Le maillage socialiste

La ville de Lausanne est gouvernée par un ramassis de gauchistes, de verts, de trotskistes, de communistes et beaucoup d’opportunistes.

L’entubage de la population a pris des proportions incroyables, proportions auxquelles les dirigeants des pays communistes avant la chute du mur n’auraient jamais osé rêver.

Le sort de la classe moyenne ne cesse d’être « amélioré » par des impôts toujours plus lourds, celui des contribuables par l’augmentation des subventions et du nombre des assistés.

C’est un peu la logique de la personne qui vous offre une partie de l’argent qu’elle vous avait volé.

L’armée des gauchistes au pouvoir ne cesse d’augmenter le nombre :

- des fonctionnaires,

- des infrastructures de toutes sortes,

- des subventions à tout-va.

Quant à eux, les contribuables sont de moins en moins nombreux.

Parallèlement, il s’exerce une politique de remplacement de population évidente, constatable de visu dans les rues de la ville.

Récemment, le BCI (Bureau cantonal pour l’intégration des étrangers et la prévention du racisme) a réédité (1ère édition, août 2015) une brochure de 90 pages, offerte gratuitement, présentant un recueil des associations œuvrant à ce sujet dans le canton de Vaud.

La grande majorité de ces associations siègent à Lausanne et environs.

Nous y trouvons 44 associations africaines, 11 associations maghrébines, 21 d’Amérique latine, etc.

La brochure regroupe sous la catégorie « européenne » 93 associations comportant en vrac les européennes classiques et les associations turques, albanaises, kosovares.

Une boutique en centre ville, appelée pudiquement « Info Cité », rattachée au Bureau de la communication, avec des employés ad hoc et des tonnes d’imprimés, est consacrée à la distribution de ces brochures pour faciliter la vie des assistés et des migrants.

 

Le gaspillage et la mauvaise gestion se retrouvent à tous les niveaux de la ville rouge.

La maladie inavouable de beaucoup d’employés communaux est le présentéisme : les heures passées à lire les journaux, à discuter de sport ou de vacances avec les collègues, à consulter internet au travail (accès aux sites pornos dorénavant bloqués à l’Etat)…

 

Des questions lancinantes se posent après ces constats :

- Pourquoi, et comment, tout ce désastre se perpétue-t-il ?

- Pourquoi les habitants votent-ils de plus en plus à gauche, alors que la classe moyenne croule sous les taxes, qu’une augmentation des impôts se profile, que la ville s’est enrichie d’un énorme marché à ciel ouvert de drogues et de prostitution, que la ville cumule des records nationaux en matière de dépenses publiques, de crasse, de parasites et de criminalité ?

- Pourquoi les esprits libres sont-ils si minoritaires et inaudibles ?

 

La réponse est simple : année après année, la gauche et ses camarades ont placé leurs pions dans les postes clefs de l’administration (cantonale et communale), dans l’enseignement à tous les niveaux, dans les médias et partout où ils pouvaient se le permettre. Si l’on soustrait de la population globale les fonctionnaires d’une part et les bénéficiaires de la manne publique d’autre part, il ne reste qu’une minorité, dont la moitié vient d’horizons très divers.

 

Sur la RSR, le 27.7.2017, l'invité de Thibaut Schaller était Jean-Jacques Fontaine, journaliste non moins de gauche et spécialiste du Brésil.

Thibaut Schaller tâte le terrain sur une réélection possible de Lula, tout en admettant que le bilan est « mitigé » : « Alors, il y a un certain clientélisme social, si on veut voir la verre à moitié vide […] ? »

Jean-Jacques Fontaine répond qu’on peut surtout imputer à Lula le fait d’avoir installé au pouvoir une espèce de nomenklatura de cadres du parti assez peu expérimentés dans la gestion gouvernementale, qui se sont emparés des rouages du pouvoir et cherchent à s’y maintenir par tous les moyens, y compris par l’institutionnalisation de la corruption politique.

Malheureusement, cette situation du Brésil ne fait qu’illustrer, une fois de plus, la nuisance intrinsèque et chronique de la gauche.

Lorsqu’une société est gangrenée par les gauchistes, leur pouvoir se consolide inexorablement par leur maillage de la société.

Et même après l’arrivée d’un gouvernement de droite, la situation peine à se redresser car les pions de gauche en place mettent les bâtons dans les roues pour la préservation de leurs privilèges. Ceci est vérifiable partout où la gauche a régné : avec l’Amérique de Trump, avec la Hongrie d’Orban et avec n’importe quel pays dans lequel la gauche a pu infiltrer toute la société.

 

Un dernier exemple vaudois, celui de Cesla Amarelle, montée en grade au Conseil d’Etat, et de son mari socialiste très bien placé en tant que directeur administratif du CHUV.

Ce dernier avait annoncé sa démission, en raison d’un possible conflit d’intérêts. Cette décision avait été saluée élogieusement par les médias. Mais nous venons d’apprendre que son touchant sacrifice aura été de courte durée, puisque, comme par miracle, un poste l’attend désormais au Conseil d'administration de l'Hôpital fribourgeois dès le 1er janvier 2018.

 

Cenator, 29 juillet 2017

13 commentaires

  1. Posté par Alain le

    Lausanne devenue ville « refuge » et multiculturelle par excellence pour population africaine, musulmane … qui va gentiment mais surement nous remplacer.

  2. Posté par benz le

    c’est con a dire mais lausanne doit mourir pour renaître et je pense que la prochaine crise économique mondiale qui arrive que certains qualifient de crise terminale va aussi toucher la suisse et bien entendu des villes dont les comptes sont complètement plombés lausanne pour la citer 3.5 milliards de dettes ça pourra pas tenir au dela de 2020 une fois ou l’autre il faudra rendre des comptes et il va y avoir du sang sur les mur

  3. Posté par SD-Vintage le

    « – Pourquoi les habitants votent-ils de plus en plus à gauche » : moi aussi je ne comprend pas : peut-être parce qu’il y a de plus en plus de Français bobo qui s’installent à Lausanne… pour fuir les impôts ?

  4. Posté par G. Guichard le

    Je suis français mais j’interviens: le commuisme des gauchistes, chinois, non-alignés est une version soft du communisme russe (ils saignent progressivement les gens; les soviets les envoient immédiatement mourir au goulag)

  5. Posté par Fanfouet le

    L’affaire Legrix à La Chaux-de-Fonds en est aussi un parfait exemple: l’arrivée de ce Municipal UDC dans une administration fortement colorée POP a déclenché un séisme incroyable ! Il faut dire que Legrix voulait mettre au boulot ce qui ressemblait plus à un atelier protégé qu’à une administration efficace…

  6. Posté par leone le

    Pas nécessaire d’aller à l’autre bout du Monde pour observer le maillage socialiste, la République et Canton de Neuchâtel en est un bel exemple. Et ce maillage socialiste a engendré un surnombre de fonctinnaires qui coûte 200 millions par an aux contribuables.

  7. Posté par hausmann conrad le

    Et j’oubliais ils fètent le 1er Aout avec nos amis les Africains !

  8. Posté par hausmann conrad le

    A des dergés divers c’est-.un peu- le cas de toutes les villes : Elles sont à davantage à gauche car tous les fonctionnaires ou presque votent à gauche et naturellement les assistés ainsi que les « artistes » etc. toutes une faune qui ne produit pas grand-chose comme valeur.Alors il est nécessaire de taxer les actifs comme les artisans, petits patrons, commerçants…Mais à Genève et Lausanne c’est pire encore !

  9. Posté par Hexgradior le

    Un vrai Paradis, je vous dis…

  10. Posté par leone le

    « Lorsqu’une société est gangrenée par les gauchistes, leur pouvoir se consolide inexorablement par leur maillage de la société. »
    Cela est vérifié dans la République et Canton de Neuchâtel.

  11. Posté par pierre frankenhauser le

    Je ne sais pas s’il fait du yoga, de la méditation transcendantale ou de la sophrologie pour tenir le coup, mais le PLR Pierre-Antoine Hildbrand, ancien juriste et secrétaire au Centre patronal, est le seul élu de droite à la municipalité de Lôzane. Seul, face à six gochos. Il faut avoir les nerfs solides. Je ne serais pas étonné que les six élus en question lui aient refilé le dicastère de l’économie – son domaine d’expertise – en lui faisant comprendre que s’il voulait être toléré dans l’équipe, il devait se débrouiller pour attirer un maximum d’entreprises payeuses d’impôts, le confinant ainsi dans un rôle de chasseur de vaches à lait.

  12. Posté par Bussy le

    « Il ne reste qu’une minorité… »….. et que se passera-t-il quand cette minorité ira sous d’autres cieux ou baissera les bras et rejoindra les improductifs ?

  13. Posté par Peter Bishop le

    C’est exactement ca : ils sont infiltrés dans tous les postes clés et maintenant on est cuit…

Et vous, qu'en pensez vous ?

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