17 commentaires

1. Notre fête nationale est l’occasion de célébrer ces valeurs que sont l’indépendance, la liberté et l’ouverture d’esprit. Que fait Pagani? Il impose en ce jour particulier la co-célébration d’une autre fête nationale, arguant que les citoyens peuvent aller voir ailleurs si cela les dérange!

   Cette promotion du multiculturel nous impose de plus en plus un environnement d’une multitude de langues diverses et de codes qui excluent ceux qui ne les maîtrisent pas, soit les autochtones. Les attaques contre notre patrimoine culturel se font de plus en plus virulentes, comme si on devait laisser les autres cultures étouffer la nôtre… en toute liberté!

   Ceux qui soutiennent ce mouvement devraient se mobiliser pour saboter la fête nationale, car c’est bien cela que sous-tendent les discours anti-nationalistes de Pagani, Ada, Cesla, secondos et consorts.

2. La véritable raison de la « fête nationale commune » Suisse – Bénin

   Très loin de la philanthropie apparente affichée par le gouvernement genevois, qui crée une polémique sur le racisme pour détourner l’attention des faits suivants:

   Le Bénin est entré dans un nouveau régime dit « de Rupture » et « de Révélation », termes qui désignent son entrée dans la « Communauté Internationale », c’est-à-dire l’orbite des multinationales privées ayant pris les USA en otage, comme les suiveurs, avec pour but de démanteler les Etats, donc la justice publique, par leur faillite.

   La Fête Nationale commune sert de voile de célébrations populaires à une visite de délégation béninoise aux actuelles autorités suisses, pour s’inspirer de leurs méthodes – quel hasard que cela ait eu lieu juste après le coup d’Etat anticonstitutionnel autour du 9 février, et dans la ville du « Charity Business » qu’est Genève.
   Il s’agit donc en réalité d’un rendez-vous d’affaires entre politiciens, simplement, corrompus, et de businessmen, banquiers, spéculateurs, PDGs de multinationales. La Suisse est bien tombée au niveau des Républiques bananières.

   Petite liste d’invités, issus du programme international de formation d’élites conformes aux intérêts de la CIA, Young Leaders, comme Emmanuel Macron:

   Lionel Zinsou, premier ministre du Bénin de 2015 à 2016 – Wikipédia :
   • Au même moment, PDG du fonds d’investissement européen PAI partners, spécialisé dans le rachat d’entreprises en faillite.
   • Ancien associé-gérant de la Banque Rotschild.
   • Gestionnaire des opérations de la Françafrique pour le syndicat patronal MEDEF, la Françafrique étant la tutelle des ex-colonies française sous le franc CFA.
   • Actuel président du think thank néolibéral anti-frontière Terra Nova.
   • Membre de l’Institut Montaigne (néolibéral), grand soutien de Macron.

   Patrice Talon, actuel président du Bénin – Wikipédia :
   • Homme d’affaires, 15e fortune Africaine selon Forbes.
   • Spécialisé à Paris dans la spéculation sur les matières premières – cause principale de la pauvreté des paysans du Tiers-Monde.
   • Contrôle le tissu industriel béninois grâce à la holding SFP, fusion-acquisition de concurrents affaiblis par une fausse lutte anti-corruption.
   • Mêlé à des scandales de fraude et de tentative d’assassinat contre le président d’avant-rupture, Boni Yayi (qui s’appuyait sur une coalition de petits partis), non-lieu obtenu faute de passage à l’acte, par un juge qui a, le soir même, tenté de fuir aux USA.

3. @ Belser Véronique

   Vous auriez même pu ajouter qu’avant la décolonisation, la fête nationale était un concept inconnu en Afrique.

   Quant au patriotisme et au nationalisme, nous n’avons pas de leçons à donner aux Africains, chez eux, il est assez exacerbé, à tel point qu’on se demande comment un internationaliste bolchevique apatride et anti-patriote peut accepter d’inviter des gens qui ne pensent vraiment pas comme lui. Plus c** tu meurs!

4. La véritable raison de cette célébration comme est qu’elle sert de voile ethno-bobo à des tractations entre membres de la Young Leaders Society (société américaine de formation des leaders étrangers en accord avec les intérêts des USA), dont est membre par exemple l’ex-premier ministre du Bénin, en plus qu’il soit du think thank néolibéral Terra Nova, tandis que l’actuel président démantèle les institutions béninoises au profit des multinationales.

5. Je suis d’accord avec les personnes Suisse la FETE de GENEVE est beaucoup plus important que la fete des africains .Notre FETE NATIONALE est beaucoup plus importante que la fete des africains. Notre FETE est plus ancienne que celle de la fete des africains sont MOINS importante que la NOTRE DE FETE SUISSE NATIONALE. Véronique Belser

6. Le mot « patrie » (lat. patria) existe évidemment depuis fort longtemps. Mais si je ne m’abuse, le mot « patriote » a été employé dans la foulée de 1789 pour désigner ceux qui étaient contre l’Ancien Régime. Conséquemment, le mot « patriote » est un concept de gauche. Monsieur Mariani devrait réviser son histoire.

7. @ citoyen outré : on parle ici de la fête nationale SUISSE; pas d’une de ces célébrations multiculturalistes de quartier (pour lesquelles les gauchos de service trouvent malheureusement bien d’autres occasions).

8. Je suis assez d’accord avec Claude: deux fêtes séparées. Les Béninois n’ont qu’à trouver un lieu pour se retrouver entre eux et accueillir aussi les gens intéressés, mais pas imposer leurs coutumes notre Fête nationale. La Suisse doit rester la Suisse! On n’a pas à mélanger du yodle avec des chants africains, faut pas déconner. Pourquoi ne pas faire chanter notre hymne national par des rappeurs, pendant qu’on y est ?

   Sinon, je vais encore faire mon gros raciste: quelques jours après la Fête nationale US, un Américain handicapé mental est mort lors d’une arrestation. Menotté, puis tabassé et « taserisé » plus d’une dizaine de fois par deux policiers. Cette fois, les deux flics sont noirs et la victime est blanche. Nos merdias doivent encore hésiter à nous en parler, préférant s’acharner sur Trump ou Volkswagen. Faudrait surtout pas que ça s’ébruite dans l’opinion publique.

   https://francais.rt.com/international/41441-deux-policiers-nebraska-frappent-tasent

9. Ben moi je n’en ai pas trouvé à la Migros, de drapeaux béninois. Faut croire qu’eux aussi sont racistes.

   Je lui rappelerai tout de même, puisque celui-ci pourrait nous lire, que le bras armé de sa tendance politique, est pour sa part et, sans l’ombre d’un doute, raciste, puisque une de ses nombreuses « progénitures » genevoises, a tenté de brûler un policier français de couleur dans sa voiture de fonction. C’est le même genre de dégénérés qui caillaissaient l’hôpital pour enfants « Necker » lors de Nuit Debout. Je lui rappelerai également, que les violences liées à l’extrême gauche sont rationnellement sept fois plus élevées que celles liées à l’extrême droite (Selon le dernier rapport du Service du Renseignement de la Confédération).

   Le pauvre Pagani trépassera comme il a vécu. Con comme une moule à marée basse et sans aucune leçon de bienpensance à donner à quiconque.

   aussi con qu’une moule à marée basse.

10. Avec le nombre d’Africains qui se promènent à Genève, il a le culot de nous traiter de raciste ! L’UDC est certainement moins raciste que les Bolchéviques l’étaient ! Un magistrat qui pourrait reétudier son histoire. (v par ex. le procès des blouses blanches à Moscou!)

11. Pagani n’a pas été sollicité par les 100% d’électeurs genevois que je sache. J’ai encore le xroit de conchier ses idées et ses propositions.

12. « les valeurs de solidarité, partage, paix et tolérance » (jusqu’à la folie)… « le système économique injuste autour de la planète (!) qu’il faut dénoncer » (large is beautiful)… C’est beau à pleurer, l’évangile recyclé par l’internationalisme historique, dont Pagani est l’un des prophètes. Et pratique : depuis que l’évangile des valeurs est « descendu dans le rue » pour folâtrer, il n’y a plus à se déplacer dans les églises pour entendre celui des apôtres. Sans compter que le premier peut être accueilli assis sur son vélo éco-friendly et tout en dégustant des sushis durables, tandis que l’autre… Par ailleurs, les racistes étant introuvables, l’index des respectables, dont Pagani est un membre éminent, semble maintenant pointé en direction des inconscients qui fleurtent avec désinvolture « à la limite du racisme »; ceux-ci feraient bien de se tenir dorénavant « à la limite de la limite », s’ils entendent se soustraire (momentanément) à « l’envie de pénal » qui démangent ceux-là.

13. Comme d’habitude (mauvaise habitude) on MÉLANGE TOUT et n’importe quoi ! Je suis pour fêter dignement NOTRE fête nationale le 1er août. Je suis pour que des Béninois fêtent leur journée nationale ! Il y a un  »MAIS » et de taille, ne mélangeons pas tout !! Il faudrait pour des raisons de coïncidences de calendrier que nous nous mélangions tous ensembles … le multiculturel en quelque sorte. Je dis NON ! Je suis patriote, j’aime mon pays la Suisse que je respecte et j’espère que d’autres comme moi l’apprécie. Que les Béninois fêtent ensembles ne me dérange absolument pas. Nous n’avons pas les mêmes traditions et les mêmes coutumes !

14. Comme d’habitude, je n’ai qu’un seul et unique commentaire à faire : on n’a pas à se lamenter. Pagani et les autres dans son genre, c’est bien…nous qui les avons élus, non ? Qui sème le…récolte le…

15. Un salopard membre d’une organisation criminelle qui a des dizaines de millions de tués sur la conscience, la derniere personne a pouvoir faire la lecon a nous autres patriotes, vraiment inimaginable que Geneve aie un communiste a sa tete!

16. Ayant lu l’article du Courrier, je relève 2 choses
    « La question oppose deux conceptions sociétales. D’un côté, celle d’une ville structurellement multiculturelle et ouverte sur le monde. De l’autre, des citoyens patriotes, identitaires et centrés sur leur culture. »
    Donc là, il s’agit simplement de diviser les gens en 2: les bons et les méchants. Vision manichéenne, simpliste, erronée.

    « Il rappelle qu’il y a de nombreuses similitudes entre les deux nations, en terme de taille de la population, de promotion des droits humains ou de gouvernance.  »
    Si on lit la page Wiki du Bénin, on voit que la Suisse n’a aucun rapport avec le bénin
    https://fr.wikipedia.org/wiki/B%C3%A9nin

17. Personnellement, cela ne me dérange pas du tout. Cela n’enlève rien aux valeurs de la Suisse. Les Béninois sont les bienvenus, sans que ça doive en offusquer certains. J’aime mon pays et trouve qu’il doit être ouvert aux autre cultures. Pourtant, je suis absolument contre l’immigration incontrôlée, qui n’a rien à voir avec une fête, nationale ou pas.