude le

    DEHORS toute cette crapule ! Si les instances judiciaires italienne ne font pas leur boulot pour lequel elles sont payées, ce sera le PEUPLE qui va s’en charger !

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