La moralité des renvois de requérants séropositifs fait débat

Les journalistes de la RTS nous abreuvent d’invités gauchistes qui perpétuent sans relâche la culpabilisation de la population avec le message : « ces Suisses trop riches qui n’en font jamais assez pour les autres ».

Dans l’interview ci-dessous, le médecin responsable des maladies infectieuses du CHUV, Matthias Cavassini, n’hésite pas à nous rappeler les manquements de la Suisse envers les juifs durant la seconde guerre mondiale, pour nous faire endosser la responsabilité de la prise en charge de la totalité des migrants séropositifs.

BASTA de cette instrumentalisation abjecte de la Shoah !

 

Notre pays subit une invasion aux proportions délirantes, et insupportable, d’une horde de profiteurs  qui s’y est invitée, avec l’aide des gauchistes et nous ne nous révoltons pas !

Quand ce délire s’arrêtera-t-il ?

Parallèlement au désastre économique, sociétal, sanitaire (tuberculose, sida, gale, lèpre, …), culturel, civilisationnel, cette invasion migratoire a amené une explosion de la criminalité, une épidémie de viols de femmes et d’enfants (même dans les piscines), et il faudrait maintenant que notre pays soit une terre d’accueil et de soins pour les séropositifs d’Afrique et d’ailleurs ?

Comment neutraliser tous ces bien-pensants qui travaillent à notre destruction ?

Rappels:

- Nous n’avons aucune responsabilité envers les africains HIV positifs, ni atteints d’autres maladies !

- Depuis des lustres, les contribuables suisses versent annuellement des milliards d’aide aux pays en développement, aide s’ajoutant à celle d’autres pays ‘riches’.

 

Résultat des courses pour l’Afrique :

« En un demi-siècle, l’Afrique a dilapidé son héritage colonial

http://www.lesobservateurs.ch/2015/04/28/en-un-demi-siecle-lafrique-a-dilapide-son-heritage-colonial/

Article publié le 28.04.2015 par Jacques Guillemain :

[…] Rappelons qu’en 1960 les pays africains avaient un niveau de vie supérieur à toute l’Asie, Japon excepté. Aujourd’hui, la Corée du Sud ou Taïwan ont un niveau de vie trente fois supérieur à celui de la Côte d’Ivoire ou du Kenya. […]

Au Zimbabwe, jadis grenier à blé du continent, l’indétrônable despote Mugabe a affamé son peuple en chassant les 4000 fermiers blancs et en redistribuant leurs terres à des incapables de son clan qui les ont laissées en friche. […]

Aider l’Afrique, c’est donc mission impossible. Avec son milliard d’habitants, celle ci produit la moitié du PIB français, c’est tout dire. L’essentiel provenant du pétrole et des matières premières qui profitent à une minorité. Sur le plus riche continent de la planète au plan géologique, un habitant vit avec 4 dollars par jour en moyenne.

Par conséquent, les obsédés de la repentance qui font l’éternel procès de la colonisation seraient bien avisés de faire aussi le bilan d’un demi-siècle d’indépendance. J’ajoute, au cas où ces donneurs de leçon l’ignoreraient, qu’en arrivant en Afrique nous avons trouvé l’esclavage, le cannibalisme, les sacrifices humains, les guerres tribales, les famines et les épidémies. Et je note que si la traite atlantique fut un crime contre l’humanité que la France a officiellement reconnu en 2005, la traite inter-africaine et la traite arabo-islamique n’ont jamais suscité la moindre émotion chez nos bonnes âmes de la bien-pensance, bien qu’elles aient fait tout autant de victimes et que l’esclavage perdure de nos jours dans certaines contrées. Repentance à sens unique comme toujours, puisque les Occidentaux ont le monopole du mal comme chacun sait. […] »

 

Par ailleurs, en Suisse, d’autres assistés chroniques, venant du monde entier, jouissent de la manne des contribuables.

La classe moyenne, qui finance tout cela sans toucher d’aides de l’Etat, ne cesse de s’appauvrir, et les retraités ont vu, en dix ans, leur rente AVS augmenter de 40 CHF seulement et leur rente 2ème pilier stagner !

Parallèlement, l’assurance maladie n’a cessé d’augmenter, comme les loyers, les transports… et le salaire des fonctionnaires.

 

L’Etat devrait se sentir plus de responsabilité morale envers ses honnêtes citoyens et non pas envers le monde entier.

 

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RTS, Forum, 26 juillet 2017

https://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/la-moralite-des-renvois-de-requerants-seropositifs-fait-debat?id=8786845

La moralité des renvois de requérants séropositifs fait débat

Interrogé dans le Journal du matin de La Première, le médecin responsable des maladies infectieuses au CHUV Matthias Cavassini a posé la question de la moralité des renvois de demandeurs d'asile séropositifs. Débat entre Michaël Buffat, conseiller national (UDC/Vaud), et David Perrot, directeur du Groupe sida (Genève).

 

Transcription abrégée :

Journaliste : Est-ce éthique de renvoyer des demandeurs d’asile séropositifs ? C’est la question que se posait ce matin Matthias Cavassini, en comparant la pratique actuelle à celle de la première guerre mondiale. On le réécoute :

– Les Suisses ne voudraient pas savoir qu’ils partagent une assurance-maladie qui va aussi soigner des migrants séropositifs. Les Suisses pourtant sont assez sensibles au fait d’avoir été implitiqués politiquement de manière négative dans la Seconde Guerre mondiale pour avoir renvoyé des gens en Allemagne en disant d’ils y allaient pour travailler, et pourtant l’histoire se répète.

– Vous faites une comparaison, euh…

– Je fais une comparaison dure, mais elle est là, et quand je lis les rapports de l’Office des migrations, je ne peux pas m’empêcher de faire ce parallèle. Je sais que c’est politiquement très dur, mais si on lit les documents officiels, c’et des phrases du style « Le pays nous garanti que cette personne aura accès aux soins, donc il n’y aura pas de danger pour sa santé. »

Il y aurait donc une question morale à se poser. David Perrot, vous êtes directeur du Groupe sida (Genève), vous avez aussi dirigé un centre pour requérants d’asile à Winterthour, c’est donc une thématique que vous connaissez bien. Quelle devrait être l’attitude des autorités ?

David Perrot : Ces personnes, pour des raisons vitales, ont besoin de rester en Suisse, cela me paraît évident qu’on doit les laisser rester en Suisse pour ces raisons médicales.

Journaliste : C’est un motif de non-renvoi ?

DP : C’est sûr. Pour nous, oui.

J : Cette comparaison avec les pratiques de la Seconde Guerre mondiale, ça ne va pas un peu loin ?

DP : Je n’aime pas trop ces comparaisons non plus. Mais Matthias Cavassini a raison dans ce sens que le VIH, dans des pays comme l’Afrique, est une maladie qui tue encore, le stade sida existe, il y a beaucoup de morts, donc renvoyer quelqu’un en Afrique sans qu’il ait accès aux traitement, cela peut signifier sa fin de vie. En Afrique, il n’y a que 37% des personnes [séropositives] qui sont sous traitement. Et ne pas être sous traitement, c’est potentiellement exposer une personne à une situation de fin de vie.

J : Michaël Buffat, il y a donc une responsabilité morale à avoir ?

Michaël Buffat : La loi sur l’asile est là pour protéger les gens qui sont menacés par leur Etat et non pour régler des problèmes sanitaires ou économiques. Et je crains – là on parle du sida, mais ça pourrait être étendu à d’autres maladies, puisqu’en Suisse les traitements sont bien sûr de meilleure qualité que dans la plupart des pays d’Afrique – je crains qu’en faisant ça, on créé une sorte de pompe aspirante, et ça va encourager encore plus les réseaux de passeurs. Alors, on parle d’éthique, j’aime bien qu’on me donne des leçons d’éthique, mais est-ce aussi éthique de faire prendre à ces gens le risque de traverser la Méditerranée, avec les risques de mort que cela entraîne, en leur faisant croire que c’est le paradis en Suisse, je ne crois pas.

J : Il y a une pénurie de traitements en Afrique. Renvoyer quelqu’un en Afrique sachant qu’il n’aura pas forcément de traitement, ça ne vous pose aucun problème ?

MB : Une grande partie des requérants déboutés en Suisse sont des cas Dublin…

J : Donc on reporte le problème…

MB : 93% des requérants renvoyés le sont dans un autre pays de l’Union Européenne, pas en Afrique. Ensuite, il y a un coût, et on ne doit pas créer une pompe aspirante pour régler ce problème sanitaire qu’il y a en Afrique. Les Suisses n’ont pas à culpabiliser, on fait beaucoup pour l’asile pour protéger les gens, on fait également beaucoup avec l’aide au développement, ce sont des milliards chaque année qu’on investit dans ces pays pour qu’ils se développent et que leur système de santé s’améliore.

J : L’aide au développement que l’UDC veut raboter régulièrement… Il n’y a pas de contradiction, là ?

MB : Non, mais l’aide au développement doit être faite avec des conditions, comme par exemple que ces pays acceptent de négocier avec nous des accords de retour.

J : David Perrot, Michaël Buffat dit que les gens sont attirés par des traitements ici, est-ce que ce ne serait pas sur place qu’il faudrait améliorer les conditions de traitement, via peut-être l’aide au développement aussi ?

DP : Peut-être juste un commentaire sur cet effet d’appel d’air. C’est un argument souvent mis en avant. La réalité qu’on voit sur le terrain, c’est qu’il n’y a pas de tourisme de santé. Les gens qui viennent en tant que réfugiés, ou, effectivement, migrants, ne viennent pas pour des raisons de santé. Déjà une personne qui quitte son pays doit être plus ou moins en bonne santé pour faire tout ce trajet pour venir ici. Ce qu’on observe, c’est que les gens tombent malades au cours de leur voyage, ou ils tombent malades ici. Par rapport au VIH, il y a une grande partie de ces personnes qui découvrent leur séropositivité une fois en Suisse. Le voyage et aussi les difficultés d’accès aux soins ici font qu’ils ont un problème de santé qui se développe ici.

J : D’où une responsabilité morale de les soigner aussi ici :

DP : Je pense qu’on a une responsabilité morale. Si j’ai une personne malade qui vient dans nos locaux, notre premier réflexe c’est de l’aider. S’il y a une raison médicale importante et qu’elle soit ici, on ne va pas la renvoyer, ni à la frontière, ni dans une autre structure.

J : Michaël Buffat, ils ne viennent pas pour ces raisons-là, il n’y a pas d’appel d’air ?

MB : Dans le domaine de l’asile, les informations circulent rapidement, les passeurs sont toujours en pointe : le jour où la Suisse déclare que des personnes malades pourraient se faire soigner d’une meilleure qualité chez nous et que le fait d’être déclaré malade permet de rester en suisse… on peut me dire ce qu’on veut, ça va créer un appel d’air ; et ça aura un coût que la population devra assumer.

J : David Perrot, je reviens à la question de l’aide sur place. N’est-ce pas là-bas qu’il faudrait mettre encore plus de moyens ?

DP : C’est sûr. Il faut mettre les efforts là où l’épidémie est la plus concentrée. C’est clairement en Afrique centrale. Il y a d’autres pays du monde où l’épidémie est en train de reprendre, dont typiquement l’Europe de l’Est. Pour résoudre le problème il faut soutenir les gens sur place. C’est pour ça qu’on a besoin de l’aide internationale  parce que ces pays n’ont souvent pas les moyens pour le faire. Ces aides de la communauté internationale sont en train de stagner voire diminuer. Les soutiens au Fonds mondial contre le VIH, la tuberculose, la malaria, sont potentiellement en train de diminuer. Les Etats-Unis ont déjà annoncé qu’ils vont probablement diminuer leur apport. La Suisse peut-être aussi, on verra.

J : Voilà une proposition, Michaël Buffat : augmenter peut-être les aides sur place pour les traitements ?

MB : C’est toujours facile de dire « Il faut augmenter, il faut augmenter ». Je crois que la population suisse fait sa part. Elle verse plus de 3 milliards et demi à l’aide au développement, plusieurs milliards également dans le cadre de l’asile, et bien qu’on soit un pays riche il y a aussi des gens en Suisse qui doivent se serrer la ceinture, qui subissent la hausse des coûts de la santé : est-ce aussi éthique de faire assumer à ces gens-là les coûts de ces personnes qu’on voudrait soigner ? Les Suisses n’ont pas à culpabiliser. On fait notre part dans le système mondial pour aider et lutter contre ces malades, et les propos de ce médecin me choquent un petit peu, oui.

J : MB, DP, merci.

 

**************

 

Encore quelques rappels:

En 2009, la densité de population en Afrique était de 30 habitants au kilomètre carré, soit quatre fois moins que l'Union européenne

En 2016, le taux de fécondité en Afrique est estimé à 4,7 enfants par femme, contre une moyenne mondiale de 2,5.

Le record mondial de la fécondité appartient au Niger avec 7,6 enfants par femme en 2012.

La population de l'Afrique est très jeune : 41 % a moins de 15 ans. En 2012, l'âge médian du continent est de 20 ans. L'Ouganda et le Niger sont les pays les plus jeunes du monde : 49 % des habitants ont moins de 15 ans.

Population africaine en 1970           365'626'000
Population africaine en 2016       1'216'130'000

 

Superficie de l’Afrique : 30,37 millions de km²

Superficie de la Suisse : 41'290 km2, soit 735 fois plus petite que l’Afrique.

un_population_projections_steve_sailer_2

http://www.unz.com/isteve/the-worlds-most-important-graph/

 

Ces chiffres parlent d’eux-mêmes !

Et pour ceux qui ne seraient toujours pas convaincus, les dures réalités les rattraperont beaucoup plus vite que prévu. Le répit escompté sera de courte durée, la lâcheté est toujours mauvaise conseillère.

 

Cenator, 28 juillet 2017

 

11 commentaires

  1. Posté par Maurice le

    Merci, Observatrice révoltée, c’est beau !

  2. Posté par Observatrice révoltée le

    APPEL AUX CITOYENS PATRIOTES
    Cantique suisse et Pacte fédéral de 1291 : à diffuser utiliser s’y référer = un début de rébellion (c’est triste d’utiliser le terme rébellion pour quelque chose de naturel et de patriote mais c’est un début. Si tous nous les appliquons nous pourrions faire un bilan de nos 1er aoûts respectifs : qui a sifflé le faux « hymne »‘imposé de force etc. Je me suis cousue une robe typique gruyerienne et je la porterai fièrement comme symbole de ma patrie. Il est temps si pas déjà trop tard de montrer qu’une opposition existe à tout ce que nous lisons chaque jour sur les obs et autres.
    ———
    Sur nos monts, quand le soleil
    Annonce un brillant réveil,
    Et prédit d’un plus beau jour le retour,
    Les beautés de la patrie
    Parlent à l’âme attendrie;
    Au ciel montent plus joyeux
    Au ciel montent plus joyeux
    Les accents d’un coeur pieux,
    Les accents émus d’un coeur pieux.
    Lorsqu’un doux rayon du soir
    Joue encore dans le bois noir,
    Le coeur se sent plus heureux près de Dieu.
    Loin des vains bruits de la plaine,
    L’âme en paix est plus sereine,
    Au ciel montent plus joyeux
    Au ciel montent plus joyeux
    Les accents d’un coeur pieux,
    Les accents émus d’un coeur pieux.

    Lorsque dans la sombre nuit
    La foudre éclate avec bruit,
    Notre coeur pressent encore le Dieu fort;
    Dans l’orage et la détresse
    Il est notre forteresse;
    Offrons-lui des coeurs pieux:
    Offrons-lui des coeurs pieux:
    Dieu nous bénira des cieux,
    Dieu nous bénira du haut des cieux.
    Des grands monts vient le secours;
    Suisse, espère en Dieu toujours!
    Garde la foi des aïeux, Vis comme eux!
    Sur l’autel de la patrie
    Mets tes biens, ton coeur, ta vie!
    C’est le trésor précieux
    C’est le trésor précieux
    Que Dieu bénira des cieux,
    Que Dieu bénira du haut des cieux.
    Des grands monts vient le secours;
    Suisse, espère en Dieu toujours!
    Garde la foi des aïeux, Vis comme eux!
    Sur l’autel de la patrie
    Mets tes biens, ton coeur, ta vie!
    C’est le trésor précieux
    C’est le trésor précieux
    Que Dieu bénira des cieux,
    Que Dieu bénira du haut des cieux.
    PACTE FÉDÉRAL 1291
    Au nom de Dieu, Amen
    Nous, les hommes d’Uri, de Schwyz
    et d’Unterwald,
    conscients de la gravité des temps,
    désireux de nous accorder aide et protection, promettons et jurons de nous porter secours
    et conseil les uns aux autres,
    de nous soutenir de toutes nos forces et,
    s’il le faut,
    au prix de nos vies et de nos biens
    contre quiconque nous ferait violence
    ou nous causerait du tort.
    Unanimes, nous faisons aussi le serment de
    ne tolérer aucun juge étranger dans nos vallées. Que personne n’attente à la vie
    ni au bien d’autrui.
    Quiconque se sera rendu coupable
    est tenu de faire réparation.
    Si une discorde vient à surgir entre Confédérés, les meilleurs d’entre nous se réuniront,
    afin de rétablir la paix.
    Les engagements de ce pacte, conclu pour le bien de tous, devront, avec l’aide de Dieu, durer à perpétuité. Fait en l’an du Seigneur 1291,
    au début du mois d’août.
    ———
    Les révolutionnaires prennent les armes. Je propose que l’on commence par prendre les mots pour se débarrasser des maux. Sur nos tombes, quand viendra le temps des armes, on écrira : « ni pute ni dupe »

  3. Posté par Maurice le

    Ah oui, grand merci Cenator !
    Matthias Cavassini, ce médecin du CHUV aux arguments biaisés et pervers, cherche-t-il à faire de la Suisse le plus grand hôpital du monde ? un hôpital mondialiste, une maladière internationale communiste ?
    Ou bien a-t-il besoin d’une grande quantité de sidéens pour devenir le grand héros mondial des soins sidéiques et des maladies tropicales ?

  4. Posté par Alain le

    Boycott sur la RTSocialiste !

  5. Posté par Claude le

    Je me souviens il y a 60 ans de cela, qu’on participait à des collectes pour aider l’Afrique. 60 ans après on continue toujours d’aider l’Afrique et en PLUS on se fait envahir … Le planning familial n’a pas l’air de fonctionner du tout dans ces pays (démographie galopante) et d’autre part il faut bosser !! En migrant vers l’Europe, ces réfugiés économiques obtiennent TOUT et tout de suite, pourquoi se priver ?

  6. Posté par Peter K le

    Il ne sert plus a rien de discuter, d’argumenter avec nos ennemis, il faut faire place a l’action physique, violente si nécessaire, sortir les fass de leurs armoires et utiliser notre droit de se defendre, comme inscrit dans la constitution, c’est le seul moyen de stopper et reduire l’invasion de notre continent et de changer le cours de l’histoire! Sans cela notre civilisation disparaitra par submerssion, il est deja presque trop tard…

  7. Posté par Bussy le

    Visiblement chacun cherche à développer son business, en se foutant pas mal des conséquences sur les autres, en particulier de la classe moyenne qui finance tout ce cirque…. mais pour combien de temps encore ?

  8. Posté par Blocus le

    Les 8,081 millions, c’est un erreur, le chiffre exacte c’est 8’417’700 habitants pour 2016.
    merci de corriger.

  9. Posté par Blocus le

    La Suisse a la même superficie que la Région Aquitaine (sud ouest de la France)
    41 308 km² ; 3,335 millions habitants;
    La Suisse : 41 285 km²; 8,081 millions d’habitants et ce, sur 1/3 de surface habitable.
    Donc, avec 8’417’700 habitants en 2016, la suisse entasse 613 personnes au Km2.

  10. Posté par G. Vuilliomenet le

    Allez petits Suisses, vous êtes, nous sommes bons à tondre, telle est la morale de cette histoire.

  11. Posté par Christian Hofer le

    Bravo pour ce travail très imposant Cenator.

    Visiblement pour les deux autres protagonistes, nous ne sommes là que pour financer l’Afrique et nous taire, comme des esclaves. Ils n’ont aucun mot pour tous les Suisses qui n’arrivent plus aujourd’hui à aller chez le médecin. Mais il faudrait soigner l’Africain qui s’impose chez nous alors qu’il est bien souvent lui-même responsable de sa situation. Pendant ce temps, les Européens se privent de tout.

    J’ose ajouter: ce ne sont pas seulement les contribuables qui aident l’Afrique. Il faut encore compter les dons personnels depuis des décennies (j’en ai fait partie dans ma jeunesse et j’en vois aujourd’hui les remerciements!), les médecins et infirmières qui vont en Afrique bénévolement pendant que des Suisses se privent de soin, les associations caritatives qui amènent du matériel, les dons des institutions (matériels ou financiers), leurs réfugiés qui sont nourris, logés, soignés, éduqués etc.

    En outre, leurs problèmes d’hygiène, de démographie, de maladies sont aussi liés à leur mode de vie. Les Suisses qui n’ont pas d’argent ne font pas d’enfants. A contrario, les Africains font reposer le poids de leurs manquements sur les Occidentaux qu’ils traitent cycliquement de racistes.

    Bien évidemment dans ce genre de discussion, le représentant UDC est en minorité. Moins de temps de parole, mois d’arguments puisque isolé. Bref la RTS comme à son habitude.

Et vous, qu'en pensez vous ?

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