Ce vendredi, le gouvernement a annoncé la fermeture de l'unique centre de déradicalisation de France. Basé sur le volontariat, il n'a pas trouvé de public.
Depuis le mois de février, les murs du centre de "prévention, d'insertion et de citoyenneté", de Beaumont-en-Veron (Indre-et-Loire), premier laboratoire chargé sur le terrain de la déradicalisation, ne voyaient plus passer personne. Inauguré en grande pompe en septembre dernier, ce centre expérimental, alternative aux centres éducatifs fermés, a clos définitivement ces portes ce vendredi,comme l'a annoncé dans un communiqué le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb.
Il proposait à ses pensionnaires de s'engager dans un projet professionnel en dix mois, avec une pension complète, ainsi que des cours, des ateliers et un suivi psychologique et social. Le ministre déplore qu'aucun des neuf jeunes accueillis dans l'établissement de 25 places n'ait "suivi le programme jusqu'à son terme" et pointe du doigt les "limites" de ce centre de réinsertion, "fonctionnant sur la base du volontariat".
Muriel Domenach, secrétaire générale du CIPDR (Comité Interministériel de Prévention de la Délinquance et de la Radicalisation) a été sollicitée par le gouvernement pour réfléchir à des solutions de prise en charge de ces jeunes en voie de radicalisation. Elle explique à L'Express les raisons de l'échec de ce centre.
Pourquoi le gouvernement a-t-il décidé de fermer définitivement le centre de Beaumont-en-Veron?
Muriel Domenach: Ce centre, mis en place pour accueillir des jeunes radicalisés, consistait en une troisième voie entre le milieu ouvert et la prison. Mais cette expérience, qui ne regroupait que des personnes volontaires, ne s'est pas avérée concluante. Depuis le départ de son dernier membre, en février, elle a été suspendue. Et le CIPDR, sollicité par le gouvernement, a, après évaluation de son fonctionnement, préconisé de le fermer. L'Etat a pris une décision réaliste.
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Rappel:
Les politiques de « déradicalisation » en France : 100 millions d’euros pour rien!
En tout cas , l’arnaque aura rapporté beaucoup de pognon aux copains d’amis biens placés.
La France a toujours su se montrer généreuse avec les voyous.
Mais QUI va bénéficier de ces structures ? Des familles SDF françaises , depuis trop longtemps à la rue, sans doute….Ateliers, suivi psychologique et social cela pourrait aider des familles à repartir du bon pied !
Il y a pourtant un exemple : Guantanamo. On isole les personnes dangereuses pendant le temps nécessaire. Vous allez me rétorquer que cela n’est pas dans la loi, ni très démocratique. J’en conviens. Mais les attentats à l’explosif, les meurtres au couteau ou le meurtre d’innocents à la kalachnikov sont-ils démocratiques ? Nos gouvernements sont des lopettes sans c…illes ! Ils préfèrent que des concitoyens se fassent occire que d’affronter l’islam mortifère …
N’oublions pas, malgré toutes ces postures et ces mascarades, que ce gouvernement est de gauche. Une de leurs constantes est la dilapidation de l’argent public.
« fonctionnant sur la base du volontariat ». A crever de rire; ils ne seront jamais volontaires que pour une seule chose: nous nuire.
Cautère sur jambe de bois, encore..