« Un an après la tentative de putsch, la main de l’Europe reste tendue », a écrit Jean-Claude Juncker, le président de la Commission européenne dans une tribune publiée par l’édition dominicale du journal allemand Bild, alors que les négociations en vue d’une adhésion de la Turquie à l’UE sont depuis plusieurs années au point mort et que les citoyens européens n’en veulent pas.
Remarquez que tous les sondages réalisés en Europe à propos de l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne sont très largement négatifs: c’est un refus massif à plus de 70%. Malgré cela, le président de la Commission européenne, en notre nom à tous et avec le soutien de Merkel et Macron (impossible autrement), continue de déclarer à la Turquie que la main de l’Europe reste tendue.
C’est probablement la raison principale, pour laquelle les Britanniques ont voté le Brexit, la sortie du Royaume-Uni. De cette Europe-là, les Européens ne veulent pas.
C’est non seulement un déni total de la démocratie, mais c’est dans le chef de Jean-Claude Juncker, une véritable provocation, qui s’était d’ailleurs accompagnée il y a un an et demi de la fameuse déclaration : « l’immigration que nous vivons est une grande chance pour l’Europe ».
Pour Juncker, en échange, il est nécessaire « que la Turquie démontre clairement sa volonté d’être européenne et prenne à coeur de manière décidée les valeurs européennes fondamentales », a ajouté M. Juncker, dont les services sont chargés de mener les négociations d’adhésion avec la Turquie.
« Une Union des Droits de l’Homme, de la liberté de la presse et de l’Etat de droit n’est par exemple pas compatible avec le placement en détention à l’isolement pendant des mois de journalistes sans mise en accusation », a ajouté le président de la Commission en référence notamment au cas d’un journaliste germano-turc, Deniz Yücel, accusé par Ankara de soutien au « terrorisme ».
La veille, le président turc Recep Tayyip Erdogan avait commémoré le premier anniversaire de la tentative de putsch le visant en promettant d' »arracher la tête des traîtres ».
Juncker n’a toujours pas compris, ou plutôt il considère les Européens comme des cons qui ne méritent pas de s’exprimer sur le sujet. Les Eurocrates non élus de Bruxelles « savent mieux » ce qui convient aux citoyens européens. La main de l’Europe reste tendue à la Turquie et ses 80 millions de musulmans, ce qui en ferait le premier groupe politique au parlement européen. Juncker ne parle que des journalistes emprisonnés en oubliant les centaines de milliers de présumés opposants embastillés par la volonté du dictateur turc.
Cette Europe-là doit être démantelée d’urgence et son processus décisionnel complètement revu.
C.T.
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Il faut le répéter inlassablement:
* la Turquie est un pays d’Asie mineure.
* elle est de culture musulmane. Et même si elle n’était pas musulmane, elle ne serait pas européenne pour autant. L’Europe n’est pas extensible tous azimuts.
* elle fait partie du bassin linguistique des langues turques et mongoles, alors que les langues qui ont façonné l’Europe sont grosso modo les langues germaniques, romanes (même le romanche est une langue romane) et slaves.
Conclusion:
Les tenants d’une fusion de la Turquie avec l’Europe n’ont pas de motivations culturelles et identitaires, mais purement économiques.
Il faudrait que cette marionnette de Junker cesse de se saoûler régulièrement et il est largement temps pour lui de se retirer ou alors d’être viré manu-militari.
La marionnette Juncker prouve une fois de plus qu’il n’en a rien à cirer des peuples européens. Et Simonetta va régulièrement se faire raccourcir la laisse par ce guignol. On comprend, ça doit être le seul à lui faire la bise.
Pourquoi se priver? Vu que le but est une union soviétique mondiale, ça serait bête de fermer la porte… Ce sont les copains ET de Juncker qui lui ont glissé l’idée…